LA MÉTAPHYSICIENNE-SOCIOLOGUE DOCTORANTE
GAELLE ETEME
L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE PIERROT VAGABOND CÉLESTE

LA MÉTAPHYSICIENNE-SOCIOLOGUE DOCTORANTE
GAELLE ETEME
L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE PIERROT VAGABOND CÉLESTE

La pandémie fut pour Gaelle, Pierrot, Marlene et Michel…. un moment de synchroni-vité exceptionnel pour imaginer, en équipe de recherche élargie… l’avenir par LE PARI DU RIEN.
L’expression est venue de Gaelle… lors de notre marche philosophique… car curieusement… je dis à Gaelle… c’est drôle… cette année j’ai décidé que j’aurais du succès… Et Gaelle de me dire… c’est drôle… c’est la première fois que j’entends ce mot dans ta bouche depuis 2 ans qu’on fait de la recherche ensemble…
Et moi de dire… Oui… Je ferme les yeux… et je nous vois… toi et moi sur le bord d’un lac… en co-locataires ….ou co-propriétaires … avec chacun notre espace… ou nous nous visitons pour faire équipe de recherche métaphysique …. dans un nuit et jour de créativité , habitant tout près de Marlene et Michel… et mon rêve… c’est le succès de l’équipe …. Marlene, Michel, Pierrot, Gaelle … et mon rêve… c’est que mon oeuvre, cette année…. apporte les sous… pour construire cette maison sur le bord de l’eau à Grandes Iles…. Et il y a justement un terrain à vendre…. une vieille cabane à détruire… une nouvelle à construire….
L’oeuvre métaphysique que tu portes en toi Gaelle me semble vocationnelle… et moi j’ai la vocation de prendre soin du rêve d’une autre personne sans intérêt personnel caché… et depuis que je prends soin du rêve des autres… c’est la première fois il me semble que j’ai le talent pour accompagner la bonne personne… (Au sens ou par exemple… quand j’ai pris soin de l’ermite de St-Félix d’Otis,,, je n’avais aucun talent en agriculture)
Pourquoi j’ai ce rêve là? Parce que la crise du corona virus a précipité la fin de mon vagabondage universitaire, tout en favorisant chez Marlene et Michel une nouvelle épopée…. au sens ou en parfaite eumétrie entre nous basée sur la justice épistémique, je peux maintenant travailler la nuit sans déranger et dormir l’après-midi… tout en ayant le matin avec Marlene et Michel nos conseils d’administration de la créativité et le soir… avec Gaelle dans son appartement transformé en atelier de travail intellectuel… nos recherches en pensée abstraite pure… Gaelle ayant elle-même quitté son bureau à l’UQAM pour terminé la préparation de l’examen de synthèse de son doctorat…
Et j’aime travailler 7 jours par semaine…. nuit et jour… parce que cela est beau….
Je n’ai jamais été aussi heureux… Je peux maintenant non seulement pratiquer l’amitié oeuvre d’art théorisée sur de nombreuses années consacrées au vagabondage de la beauté du monde… mais pour les merveilleuses années qui me restent à faire de la recherche philosophique… être entouré des trois personnes qui me soulèvent enthousiasme et douceur d’amitié…. Marlene, Michel, Gaelle…
J’ai raconté cela à Marlene et Michel ce matin… Je disais Marlene… tes jardins sont le k-oeur même de ta philosophie de la vie… toi Michel… toute la suite de ta vie d’artiste va passer par Internet…. Quand à Gaelle,,,, c’est une chercheuse nuit et jour consacrée à la pensée abstraite qui ne rêve que d’un bord de l’eau pour poursuivre ses recherches et publier…. et quant à moi , après avoir vagabonder le pays en quête des grands rêveurs, puis vagabonder 4 universités ç titre de recteur poétique, j’aimerais vagabonder l’amitié oeuvre d’art et publier là-dessus
Je pense que le titre de mon livre serait;
LE PARI DU RIEN
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Marlene et Michel ont vu aussi la beauté DU PARI DU RIEN… à partir d’un rêve d’équipe…. faire le pari que cette maison rêvée sur le bord d’un lac consacrée à la recherche métaphysique devienne un événement incontournable survenant bien plus tôt que prévu…
LE PARI DU RIEN…
faire le pari que même si l’on est rien, même si l’on arien dans la vie… un rêve big bang peut enchanter la beauté du monde par l’impossible
Pierrot vagabond
COURRIEL DE SIMON

J’ai eu mon plus vieux rêve à 6 ans. Depuis, j’ai tout réaliser mes rêves sauf celui de mes 6 ans.
