L’ARCHÉTYPE DE PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE…. LA SOMPTUEUSE RICHESSE D’UNE PAUVRETÉ HEUREUSE.

Ce qui est extraordinaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) c’est la conquête rhyzomique du concept de nano-citoyenneté-planétaire par la création de trois archétypes nano-hologrammiques fondateurs du nano-droit citoyen planétaire.

La matrice conceptuelle part de l’image dialectique en arrêt de Walter Benjamin au sens où derrière la caméra, (dans le documentaire la pelle jaune) nous n’entendons que la voix de l’archétype symbolysant L’ERRANCE POÉTIQUE de par la poïétique même de son discours comme de ses lectures. Cet archétype peut se définir synchroniquement tout autant que diachroniquement comme celui de LA SOMPTUEUSE RICHESSE D’UNE PAUVRETÉ HEUREUSE, issue directement du cantique des cantiques comme du fil d’or des mystiques du début de l’humanité à aujourd’hui, que ce soit dans le domaine mythologique (ex… Homère) philosophique (ex… Socrate) religieux (ex… François d’Assise) autant que littéraire (Jean de La Fontaine) ou même musicale (Shubert)… chaque monade semblable mais non semblable transhistotiquement pouvant s’aphorismer dans cette petite chanson latine:

EGO SUM PAUPER
NIHIL HABEO
ET NIHIL DABO

OU

JE SUIS PAUVRE
JE N’AI RIEN
JE NE DEMANDE RIEN

———–
Devant la caméra, le visage de Michel le philosophe-cinéaste-concierge provoque par son archétype même de la condition humaine (errance fantomatique, errance axiologique  en quête d’errance poétique par les quatre questions du pays œuvre d’art) cette IMAGE DIALECTIQUE EN ARRÊT dont rêvait tant Benjamin pour sa vision ANGELUS NOVUS de l’histoire, somme des catastrophes qu’entraîne avec elle l’esclavage salarial accentué par le domination du rythme infernal du fétichisme des objets englués dans une société de consommation hypnotisante.

——-
Ce n’est pas pour rien que le passage de la matrice patriarcale à la matrice matriarcale de la nano-citoyenneté planétaire passera FINALEMENT par la création hologrammique de l’archétype de MARLENE LA JARDINIÈRE, dont la plus parfaite illustration au féminin de «L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES » de Giono exprime avec le plus d’amplitude la cinquième question Montesquieu/Rawls de la nano-démocratie œuvre d’art en marche.

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

sur You tube
Michel le concierge

sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond