L’IMPORTANCE D’AVOIR UNE VARIÉTÉ DE MODES D’ARGUMENTATION DANS LA MISE EN PLACE CONCEPTUELLE DE LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE DES 125 TIRÉS AU SORT ….

Que de chemins parcourus d’un vagabondage à l’autre…. où je me suis même permis d’expérimenter la méthode de Marcel Duchamp en passant par l’esthétisme de l’indifférence, et cela durant quelques années.

Que de longues journées à réfléchir au dessus d’un simple jeu d’échec…. cela m’a pris du temps à saisir que je tentais de désinstitutionnaliser mon cerveau intoxiqué par le judéo-christianisme autant que par la loi du sang obligeant la personne humaine à supporter les irritants de la vie domestique comme ceux de la parentèle élargie…

J’intuitionnais depuis le début (comme squatter à la la librairie alternative de Victoriaville où j’ai dormi durant 4 ans sur une table dans la cave entouré de livres) que le pays œuvre d’art de Frank Scott était ma destination intellectuelle.

Y arriverais-je avant ma mort? Rien n’était moins sur… Il m’a fallut marcher un pays meurtri par un résidu de nationalisme ethnique du 19eme siècle basé sur les pulsions ami/ennemi, où la langue, la race et la religion emprisonnaient la personne humaine dans des superstitions réductrices de toutes sortes. Le Québec de Lionel Groulx avait bien mal survécu à la révolution tranquille.

Un sentiment d’appartenance n’est pas une raison pour accepter sans critique un déficit cosmopolitique de la dignité abstraite de la personne humaine.

Et en ce sens

C’est la lecture de l’esprit des lois de Montesquieu qui me convainquit que le droit devait passer par une nouvelle séparation du pouvoir….. suite à la sienne (législatif, exécutif et judiciaire)

Puis celle de  Hobbes me fit trembler d’horreur quand je réalisai qu’ en reconstruisant l’imaginaire d’individus abandonnant leur état de nature à un Leviathan représentant le contrat social, Hobbes avait mis au monde un monstre… DES ÉTATS QUI ENTRE EUX se font la guerre parce qu’ils sont et restent encore aujourd’hui des nations en état de nature., et même si cela semblait restraint par les traités de Westphalie.

C’est alors surgit en notre équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) le concept de nanodémocratie, de citoyens vies personnelles œuvre d’art, par tirage au sort de 125 nanocitoyens.

Michel le concierge en tira un documentaire merveilleux… «LE PAYS OEUVRE D’ART?»… Marlene la jardinière en tira une poésie intense s’incarnant dans sa mise en forme de la beauté du monde par son jardin à Grande Iles (Valleyfield) reprenant la même route ontologique que l’homme qui planta des arbres de Giono. Pierrot vagabond parcourut 4 universités comme artiste-activiste humaniste pratiquant l’art de l’infiltration sociale par le vagabondage afin d’identifier, si possible un champ de recherche qui ne soit pas fosssilisé par la bureaucratie intellectuelle des professeurs qui payent leur maison en enseignant de la matière sstructurée plus par leur paye et leurs besoins primaires que par la nécessité créatrice de chercheurs.

 

Oui, nous fumes trois citoyens du «pays œuvre d’art?» à la recherche d’un univers parallèle (dixit Michel le concierge)

Oui, nous savions tous les trois que LA LOGIQUE PARTISANE de la politique si engluée de petitesse argumentative ne pouvais satisfaire notre soif de justice cosmopolitique, et cela autant à Québec qu’à Ottawa….

Oui, nous cherchions tous les trois l’univers parallèle… et nous soumettons l’hypothèse forte suivante… LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE DES 125 VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART nous apparaît comme une émergence de la dignité humaine sur terre incontournable au 21eme siècle.

Oui, le jour où un consortium d’universités à travers la planète financé par un consortium de fondations humanistes créera une chaire universitaire citoyenne planétaire, cela prendre moins de trois ans à fonder la nanodémocratie citoyenne planétaire sur terre, pour que les droits des enfants de la planète soient enfin érigés comme gardiens du droit cosmopolitique sur terre, ayant primauté dymanique sur les droits interétatiques comme sur les droits étatiques.

LE DROIT COSMOPOLITIQUE
N’EST PAS UNE QUESTION
DE SOUVERAINETÉ
DES ÉTATS COMME DES INTER-ÉTATS
MAIS UNE QUESTION
DE LA DIGNITÉ
DE CHAQUE PERSONNE HUMAINE
SUR LA PLANÈTE TERRE
ET ENCORE PLUS
DU DROIT À CHA QUE ENFANT
D’AVOIR UNE ÉDUCATION
À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART
DANS UN PAYS OEUVRE D’ART
ARCHITECTURÉ EN PAIX JURIDIQUE
AVEC LES AUTRES PAYS OEUVRE D’ART

J’aimerais rendre hommage à notre équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) au nom de qui
tout ce que j’exprime dans ce blogue n’aurait jamais pu atteindre sa variété de modes argumentaires.

en nanodémocratie
l’individu est sujet
direct du droit cosmopolitique
dans la figure la plus achevée du droit transnational
au point où
les 125 élus de la planète
par tirage au sort
pourrait constituer
de droit indépendant du droit des états
un jury
dans des procès
de cour pénale internationale
car ce sont des individus voyous
et non des états-voyous
qui doivent être emmener
en procès
pour crime contre l’humanité
CONTRE LES ENFANTS DE L’HUMANITÉ

La séparation des pouvoirs du droit des états et des inter états, des pouvoirs du droit cosmopolitique des enfants sur terre sera à la structure légale du 21eme siècle ce que fut la séparation des pouvoirs de Montesquieu au 18eme siècle des lumières françaises.

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Marlene la jardinière
Michel le concierge
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