Je suis habité par l’impossible… Une humanité qui s’élève par dignité multiversielle parce ses nano-citoyens qui ont pris la décision de ne plus tricher décident d’unir leur passion de la beauté du monde pour faire planétairement contrepoids aux États criminellement responsables de leur manque de devoir d’humanité envers le plus petit.
Chaque arme, chaque guerre, chaque paradis fiscal est une insulte à ceux ou celles qui sont morts pour plus de justice sur terre.
Une de mes grandes blessures c’est d’avoir consacré 32 ans de ma vie à distraire des personnes humaines par la scène alors que mes forces auraient pu être plus humblement utiles ailleurs.
Quand je regarde la déconstruction de la métaphysique permise par le renversement copernicien de Kant, j’y vois un mur épistémologique inoui qui confronte la science, soit celle des trois énigmes dévoilées par la physique quantique: l’intriKHAtion, la décohérence et la multiversialité des mondes impossibles.
Tout se passe comme si après que la découverte du chaos et de l’infini de l’univers ait dissous la cosmoganie grecque, la troisième révolution reliée à la mise en K.O. des archés parménidiens et aristotéliciens avait relancée la panoplie des axiomes fondateurs de toute pensée locale ou universelle.
Non seulement la métaphysique a vécu sa déconstruction de Kant à Heidegger (réussie d’ailleurs)
mais elle se retrouve à l’horizon même de toute science, de toute métaphysique comme de toute science fiction.
Il en est ainsi de la science politique. L’O.N.U. et ses 193 états hobbiens sous l’égide des monarchies nucléaires vit ses derniers temps d’états voyoux au service d’intérêts axiologiquement particuliers fantomatisants des milliards de victimes les obligeant à des errances dégradantes d’impuissances et de larmes inutiles.
Pour Leibniz, la science était un songe bien lié. Pour Kant le schématisme permettait une opération idéaliste d’un passage conceptuel qui déployait une lecture des règles du réel , d’une praxis sous le jeu d’échec des formes.
Mais la fraîcheur dégagée par des découvertes contre-intuitives reliées à la probabilité quantique permettent une métaphysique de complicité, de SYNCHRO-NI-VIE-TÉ où il est possible de poser comme axiome que toute personne humaine qui prend la décision de ne pas tricher avec son rêve reçoit de l’impossible un merci sous forme de signes (Jung et Pauli avaient déjà soulevé cette énigme sans en avoir les paramètres nano-modernes du 21eme siècle).
WOW-T=2.7K?
Un axiome nano-citoyen-planétaire fondateur de l’impossible sur terre pour qui conque ne triche pas avec la beauté du monde et le droit inaliénable à toute personne humaine naissant sur cette terre à une vie personnelle œuvre d’art.
Et si wow-t=2.7k? était fondatrice d’une nouvelle métaphysique où ni la raison (Kant) ni la foi (des romantiques allemands entre autres) n’était la barre de mesure, l’éthique de la critique de la raison pratique basée sur le devoir universelle… s’inclinant bien bas devant la puissance d’un rêve singulier (Kant) porteur d’une recohéence intriquée multiversielle exponentielle.
à suivre…
Pierrot vagabond
au nom, par et pour
notre équipe de recherche
Auld, Woodard, Rochette