J’ai toujours la tête dans l’univers. Est-ce que je suis extraterrestre? Non, juste un peu rêveur.
Aujourd’hui je pratique les métiers les moins payants du monde. Auteur, Créateur, Philosophe et Rêveur
Une grande célébration est prévue, dimanche, à la boîte à chansons Les 2 Pierrots, dans le Vieux-Montréal, afin de rendre hommage au défunt chansonnier Pierre David, véritable pionnier de la célèbre institution et qui a perdu son combat contre le cancer le 21 juillet dernier.
Inaugurée en 1974, Les 2 Pierrots a été baptisée en l’honneur de deux hommes, Pierre David et Pierre Rochette, qui ont marqué les débuts de l’endroit par leurs talents de chansonniers et d’animateurs.
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Cher Pierrot….
Déjà 8 ans que tu es décédé…. Nous avons partagé la scène pendant de si belles années… l’âge d”or des boîtes d’animation au Québec… toi et moi avons créé la marque… le style… imprégné de notre complémentarité l’imaginaire d’une guitare dans la fête….
Nous avions l’âge de notre public… le Québec se rêvait… et nous le faisons rêver… Quand il y a eut la fête en ta mémoire au Pierrot… je n’y suis pas allé…. la poésie n’est jamais au rendez-vous dans ces moments-là… et moi… comme tu me connais bien… je ne vais jamais aux baptêmes, mariages ou enterrements…. J’ai porté ton deuil dans mon k-oeur ami… en me disant… qu’un jour… je pourrais nous écrire… doucement comme on allume un feu un soir de pleine lune l’été et qu’on sort nos guitares… juste pour se chanter d’amitié…
Quand on a fondé les Pierrots deux Pierrots toi et moi…. nous chantions jusqu’à épuisement… très souvent dans les deux boîtes, 5 , 6 et parfois 7 jours semaine…
Durant toutes ces années… nous n’avons jamais eu une seule altercation… Tu étais un génie de l’animation de foule… tu aimais briller et moi j’aimais te rêver, nous rêver… théoriser notre talent pour faire un traité des lois de l’animation de foule, ce que je fis d’ailleurs et ce qui me permit d’enseigner les lois de l’animation de foule plus tard par micro-décodage grâce à deux cameras qui enregistraient la performance des chanteurs… 20 secondes sur scène 10 secondes sur la foule….
Nous avions nos classiques
Moi j’aimais chanter LA BUTTE DE GEORGE LANGFORD… parce que ça habillait bien les débuts et les fins de veillée….
toi… tu aimais chanter CHARLIE DE GILBERT BÉCAUD parce que la salle s’.écroulait d’hypnotisme sous le charisme de ton interprétation
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Et quand je montais sur scène au congo et voix pour chanter et t’accompagner… c’était le délire… un merveilleux délire de poésie…. C’était cela toi et moi… des explosions… nous étions si versatiles…. tu chantais… j’analysais la salle.,.. je montais t’accompagner… tu débarquais… je prenais ma guitare… c’était un feu roulant… imprévisible…. une joie de vivre impétueuse…. et cela pouvait durer sans baisse d’intensité de 8 heures le soir à trois heures du matin…. Nous étions jeunes, solides…
Tu te rappelles… Marcel Picard est venu nous rejoindre…. 2 belles années…. oui deux belles années d’amitié oeuvre d’art…
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QUAND MARCELPICARD EST MORT
quand Marcel Picard est mort
tu m’as écrit un courriel
pour me dire
de ne pas
me présenter
à la soirée
des chansonniers
que j’avais besoin
d’un psychiâtre
que je devais
aller me faire
soigner
mon ami…..
oh mon ami bien aimé
COUPLET 2
quand j’ai marché
de Montréal
jusqu’au bout
de la Gaspésie
parce que j’rêvais
d’une poignée de main
immortelle et jolie
tu m’as dit
que ca s’faisait pas
d’aller chez l’monde
sans téléphoner
que tu m’paierais
le psychiâtre
que je devais
m’en r’tourner
mon frère….
oh mon frère bien-aimé
COUPLET 3
j’étais jeune marié
j’écrivais jour et nuit
et n’vivais que pour mes doigts
et la poésie
t’es partie
un soir d’hiver
t’es allée sonner chez mon frère
pour lui dire que j’étais fou
à ton avis
oh ma femme
mon ex-femme bien-aimée
FINALE
si de rêver jour et nuit
à la grande oeuvre de sa vie
qui traversera les siècles
comme celle de ses amis
Francois Villon
Ruthebeuf
Rimbaud
et Picasso
alors oui
mon ex-femme, mon frère
mon ami
je suis atteint
de cette
folie
qu’on appelle
la poésie
Pierrot
vagabond céleste
La poésie…. La vie n’est que poésie…. du moins pour le poète… Mais qu’est-ce donc que la poésie?
Je crois que c’est l’envers de l’horreur… le privilège que de n’être autre chose que le rien qui danse en soi pour mieux témoigner de la souffrance universelle des errants fantomatiques qui eux vivent l’invisibilité des abandonnés des chances d’avoir accès aux ressources et encore pire… celle des errants axiologiques qui se battent hiérarchiquement pour monter d’un barreau de l’échelle sociale…
Je ne sais trop que dire… Le poète n’est habité que par la poésie … J’ai beau fermer les yeux… elle est toujours là dansant en moi… j’ai beau ouvrir les yeux… elle est encore là… j’ai beau vieillir… elle est encore et encore et encore jeunesse éternelle du vent qui soufflait dans la fenêtre de garage du café St-Vincent quand je chantais sur le petit banc… de la petite scène … soir après soir… pauvre… si pauvre… mais si riche…
La beauté du monde faisait en sorte… que je m’évanouissais de l’intérieur… parce que cela était impossible que ce ne soit pas moi qui chante… que les applaudissements du public me laissait indifférent… ni voyant que le piège du paraître… Comme m’avait déjà dit Suzanne Fortin, la belle grande fille de Recyclo-livres… JE SUIS AMOUREUSE DE TON ÂME….
Je dois avouer aujourd’hui que je n’ai jamais aucun talent en amour… Je me rappelle Pierrette qui était vérificatrice bancaire à l’international…. Un jour… je reçois une lettre d’amour…. bien sûr… une belle fille qui a le courage de t’écrire une lettre d’amour… c’est quand même un événement dans une vie…
Mais les deux hobos en moi qui sautent du train de la condition humaine chaque fois que cela devient sérieux… te font un handicapé de la peur d’être seul… Et encore une fois… une nouvelle femme dans ma vie… et encore une fois… la poésie qui me disait… fuis… fuis… la poésie peut rarement gagner contre l’usure du quotidien…
Je me rappelle… Je passais mes nuits chez elle, aprèes le spectacle è l’auberge avec Denis… è lire Krhisnamurti… des nuits entières… et Pierrette de me dire… si tu ne me fais pas l’amour… je vais me trouver un amant… et moi de lui répondre… Je préfère que tu te trouves un amant… c’était terminé….
