LA QUESTION DE DOCTORAT S’ÉCLAIRCIT: QUELLES SONT LES CONDITIONS D,’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU PREMIER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE TERRE?

Depuis le 27 décembre 2007, je suis pour Michel et Marlène ce que fut Louis MckHenry Howe fut pour Franklin Roosevelt et Eleonor Roosevelt, un intellectuel dormant dans la chambre à côté, ne vivant que pour la réussite de leur rêve réciproque.

Je dors sur leur plancher dans la salle de couture. Michel cogne à ma porte vers 6h 15 du matin, je lui transmets les avancées théoriques de la veille dans le projet d’un doctorat vécu en équipe pour qu’un jour surgisse le premier pays œuvre d’art sur la terre, en souhaitant que ce soit le Canada. Marlène se lève vers 7.h a.m…. puis je les quitte vers 7h.30 pour la bibliothèque universitaire de Concordia et ne revient que lorsqu’ils sont déjà couchés.

Mais ce matin c’était spécial.. Michel a passé la nuit sur la touche finale du documentaire intitulé LE PAYS OEUVRE D’ART?

Nous le regardons la finale où est notre question de doctorat:

Quelles sont les conditions d’intelligence collective nécessaires au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

Et soudain je réalise que l’étiquette d’intelligence collective qui vient du chercheur international Pierre Lévy n’est pas opérationnelle pour bien synthétiser le dévoilement des attributs essentiels de notre question principale. Elle doit être remplacée par l’étiquette D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE qui elle ne fait partie d’aucune littérature consultée jusqu’à maintenant (à vérifier).

Marlène se lève… et nous comprenons tous les trois que le plan de match des deux prochaines années vient de faire un bond pragmatique…

Cette nuit, Michel remastérisera le film en modifiant l’étiquette d’intelligence collective pour celle d’intelligence philanthropique…

De mon côté, je terminerai la lecture de la biographie des présidents américains pour Noel 2015, puis celle des premiers ministres canadiens pour juin 2016, puis je vagabonderai l’ile du Prince Edouard cet été avant de  m’inscrire à la chaire sur la philanthropie de l’université Laval à Québec en septembre 2016, avec le documentaire en main, pour rédiger mon doctorat selon les normes méthodologiques rigoureuses exigées au niveau international. J’intuitionne donc de vivre en chambre sur le campus de l’université Laval à Québec…pour toute la durée institutionnelle et formelle de mon doctorat.

Voilà un impromptu impossible qui confirme mon intuition… Pour un intellectuel autodidacte, il est préférable d’attendre que sa question de doctorat soit limpide avant de choisir dans quelle université et sous quelle bannière et avec quel directeur de recherche, celui-ci pourra le mieux sculpter un champ paradigmatique relié irréversiblement à sa question fondamentale.

Pierrot vagabond