LE FEU INTELLECTUEL QUI S’EST PHÉNOMÉNOLOGIQUEMENT ALLUMÉ HIER DANS LA FORE^T ABSTRAITE DE MON AVENTURE INTELLECTUELLE EST DEVENU CE MATIN UN INCENDIE DE CRÉATION LIBRE ET SAUVAGE D’UNE DYNAMIQUE SYNCONCEPTUELLE D’UNE BEAUTÉ INOUIE

Mon cerveau est passé à la vitesse 2.7 k…. Je sais que j’arriverai à l’œuvre superbement…

Toutes les interfaces sont en place… avec une eumétrie étonnante….

L’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) a atteint sa maturation méthodologique…

la bibliothèque de l’université Mc Gill est devenue la chair ontique et ontologique de mon corps d’athlète intellectuel… ce qui m’a permis d’actualiser le vagabond céleste marathonien de la connaissance…. au point où j’événementise LE JEU DE PERLES de Hermann Hesse au cœur de moi-même, comme il l’aurait peut-être rêvé lui-même s’il n’avait pas été obsédé de son manque personnel au quotidien par rapport à son rêve.

Je survole en ce moment 15 heures par jour la hilosophie internationale transhistorique e5t anhistorique avec les ailes d’un chercheur d’or… non pas de ce que je peux y trouver par des lectures analogiques, mais par ce que certaines étiquettes détachées des notions, concepts ou architecture peuvent devenir des couleurs qui me manquent pour peindre enfin ce qui depuis toujours traîne en moi comme intention synconceptuelle…

Je me félicite de ne pas m’être inscrit à quelque cours que ce soit, à quelque université que ce soit… La secondarisation de l’enseignement au Québec depuis 30 ans a créé des dommages irréversibles… Les étudiants sont presque toujours des analphabètes en souffrance… Ils ont peu lu,l ils recherchent des diplômes et sont incapables de faire la différence entre une passion méthodologique personnelle et des exigences institutionnelles minimales permettant une diplômation acceptable.

On est loin de la période universitaire allemande qui produisit des génies au 19eme siècle parce que les professeurs enseignaient leurs recherches gratuitement devant être payés par des étudiants qui eux-mêmes étaient des chercheurs passionnés.

Ils fallait qu’ils soient des génies pour enseigner… et seuls les étudiants géniaux avaient accès véritables à leur cerveau.

Une seule des étudiants et étudiantes que j’ai cotoyés possède cette puissance, cette intensité, CETTE FIERTÉ DE NE JAMAIS TRICHER, à se battre pour son authenticité malgré son manque d’outils théoriques….. que les universitaires allemands auraient adoré… mais bon… on est dans une société de l’image, du téléroman, des émotions, des vécus, des conflits insipides … là où des heurts biens centrés sur un rêve pourraient permettre (par une vigilance au toxique existentiel, aux irritants de l’univers domestique et universitaire) le surgissement social de nouveaux Kant, Goethe ou Shakespeare…

bon ….

Concentrons-nous
il y a un Québec d’excellence
à inspirer
un Canada pays œuvre d’art
à prédire
une chaire en nanodémocratie
Frank Scott à fonder
à l’université Mc Gill même

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