L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD-WOODARD-ROCHETTE)… FONDEMENT INTELLECTUEL CITOYEN À LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE VERTEUR DU DROIT COSMOPOLITIQUE EN VUE D’UNE CONSTITUTION CITOYENNE MONDIALE

Dès que l’on saisit la différente entre l’organisation des nations unies (ONU) et la nanodémocratie citoyenne planétaire (NCP), il est légitime de penser qu’une organisation interétatique ne peut concevoir autre chose qu’un droit international alors qu’une organisation inter-citoyenne est légitimée par son essence même à concevoir UN DROIT COSMOPOLITIQUE menant à une constitution citoyenne mondiale dans le contexte post-moderne d’une cosmopolitisation objective de tous les états de la planète (ex: flux d’immigration, problèmes environnementaux…).

La gouvernance globale de l’ère post-moderne exige intrinsèquement une conscience citoyenne planétaire démocratique de personnes humaines élus démocratiquement par tirage au sort, soit 125 représentant(e)s des villes et villages de la planète qui exercent une pression éthique pour que les droits de l’homme de la bonne gouvernance évoluent harmonieusement dans l’esprit de la philosophie kantienne de la paix universelle.

Karim Benyekhlef expose somptueusement la problématique et les enjeux, mais comme Habermas, il confond les moyens d’y arriver… L’ONU appartiendra toujours par sa contextualisation interétatique au droit international et seule la création d’une organisation nanodémocratique citoyenne planétaire permettra l’émergence intrinsèque d’un droit cosmolopolitique conduisant, (TEL UN UNIVERS PARALLELE, DIXIT MICHEL LE CONCIERGE) à une constitution citoyenne planétaire.

sur Google
Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond