LA MAGISTRALE DÉMONSTRATION DE SCHOPENHEUER DE LA DIFFÉRENCE ENTRE L’IDÉE PLATONICIENNE ET LE CONCEPT KANTIEN M’ÉBLOUIT ET M’ENIVRE DE JOIE… JE NE VEUX PAS QUE MA VIE INTELLECTUELLE AILLE EN BAS D’UNE TELLE ARCHITECTURE

Je suis en feu… j’ai terminé le 1000 pages de Schopenhauer sur le monde comme volonté et représentation suivi de sa critique de Kant….

On ne devrait jamais commencé à rédiger un doctorat sans avoir accumulé de milliers d’œuvre de lecture, parce que parfois, par pur synchroniVITÉ, on découvre une démonstration éblouissante qui change notre parcours intellectuel.

J’ai longtemps réfléchi sur l’allégorie de la caverne de Platon et ses fameuses idées éternelles dont les objects du réel ne sont qu’une pâle apparence…. De là à saisir que LA BEAUTÉ en soi est l’objet et que les choses belles en sont les apparences en quête de l’objet-idée au sens de sa perfection.

Je n’avais pas réalisé que le concept kantien, issu de la raison et de son argumentaire, est confondu chez Kant avec l’idée…. et que l’inversion platonicienne n’y est pas présente comme fondement de la connaissance intuitive du monde, mais plutôt remplacée par LA CONNAISSANCE ABSTRAITE.

Merci à Schopenhauer qui m’a donné l’accès au monde intuitif par une sobriété argumentaire lumineuse…

Le monde comme reflet de l’idée correspond à la bascule kantienne/platonicienne que provoque la quatrième question du pays œuvre d’art

PENSEE ABSTRAITE QUANTIENNE OU CONCEPT

1- Quel est ton rêve?
2- Dans combien de jours?
3-Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

PENSÉE INTUITIVE PLATONICIENNE OU IDÉE

4- COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Depuis 4 ans maintenant, j’accompagne discrètement mais intensément comme mentor quelques élèves en maîtrise et en doctorat (étant devenu malgré moi un érudit passionné d’épistémologie et de méthodologie).

Alexis Lemieux et moi avons travaillé durant 2 ans et demie à la théorisation du vagabondage céleste en découpant l’errance en trois catégories (l’errance fantômatique, l’errance axiologique et l’errance poétique). Ce qui a donné une maîtrise remarquable de son côté disponible et téléchargeable sur internet (voir sur Google, Alexis Lemieux, mémoire de maîtrise sur l’errance fantômatique, axiologique et poétique) et du mien une assise philosophique comme fondement axiomatique de la nanodémocratie planétaire citoyenne.

UNE LOI LEMIEUX-ROCHETTE SUR LE CONCEPT D’ERRANCE EN EST NÉE… QUI SERVBIRA D’ASSISE À NOS DEUX DOCTORATS RESPECTIFS.

Alexis entreprend maintenant son doctorat sur l’errance dans le domaine muséal… ce qui est merveilleusement complémentaire à mes propres recherches universitaires.

Alexis suit un parcours institutionnalisé et bien encadré pendant que de mon côté, à titre d’artiste activiste humaniste pratiquant l’art de l’infiltration sociale par le vagabondage universitire complémentaire du vagabondage d’un pays l’été, dont on peut retracer méthodologiquement les traces poïétique par un blogue tout en étant matriciellement existentialisé par une équipe de recherche multi-contextuelle (une jardinière, un concierge et un vagabond) (l’équipe de recherche Auld-Woodard-Rochette).

Johanne, en maîtrise en communication est une remarquable activiste-politique dont le projet artistique sera aussi lumineux que ce créateur dont parle Didi Huberman dans son petit livre SUR LE FIL.

Et que dire de celle qui par son long cheminement philosophique dans le dialogue entre deux apories arrive en fin de son parcours de maîtrise avec une éblouissante maturation conceptuelle.

Je crois avoir transmis à ces trois étudiants en particulier (parmi plusieurs autres épisodiquement) ma passion d’une discipline ascétique où seule l’éblouissante quête intrinsèque d’une question radicale bien étayée bibliographiquement autant qu’argumentativement vaut mille fois le poids institutionnel d’un diplôme.

sur Google
Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond