AB
Définition
(28 mai 2022) étymologiquement …. le AB , c’est le K-OEUR …. élément central de la personne humaine …. poétiquement, le ab …c’est la matrice du CHAMP K-ONSTELLAIRE ou le k-oeur humain se réinvente sous une EUPHORIQUE D’AGRÉGATS costumés de RÊVONS .
Définition
b \ab\ masculin
- (Mythologie égyptienne) Cœur, élément central, partie de l’âme humaine.
- Spécialistes de l’observation, du sondage de la richesse de l’univers, et de la recherche du savoir, les Égyptiens ont dégagé de cet univers 9 éléments constitutifs de la personne humaine à savoir : Le Kat, le Sahu, le Ab, le Ka, le Ba, le Khaibit, le Khu, le Sekhem, le Ren. Voyons à présent point par point la signification et l’importance de chaque élément.
[…]
Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine.— (Messack Pock, Conception africaine de l’homme, in Nathanaël Ohouo (éditeur), Dieu et l’homme : éléments d’anthropologie pour chrétiens et églises d’Afrique, Éditions CLÉ,
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La vie après la mort chez les égyptiens, documentaire Égypte ancienne (you tube).
1, (0.00) 35 siècles avant l’ère chrétienne et environ 2500 ans avant les prophètes du nouveau testament, les anciens égyptiens méditent déjà sur le plus profond et le plus insondable mystère de l’existence humaine. Toutes les sociétés se retrouvent avec le plus grand mystère de la vie, la mort. Cependant, peu ont abordé la mort aussi directement ou avec un respect aussi important , avec autant de cérémonies et de rituels que les anciens égyptiens. Pour eux la mort n’est qu’un cycle parmi toute une série. Le Nil se gonfle puis redescend, les récoltes sont plantées puis vient la moisson. Une personne vit puis meurt. Cependant si vous êtes bien préparé, le plus important de tous les cycles COMMENCE APRÈS LA MORT. (0.56)
2, (0.56), Depuis l’aubr de leur histoire, les égyptiens croient fortement à la vie future, une existence qui continuerait éternellement. Pour ces anciens égyptiens , la mort n’est qu’une transition. Dans l’Égypte ancienne, la mort était toujours présente, PARCE QUE POUR EUX, CE N’ÉTAIT PAS LA FIN DE TOUT COMME ÇA L’EST POUR NOUS. C’était simplement un changement d’état. Et bien sûr ils vont continuer de vivre et leur âme, leur force de vie, leur eprsonnalité va pouvoir transcender tout le traumatisme réel de la mort et continuer dans la vie suivante. Le concept égyptien de vie éternelle se distingue quelque peu de celui des cultures chrétiennes qui suivront dans les siècles à venir. LES ÉGYPTIENS N’ASPIRENT PAS À UNE VIE MEILLEURE, À UNE SORTE DE PARADIS CÉLESTE APRÈS LA MORT. ILS VEULENT SIMPLEMENT CONTINUER À VIVRE LA VIE QU’ILS CONNAISSENT ET APPRÉCIENT ICI, SUR TERRE. (2.05)
3, (2.05), La Société égyptienne consacre une énergie considérable aux rituels concernant la mort. (2.17)
4 , (5.41) aucun égyptien n’était enterré sans préparation pour la vie à venir. Cet homme a été envoyé dans l’éternité avec un collier (…….) …(6.39)
5, (6.39), Mais on ne passe pas automatiquement du monde des vivants à la vie éternelle des morts. C’est un processus complexe et soumis à un grand nombre de rituels qui ne peut être entrepris avec succès que par ceux qui ont mené UNE VIE MORALE. Et ils doivent être prêts à surmonter de nombreux obstacle. Le passage dans la vie future se produit dans une région que les égyptiens appellent les enfers. C’est le grand dieu Osiris qui gouverne ce royaume profondément mystérieux. L’âme du défunt est présentée à Osiris et à un tribunal de 42 juges. Ici on lui pose une série complexes de questions et de devinettes concernant sa vie. Il est impératif d’y répondre correctement pour gagner la vie future. (7.32)
6, (7.32) ils devaient passer un test moral et rituel avant de pouvoir entrer dans la vie future. Il s’agissait de juger de leur valeur morale et éthique. Ensuite ils recevaient des pouvoirs magiques dans la vie future qui devaient leur permettre de triompher des nombreux dangers qu’ils y rencontreraient. La partie la plus cruciale de cet examen était connue sous le nom de la PESÉE DU CŒUR. Au cours de cette cérémonie, le cœur du défun était mis en balance avec une plume. Si le cœur et la plume était en équillibre, la personne pouvait accéder à la vie future. L’enjeu de ces tests étant tellement important, il était naturel pour les anciens égyptiens de chercher de l’aide. (8.20)
7, (8.20),
Discursif de base
Selon un des sens du dictionnaire…. il est dit que …. le ab …. c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le K-œur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine.
Ajoutons cependant que …dans le glossaire K-onstellaire du traité des abs …. (Un AB, poétiquement , c’est …aussi …. un champ constellaire de ABS ….. à partir duquel le K-OEUR HUMAIN se ré-invente sous une euphorique d’agrégats costumés de RÊVONS ….ou ….le même ….. AB ….. sous forme intriquée de ABS se métamorphose de MÊME en MÊME (dans le sens de Dawkins) …. sous des costumes D’ABS-SENS CRIBLÉS D’ABSOLUS) …. dans le grand bal masqué de L’ABS-POÉSIE de L’ABS-XISTENCE MULTIVERSIELLE HUMAINE.
L’abduction (Peirce) se caractérise particulièrement par l’importance donnée au ? (point d’interrogation) précédant hiérarchiquement l’importance donnée à la question….
Tant qu’on N’ENSEIGNERA PAS…. aux doctorants à être des peintres de chef d’œuvre de leur pensée abstraite, qu’on ne séparera pas la guidance méthodologique du respect incontournable de l’évolution abductive de la problématique, on ne pourra aspirer à des doctorats d’invention… DES PEINTRES OEUVRE D’ART DE LA PENSÉE ABSTRAITE NE S’ÉPANOUISSENT QUE DANS ET PAR LA PENSÉE ABDUCTIVE RESPECTÉS DANS LE FIL D’OR DE LEUR PROBLÉMATIQUE.
Depuis plus de 12 ans maintenant, notre équipe de recherche multi-contextuelle (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond-chercheur) réfléchissons à cette question en ***MISANT*** (Michel) sur l’opérationnalité d’UNE INVENTION JAILLISSANT DE L’INTUITION, telle que définie par le mathématicien Pointcarré, métamorphosée en ABDUCTION par Peirce pour être finalement orchestrée en CONSTRUCTIVISME RADICAL par Lemoigne.
LES NOTIONS DE TRICHERIE ET DE NON-TRICHERIE seront déposées paradigmatiquement comme deux axiomes fondateurs de notre argumentaire, et cela au sens où trois questions secondaires en découleront nous semblent-t-ils, nécessairement…