DÉFENSE DE DOCTORAT RÉUSSIE SUR LA VIOLENCE EN HAITI DE MON GRAND AMI EMERSON… DIT LE GÉANT D’HAITI… DIT JEANBERSON JEAN BAPTISTE

Comme j’avais lu la thèse de doctorat de ce géant haitien qu’est Jean Baptiste jeanberson dit MONSIEUR ÉMERSON, le géant d’Haiti, je me suis très à l’aise lors de la période de question du public à l’inviter dans sa conclusion ouverte à réfléchir sur l’événement paradigmatique fondateur faisant exploser les enjeux que constitue UN RÉCIT.

Il y a deux ans, lors de mon vagabondage du Nouveau-Brunswick (entre autres 2 semaines à la bibliotheque du parlement de Fredericton à dormir sous l’autoroute et un mois à Caraquet à dormir sur le bord de la mer) je me suis intéressé à l’énigme de la violence telle que résolue par le récit (Paul Ricoeur), inspiré dans ma démarche par l’œuvre d’Edouard Glissant (le tout monde et le métissage) en ce qui a trait à la Martinique, l’œuvre de Nelson Mandela dans sa commission d’un comité international pour un récit précédant la nouvelle constitution (Desmund tutu et Barbara Cassin, entre autres DÉFINISSANT la nation arc-en-ciel), tout comme l’œuvre de Longfellow ( qui a donné trois versions territoriales différentes de son poème d’Évangeline, États-Unis, Ile du Prince Edouard, Nouveau-Brunswick), celui d’Antonine Maillet à partir de sa thèse de doctorat sur le rapport linguistique entre Rabelais et la langue des acadiens), donnant un récit fondateur dont le joyau reste encore aujourd’hui la sagouine…

Tentant d’éviter le piège de la connaissance sociologique institutionnelle stratifiée (optant pour un laboratoire nanosociogique tenant comme a priori la nanocitoyenneté planétaire de la nanomodernité succédant au post-modernisme méthodologique), j’ai vécu le village le plus long du monde tel que reconnu dans le dictionnaire Larousse au début du 21eme siècle et sa grande VIOLENCE SYMBOLIQUE AU COEUR D’UNE ÉNIGME ÉPISTÉMOLOGIQUE, que constitue la dialectique de l’indit symbolique des purs et des impurs dans le façonnement de l’imaginaire collectif du récit acadien.

Tout en visitant le village acadien qui représente pour moi un scandale historique (il aurait du être divisé en deux… la partie des purs et celle des impurs) et non pas un centre d’accueil déguisé en emploi d’été attirant à peine 40,000 visiteurs au lieu du 100,000….

J’ai donc invité mon géant d’Haiti à partir à la recherche d’un récit paradigmatiquement fondateur pour une mise en action politique de l’énigme de la violence en Haiti, donc en suivant les traces d’Edouard Glissant, Nelson Mandela Anthonine Maillet.

Cette démarche du récit pour résoudre l’énigme de la violence par le droit nanoplanétaire, notre équipe de recherche multiconceptuelle (Marlene Auld, Michel Woodard, Pierre Rochette) la travaillons depuis presue maintenant 10 ans, en filmant et en documentant la vie du ier nanocitoyen planétaire.

L’ÉNIGME DE LA VIOLENCE
SE REFLÈTE
DANS L’ÉNIGME DU RÉCIT

C’EST NOTRE HYPOTHÈSE DE TRAVAIL.

Ce matin, notre conseil d’administration de la créativité nanosociologique avons visionné la dernière version du prochain documentaire de Michel le concierge (la sagouine du 21eme siècle) qui sera soumis au prochain festival du documentaire international de Montréal.

le titre: LE PAYS OEUVRE D’ART? / UN UNIVERS PARALLELE

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond