Comme tout se précise… plus j’étudie les relations internationales versus l’ONU et ses agrégats satellites, plus je demeure convaincu que le préambule de la quatrième génération des droits de l’homme doit reposer sur LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART comme droit inaliénable de toute personne humaine habitant sur la planète terre.
L’été 2016, je partirai donc anonymement de la maison de Borduas à St-Hyacinthe (le refus global) pour marcher solitairement vers le secrétariat de l’Onu le long de l’est River à Manhattan, New York (l’édifice de 39 étages) pour y déposer une proposition pour le 70ème anniversaire et du refus global et de la déclaration des droits de l’homme de 1948.
Je souhaite que ce geste soit anonyme, Je laisserai le message au gardien à l’entrée pour être remis au secrétaire général de l’Onu en main propre. Ce geste, issu de l’art de l’infiltration sociale par un artiste activiste humaniste, servira de fondement à mon cadre théorique, comme à l’écriture argumentative de mon doctorat, au cœur de ma stratégie contextuelle du CANADA PAYS OEUVRE D’ART.
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Une des conditions d’intelligence philanthropique nécessaire au surgissement du premiers pays œuvre d’art sur la terre m’apparaît la primauté des droits de l’homme sur celle du droit des états (souveraineté).
Et ces droits de l’homme doit reposer sur le premier droit qui est celui de la liberté à rêver sa vie sous forme de quatre questions: 1- Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
La beauté du monde est un bien mondial, comme la paix, comme la lune, qui appartient à toute l’humanité civile et non aux états, dysfonctions de la coutume historique où tous les droits dysfonctionnels sont honteusement, je dirais même scandaleusement protégés par la règle de la souveraineté absolue, sous laquelle se cachent les riches pour exploiter les démunis de la planète.
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Pierrot vagabond