Cette nuit, j’ai expérimenté dans mon sommeil la réduction phénoménologique de Husserl (la mise entre parenthèses de deux modalités de la conscience ( la signification et de l’imagination) pour ne vivre que sous l’acte intentionnel de la conscience perceptive, seule donnant accès AU CHAIR ET À L’OS DE L’APPARAÎTRE.
J’ai pu ainsi vivre en synthétique a priori ce que pourrait être un jour un AUTO REFORMATAGE DE LA CONSCIENCE permettant un sommeil d’une profonde ouverture à l’être abyssal ontologique dans le sens de Heidegger (l’être n’étant pas l’étantité de la somme des étants).
Je comprends de mieux en mieux LE VAGABOND CÉLESTE.
Ce n’est pas une posture, ni un homme ou un évènement historique, mais plutôt un homme et un évènement HISTORIAL dans le sens où, contrairement au surhomme de Nietzsche, il resillonne l’ouverture à l’être du dasein à la manière de l’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRTES DE GIONO. De là son aperception et son accès… par l’ingression et la congressence à l’univers propre (authentique) de celui qui ne triche jamais avec son rêve.
Il n’y a pas de vie personnelle œuvre d’art sans une auto-reconfiguration du cerveau par les quatre questions dont la dernière (le rapport entre nos actes et la beauté du monde) annonce la nanodémocratie œuvre d’art en vue de l’éblouissement du surgissement de pays œuvre d’art.
La vie personnelle œuvre d’art, telle que prédit par Hegel, suivra la mort de l’œuvre d’art…. ou ne suivra pas.
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Michel le concierge
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