MARLENE, JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE MICHEL, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE PIERROT, VAGABOND DE LA BEAUTÉ DU MONDE
conseil d’administration de la créativité
Nous sommes tous les trois déchaînés d’avenir avec une intensité digne d’un prix Nobel.
Pendant que je passais ma journée à interroger «l’être et le néant» de Jean-Paul Sartre pour en chirurgicaliser la différence ontologique entre le rêve big-bang porteur de fraîcheur existentielle «beauté du monde» de notre équipe de recherche Auls-Woodard-Rochette et le PROJET POUR-SOI fondement phénoménologique de toute conscience en mode D’EXISTENCE PRÉCÉDANT L’ESSENCE…
Marlene et Michel dessinaient un DÉCOR DE THÉÂTRE de notre atelier «conseil d’administration de la créativité, Marlene par sa couture (de nouveaux rideaux) Michel par ce que Marlene appelle en anglais «A LIGHT BOX» ou comme dit Michel «A LIGHT PANEL» de notre formule doctorale illuminant nos trois archétypes hologrammiques:
«WOW-T=2.7K?»
Si j’osais penser en anglais, je dirais: friendship is the best élévation of human dream, just because this is existential and hologrammic dream of universal humanity in his best.
Ce matin, nous réalisions tous les trois que l’UQAM, l’université du Québec à Montréal fut un RÊVE BIG BANG d’une révolution tranquille dont on pourrait dire de ses rêveurs et rêveuses et qui va bientôt fèter ses 50 ans d’existence. CES GRANDS RÊVEURS ET RÊVEURS DES ANNÉES 60 ONT TRAVAILLÉ POUR LE MIEUX ÊTRE DES PROCHAINES GÉNÉRATIONS.
N’est-ce pas l’objectif de la nano-citoyenneté-planétaire? réaliser pour la planète ce que la révolution tranquille a fait pour le Québec, UNE SORTE D’UQAM PLANÉTAIRE?
CES GENS LÀ ONT DONNÉ LE MEILLEUR D’EUX MÊMES TOUT EN ÉTANT CONSCIENTS QU’ILS N’ÉTAIENT RIEN À CÔTÉ DES AUTRES (Michel le concierge)
Nous réalisions tous les trois que nous aimerions bien gagner le prix Nobel en coopération avec l’UQAM parce que l’UQAM fut un rêve big bang d’une société DES ANNÉES 60 en marche, donnant une chance vocationnelle à la multitude de s’instruire, d’une façon inclusive, ET SURTOUT À CEUX ET CELLES QUI N’AVAIENT PAS LE MOYEN DE S’INSTRUIRE.
JUSTE POUR CET ASPECTVOCATIONNEL, L’UQAM C’EST 50 ANS DE GRANDIOSE ET CELA DOIT SE POURSUIVRE.
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Allocution de la rentrée 2017
Le recteur Robert Proulx rencontre les membres de la communauté universitaire.
21 Septembre 2017 à 13H26
Le recteur Robert Proulx
Photo: Nathalie St-Pierre
La communauté uqamienne était invitée à rencontrer le recteur Robert Proulx, le 20 septembre, à l’occasion de la rentrée 2017-2018. L’événement, qui s’est tenu à la salle Marie-Gérin-Lajoie et qui était également webdiffusé, a permis au recteur de rappeler les faits saillants de la dernière année et de présenter les défis et les perspectives qui s’annoncent à l’aube des 50 ans de l’UQAM. «Cette allocution de la rentrée pourrait aussi s’appeler “l’allocution de la sortie”», a lancé à la blague Robert Proulx, faisant allusion à sa décision de ne pas solliciter le renouvellement de son mandat et de quitter ses fonctions dès l’entrée en poste de la personne devant lui succéder.
«L’UQAM se trouve présentement dans une période de transition, au moment où la course au rectorat est relancée et où les mandats de certains membres de la direction arrivent à leur terme, a déclaré le recteur. Cela dit, des dossiers urgents et importants exigent une attention immédiate.»
Avant d’aborder ces dossiers, Robert Proulx a tenu à souligner les nombreux prix et distinctions remportés au cours de la dernière année par des professeurs, des personnes chargées de cours, des membres du personnel cadre et de soutien et des diplômés, ainsi que les réussites des étudiants lors d’activités et de concours.
Situation financière
Au sujet de la situation financière, un dossier complexe, le recteur a rappelé que l’UQAM avait vécu, ces cinq dernières années, «les plus importantes compressions de son histoire», dans un contexte où elle devait négocier de nouvelles conventions collectives avec l’ensemble de son personnel.
«Ma priorité, a-t-il martelé, est de revoir la formule de financement des universités.» En plus d’un refinancement des établissements universitaires, le gouvernement du Québec a annoncé qu’il ferait bientôt connaître ses propositions visant à modifier la formule de financement. «Chose certaine, l’UQAM est présente à toutes les tables de discussion portant sur ce dossier.»
Robert Proulx a insisté, par ailleurs, sur l’importance de se mobiliser dans le cadre de la prochaine campagne majeure de financement de l’Université. «Ce sera l’occasion de faire connaître l’UQAM, de lui donner une large visibilité, d’impliquer nos diplômés, amis et partenaires.»
Un milieu de vie stimulant
La création à l’UQAM d’un milieu de vie attrayant et stimulant constitue également une priorité, a mentionné le recteur. Celui-ci se réjouit des investissements de plus de 35 millions de dollars consentis par les trois ordres de gouvernement pour la mise en place d’infrastructures de pointe en recherche et création, la valorisation du patrimoine architectural, dont fait partie le clocher de l’ancienne église Saint-Jacques, emblème de l’Université, et la mise en œuvre de projets d’aménagement sur le campus central de l’UQAM.
Robert Proulx a poursuivi sur les célébrations du 50e anniversaire de l’UQAM à venir en 2019. «Il faut se donner un plan de match afin que ce moment marquant de notre histoire soit une réussite. Ce sera l’occasion de rappeler à la population les grandes contributions de l’UQAM à la société québécoise.»
Depuis l’adoption du Plan stratégique 2015-2019, de nombreuses mesures ont été mises en œuvre, notamment par le Bureau des diplômés, afin de renforcer les liens avec les ambassadeurs de l’Université que sont les diplômés. «Nos diplômés aiment l’UQAM, a dit le recteur. Ils ont été bien formés et plusieurs d’entre eux occupent aujourd’hui des postes influents dans toutes les sphères d’activités.»
Afin de tisser des liens étroits avec la Ville de Montréal, l’UQAM a participé à la réalisation de nombreux projets, dont la création du MT Lab et la mise sur pied du Bureau de l’enseignement supérieur. «Nous avons aussi travaillé intensément au niveau politique pour que l’UQAM fasse entendre sa voix dans plusieurs dossiers, a observé Robert Proulx. Avec d’autres universités, nous sommes devenus un acteur incontournable du développement économique, social et culturel de la métropole.»
Course au rectorat
Le recteur a déclaré ne pas vouloir s’ingérer dans le processus de sélection des candidatures en vue de la désignation d’une nouvelle rectrice ou d’un nouveau recteur. Les expériences vécues récemment l’amènent à constater, toutefois, que tous n’ont pas la même compréhension des étapes de ce processus, entraînant ainsi une certaine confusion, voire certaines frustrations. «On a souvent évoqué dans le passé, moi y compris, le besoin de revoir la composition du groupe des votants de façon à assurer une meilleure représentation des divers acteurs de la communauté. Il conviendrait qu’on se penche sur cette question de façon à assurer dans l’avenir une meilleure compréhension et une meilleure équité entre les groupes.»
Robert Proulx s’assurera que la personne qui lui succédera dispose, dès son entrée en poste, d’un portrait clair et fidèle de la réalité de l’UQAM ainsi que de toutes les informations stratégiques nécessaires à la bonne gouvernance de l’institution.
La décentralisation organisationnelle demeure un dossier ouvert, a poursuivi le recteur. «On en parle depuis plusieurs années déjà. La réflexion et le débat devront se poursuivre», a-t-il souligné.
Une note personnelle
Photo: Nathalie St-Pierre
Robert Proulx a terminé son allocution sur une note plus personnelle. Visiblement ému, il a décrit les différentes étapes de sa carrière. Diplômé du Collège Sainte-Marie, il a poursuivi ses études à l’UQAM à son ouverture, en 1969, et y a travaillé pendant plus de 30 ans, d’abord à titre d’agent de recherche, puis de chargé de cours et, enfin, de professeur à compter de 1978. Profondément engagé dans la vie académique de l’Université, il a occupé les postes de directeur du Département de psychologie, de doyen de la Faculté des sciences humaines, puis de vice-recteur à la Vie académique avant de devenir recteur en 2013.
Avant que la salle ne lui réserve une ovation, Robert Proulx a tenu à exprimer toute sa reconnaissance à l’endroit de la présidente du Conseil d’administration, Lise Bissonnette, et de ses membres, des membres de la Direction et de la Commission des études, des doyens et doyennes des facultés et école, des directrices du Service des communications, du Bureau des diplômés et du Service de planification académique et de recherche institutionnelle, des membres de son cabinet et de son assistante personnelle.
S’adressant à l’ensemble de la communauté universitaire, le recteur a conclu en ces termes: «Au cours des 30 dernières années, vous m’avez tout donné!»
La vidéo de l’allocution est en ligne sur le site du rectorat.
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