LE DOCUMENTAIRE «LA PELLE JAUNE»… MANIFESTE NANO-ROMANTIQUE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS PLANÉTARISANT LA NANO-HUMANISATION DU 21EME SIÈCLE

L’esthétique-politique nano-romantique du 21eme siècle passe par le contre-pouvoir des errants fantomatiques partout sur la planète. Et en ce sens, le manifeste que constitue le nano-documentaire «LA PELLE JAUNE » de Michel le philosophe-cinéaste-concierge émeut pas l’authenticité de son archétype hologrammique exprimant LA CONDITION HUMAINE DES PERDANTS DE LA MONDIALISATION au point d’émouvoir et d’éveiller des prises de conscience dialectiques par le simple fait qu’un homme qui aime sa femme pellette durant 15 ans, sans jamais manquer une journée d’ouvrage pour prendre soin du rêve de sa femme, tout en faisant du récit de sa vie «LE RADEAU DE LA MÉDUSE» (Géricault) d’une nano-humanité qui ne s’est jamais sentie aussi près du chaos.

La philosophie d’en bas se place de plain-pied dans la réalité du 21eme siècle, en en infléchissant le thème jusqu’à en sublimer l’errance par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art?

«La pelle jaune» provoque la rupture de l’histoire de la philosophie par le réchauffement des eaux des perdants universels de LA GRANDE HISTOIRE DONT ON NE PARLE QUE RAREMENT.

La montée océanique de cette marée nano-humaine risque de submerger par un seul événement traumatique la philosophie d’en haut dont le fil d’or ne put qu’être tissé que pour la libération des classes instruites.

Dans la biographie de Jean Sagne sur Géricault, publiée chez Fayard en 1991, il y a un passage aux pages 144-145 qui me suscite une lecture analogique électrisante.

«Dès 1814, sensible encore une fois à totue forme d’anglomanie, Théodore Géricault avait tracé plusieurs croquis de boxeurs chez Horace Vernet. A son retour d’Italie, il reprend cette première série de dessins et l’amène à un ABOUTISSEMENT EXTRÊME. Ce n’est qu’au moment de passer à la transposition sur la pierre qu’il modifie LA COULEUR DE L’UN DES DEUX PROTAGONISTES. La confrontation d’un Noir et d’un Blanc sur un ring N’ÉTANT PAS AUTORISÉE EN FRANCE, il avait eu des échos de ces affrontements très populaires, donnant lieu à des paris, aux États-Unis et en Angleterre. En présence de Géricault, nous ne sommes jamais éloignés de ces scènes où se tiennent DES COMBATS SINGULIERS. S’il n’aborde pas la première fois la représentation d’un noir – plusieurs dessins relatifs à la guerre font intervenir des cavaliers noirs -dans ce contexte, L’ACTE PREND UNE VALEUR TOUTE SYMBOLIQUE, CAR LE RING EST LE SEUL LIEU peut-être avec la guerre, OÙ L’ÉGALITÉ DES RACES EST ADMISE. Les combats entre l’ancien esclave américain Tom Molineaux et le champion anglais Tom Gribb avait défrayé la chronique et fait l’objet de plusieurs publications et forme d’estampes. En remplaçant un de ses boxeurs blancs par un noir, Géricault ne cherche pas seulerment à exploiter une opposition visuelle – le corps du noir est dessiné à la plume et son pantalon au crayon lithographique, alors que le blanc suun traitement inverse – mais signale déjà DE MANIÈRE MANIFESTE SON ENGAGEMENT EN FAVEUR DES DROITS DE L’HOMME.

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commentaire
CETTE LECTURE ANOLOGIQUE M’INSPIRE
L’IDÉE QUE…

Le ring de cet imaginaire nano-philosophique du 21eme siècle bien illustré par l’archétype hologrammique de «la pelle jaune», , c’est le combat entre la philosophie blanche d’en haut et la philosophie noire d’en bas en faveur DES DROITS DE JUSTICE ET D’ÉQUITÉ DE DE LA NANO-PERSONNE HUMAINE.