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Dans l’histoire de la philosophie, toute l’historique de l’étiquette vertu repose sur le axiome: LA VERTU PRÉCÈDE L’ACTION D’UNE VIE PLEINE… alors que les recherches de notre équipe (Alud-Woodard-Rochette) tentent de démontrer que la vertu est la conséquence logique de WOW-T=2.7K?

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La vertu est une notion à l’intersection des ensembles de la philosophie, de la religion et de la politique.

En philosophie classique, reprise par le judaïsme hellénisé et le christianisme, on distingue parmi toutes les vertus quatre vertus cardinales (du latin cardo, pivot) : la prudence, la tempérance, la force d’âme et la justice.

On parle en outre de trois vertus théologales (foi, espérance, charité) dans le christianisme. On parle par ailleurs de trois vertus maçonniques, à savoir la tolérance, la bienfaisance et la solidarité ; ou encore des trois vertus principales du scout, à savoir la franchise, le dévouement et la pureté.

Montesquieu a également évoqué la vertu politique (l’amour des lois et de la patrie). Cet amour demande une préférence continuelle de l’intérêt public au sien propre. C’est la source du principe démocratique, selon lui.

Le mot vertu vient du mot latin virtus, lui-même dérivé du mot vir, d’où nous viennent les mots « viril » et « virilité ». Tandis que vir sert à nommer l’individu humain de sexe masculin, virtus désigne la force virile et, par extension, la « valeur », la « discipline » opposée au « courage », synonyme quant à lui d’« impulsivité », « défaut » considéré comme essentiellement barbare, illustré par Caius Marius : « La vertu est la clef de voûte de l’empire (romain), faisant de chaque seconde de la vie du citoyen, une préparation minutieuse aux dures réalités de la guerre, et de chaque bataille rien d’autre qu’un sanglant entrainement ».

Les vertus humaines se divisent en vertus morales (celles qui ont pour objet les actes de la vie pratique) et intellectuelles (celles qui ont pour objet le savoir et la contemplation). Toutes deux sont acquises et ordonnées à un bien proprement humain. En leur cœur, il y a les vertus cardinales. Elles sont alors divisées en vertus morales de Courage, de Tempérance et de Justice, et en vertu intellectuelle de Prudence. Ce sont celles autour desquelles toutes les autres vertus morales gravitent et se rattachent.

Les vertus théologales (foi, espérance et charité) sont différentes des vertus humaines en termes de provenance : elles sont infuses et ordonnées à un bien proprement divin. Elles sont définies dans le christianisme.

Les vertus cardinales désignent les vertus humaines, définies par la philosophie d’Aristote. Elles sont divisées en vertus morales, qui impliquent la volonté et vertus intellectuelles, qui impliquent la raison.

La liste classique des vertus cardinales est la suivante :
Le courage ou force d’âme habilite à surmonter la peur et à braver les dangers.
La prudence indique la conduite raisonnée.
La tempérance habilite à user de la mesure qui convient dans la jouissance des biens délectables.
La justice, enfin, habilite à rendre à chacun son dû.

Chacune des quatre vertus cardinales que nous venons de nommer trouve son siège dans la sensibilité de l’être humain.
Le courage règle la sensibilité combative.
La tempérance règle la sensibilité jouissive.
La justice règle la sensibilité rationnelle.
La prudence règle la sensibilité téméraire.

Les vertus morales[modifier | modifier le code]

Parmi les vertus morales telles que la générosité, l’Humilité, la gratitude, on regroupe ensemble les quatre vertus cardinales.

Les vertus intellectuelles sont des valeurs qui incitent à chercher des vérités dans une sphère donnée. Aussi trouvent-elles leur siège dans la raison. On dénombre habituellement cinq vertus intellectuelles : intelligence, science et sagesse d’une part, et art et prudence d’autre part. Les premières sont « spéculatives », alors que les deux autres sont « pratiques ».

La première lettre de chacune des 5 vertus intellectuelles peut servir à forger le mot latin sapis, qui vaut pour sagesse. Ce qui se présente comme suit :
S = Science ;
A = Art ;
P = Prudence ;
I = Intelligence ;
S = Sagesse.

L’Intelligence est ce par quoi nous saisissons les notions et les principes. Par exemple, ce qu’est un nombre pair.
La Science est l’habitus par lequel nous saisissons la vérité d’une conclusion à travers celle de ses principes. Par exemple, que six est un nombre pair, puisqu’un nombre pair est divisible en deux nombres entiers égaux, et que le nombre six répond à cette exigence.
La Sagesse, faite d’intelligence et de science, permet de connaître les notions et les conclusions les plus dignes et les plus difficiles. Par exemple, que le nombre exprimant la longueur du côté d’un carré dont l’aire est égale à deux n’est ni pair ni impair.

L’Art est la création-invention, au niveau du mécanisme de la pensée et de l’imagination, d’une idée originale traduisible en effets perceptibles par nos sens.
La Prudence est un savoir-faire dans l’ordre de l’exercice de la liberté et de l’agir. Elle vise à édifier « l’Homme lui-même ».
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Les trois vertus théologales sont les suivantes :
La Foi,
L’Espérance
La Charité

On définit habituellement en philosophie occidentale la vertu comme un « habitus de la volonté, acquis par répétition des actes, et qui habilite l’homme à agir bien » (voir la définition aristotélicienne de la vertu morale qui est fondatrice pour la tradition : les vertus morales sont vertus du caractères nées de l’habitude, elles ne sont ni naturelles, ni contre nature. Elles se comprennent comme une forme particulière de disposition acquise par enseignement et habitude, hexis).

Cette définition vaut pour les vertus morales, et en particulier pour la justice, qui a effectivement son siège dans la volonté. Par ailleurs, il s’agit d’une définition découlant des quatre causes :
L’habitus, sorte de dynamisme acquis, cerne la vertu par sa cause formelle ;
La volonté constitue le siège de la vertu, donc sa cause matérielle ;
L’acquis par la répétition des actes montre l’origine de la vertu, donc sa cause efficiente ;
l’habilité de l’homme à agir bien nomme le but à atteindre, la finalité donc la cause finale.

Selon Jacques Brunschwig : « Le bien auquel l’âme aspire est un bien qui relève d’elle ; rien n’est vraiment bon que ce dont il n’est pas possible de faire mauvais usage, et c’est la science du bien qui sait faire bon usage de toutes choses, et sans laquelle de toutes choses on risque de faire mauvais usage. Ainsi s’expliquent les inépuisables formules, que la vertu est un savoir, et que nul n’est mauvais volontairement1. »

Les grands philosophes de la Grèce antique, tel que Socrate, Platon, Aristote avaient pour vocation de penser la vertu, de la pratiquer eux-mêmes et d’en discourir. La vraie vertu suppose en outre une connaissance authentique du bien.

Cinq vertus principales sont mises en avant : le courage (andrea), la modération ou tempérance (sophrosynè) ; la justice (dikaiosynè), la sagesse (sophia) — plus ou moins identique à la sagacité (phronêsis) — et enfin la piété (hosiotès). L’excellence d’un homme se mesure à ses vertus.

Selon Socrate, repris par Platon, la vertu est la capacité de vivre un certain nombre de principes et de valeurs dans la vie quotidienne dont la pratique permet de mener une vie morale, c’est-à-dire d’agir en conformité avec ce qu’on pense. C’est un savoir pratique composé de cinq qualités, orientées en croix à la façon des quatre points cardinaux, autour d’un centre occupé par la sagesse : le courage, la tempérance ou modération, la justice ou probité, la piété ou dévotion2.

Platon évoque la vertu dans le Ménon : pour Socrate, l’inexistence de maîtres de vertu lui prouve que celle-ci n’est pas une science, car elle ne peut s’enseigner; la vertu est alors tenue comme une opinion vraie. Elle proviendrait d’une sorte de grâce divine, d’une inspiration qui permet de bien agir.

Aristote présente la vertu tel un juste milieu entre deux défauts : un manque et un excès. Par exemple, le courage se trouvant entre la lâcheté et la témérité3.

Au Moyen Âge, saint Thomas d’Aquin cherche à définir ce que sont les vertus. Ainsi, toute la partie de morale spéciale (IIa IIae) de sa dernière œuvre systématique de théologie (la Somme théologique), est organisée autour des vertus cardinales et théologales. Mais dans la partie précédente (Ia IIae), de morale générale, il cherche à définir ce qu’est la vertu.

Thomas définit d’abord ce qu’est la vertu (Qu.55). La vertu est un habitus. En effet, elle est une perfection de la puissance, déterminée à un acte, or ce qui détermine les puissances humaines à certains actes, ce sont les habitus (art.1). De plus, « La vertu humaine, qui est un habitus d’action (art.2), est un habitus foncièrement bon et qui opère le bien. » (art.3).

Lorsqu’il s’agit de savoir où réside la vertu (Qu.56), Thomas rappelle qu’elle est dans les puissances de l’âme (art.1), et qu’elle peut infuser d’une puissance de l’âme vers d’autres puissances (art.2). Elle peut résider dans l’intelligence comme science ou comme prudence (art.3). L’irascible et le concupiscibles peuvent aussi être le siège de la vertu humaine dans la mesure où ils obéissent à la raison, parce que la force et la tempérance aboutissent en eux (art.4). Par contre les sens et la mémoire ne sont pas siège de vertu, parce que la connaissance à laquelle ils collaborent n’aboutissent pas en eux mais dans la raison (art.5). La vertu peut avoir son siège dans la volonté quand celle-ci doit être orientée vers quelque chose qui la dépasse, tels que l’amour de Dieu ou du prochain (art.6).

Thomas articule ainsi les différentes vertus et les dons: « D’après ce qui a été dit plus haut les vertus se partagent en trois genres: théologales, intellectuelles, morales. Les vertus théologales sont celles par lesquelles l’âme humaine est unie à Dieu. Les vertus intellectuelles sont celles par lesquelles la raison est perfectionnée en elle-même. Les vertus morales sont celles par lesquelles l’appétit est perfectionné pour obéir à la raison. Quant aux dons du Saint-Esprit, c’est eux qui rendent toutes les facultés de l’âme capables de se soumettre à la motion divine4. »

Spinoza identifie la vertu et la puissance : la capacité à agir en étant déterminé par la raison selon la libre nécessité de la nature pour “bien agir et être dans la joie”. La vertu ou “force d’âme” se distingue entre “la fermeté” par laquelle on agit pour son bonheur et “la générosité” par laquelle on agit pour le bien d’autrui. Plus la vertu est grande, plus l’homme est libre face aux passions et peut agir avec sagesse en éprouvant un bonheur toujours plus grand, jusqu’à la joie suprême qu’il nomme béatitude et dont elle est inséparable. “La béatitude n’est pas la récompense de la vertu, mais la vertu elle-même”. Il propose ainsi une Ethique de la réalisation du désir indépendante de la morale basée sur le devoir, en quoi il est considéré comme “amoral.”

Kant, dans la métaphysique des mœurs oppose la doctrine de la vertu, à la doctrine du droit. La doctrine du droit ne concerne pour lui que l’ordre de nos actions extérieures, indépendamment de nos motivations, alors que la doctrine de la vertu concerne le principe interne de nos actions, et en détermine les fins morales, qui sont : la perfection de soi-même et le bonheur d’autrui.

Rousseau écrit au 5e chapitre d’Émile : « La vertu n’appartient qu’à un être faible par sa nature et fort par sa volonté ». Il précise dans une lettre à M. de Franquières : « Il n’y a point de vertu sans combat, il n’y en a point sans victoire. La vertu ne consiste pas seulement à être juste, mais à l’être en triomphant de ses passions, en régnant sur son propre cœur ». Pour Rousseau, l’homme ne saurait être vertueux à l’état de nature; c’est dans la vie sociale que l’homme peut s’élever à un niveau supérieur en le forçant à devenir vertueux.

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