Je me rappelle… j’étais dans le train avec une de mes ex-femmes… Nous venions de créer un nouveau spectacle à l’auberge… cela m’avait demandé de nombreuses recherches sur le western américain… en fait… nous avions un spectacle country qui nous permis Denis et moi de faire 2 fois le festival de Ste-tite…
Nous étions dans le train… et j’avais apporté un gros volume en anglais sur le burlesque américain… et mon ex de me dire… c’est ça… on est en vacance et tu lis encore… Terminé que je me suis dit… à la gare suivante… je fis en sorte qu’elle s’asseoit plus loin pour que la poésie qui m’habite ne me trahisse pas…
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J’étais , nuit et jour, poésie… fou de poésie… comme quand j’écrivais des nuits entières mes cahiers de chansons au dactylo… comme quand je passai plus de 14 ans à bosser sur une maîtrise … Parfois.. la salle était en délire…Je me rappelle entre autres, à Gatineau je crois… Pendant que j’étais sur scène… et que le public dansait sous mon talent…moi… je courbais le pacing et l’improvisation pour varier à l’oreille les trois formes de rire (le rire de supériorité, le rire de libération, le rire de l’incongruité) … et là. lorsque j’avais fais une avancée théoritique… je n’avais hâte qu’à l’intermission pour déposer cette avancée intellectuelle… bien écrasé contre le plancher… Denis arrivait et disait… c’est le temps de retourner… et moi de lui dire… donne-moi 5 minutes… j’ai pas fini… et passionnément… je poursuivais la seule chose qui m’intéressait… témoigner par l’écriture de mes avancées de laboratoire… car pour moi… faire de la scène.. c’était d’abord un laboratoire de recherche poétique… 250 fois par année… j’étais poésie-chercheur…. d’un rêve étrange…
Parfois les brosses d’être étaient si intenses…. comme ce fameux soir d’été au Patriote de Ste-Agathe… ou je vécus un coup de foudre pour une jeune femme… j’arrivai sur la scène et je dis: Mesdames et Messieurs.. ce soir le spectacle ne durera pas 20 minutes… aujourd’hui j’ai vécu un coup de foudre… et j’ai la chance cette nuit de vivre une extraordinaire nuit d’amour… et je débarquai…. prit ma guitare et partis…
Je me rappelle… Denis était à l’arrière dans le petit bureau… et tenait sa tête dans ses mains… A ma grande surprise… des hommes vinrent me serrer la main en tremblant…. j’avais touché en eux quelque chose qu’ils n’auraient jamais l’occasion de vivre… et ile me remerciaient d’avance de le vivre pour eux…
C’était une très belle femme…. On s’était donné rendez-vous dans un parc… Elle travaillait à l’auberge… on dirait qu’elle avait vu en moi ce que je n’avais pas encore vu moi-même… le vagabond qui s’apprêtait à tout lâcher pour vivre radicalement la poésie qui l’habitait…. C’est elle qui m’avait dit… T’ES PAS TANNÉ DE FAIRE LE SINGE EN AVANT… Elle avait visé juste… Ma maîtrise sur le rire était terminée… j’avais l’impression de n’être plus que la caricature de moi-même…
Nous arrivâmes à l’ancienne maison de Raymond Levesque qui était la mienne sur la Butte aux Pierrots (l’ancienne butte à Mathieu)… elle alluma des chandelles… et fit des incantations une partie de la nuit …. pour que mon vrai moi surgisse… Tout chez elle était délire…. Je fus inquiet au point ou je cachai les couteaux… Nous dormîmes l’un près de l’autre… Étrangers… elle dans le délire… moi dans la poésie… elle partit à pied dans la nuit… j’ai su plus tard que la police l’avait ramassée sur la route et qu’elle était entrée en psychiatrie…
Le lendemain… la salle du Patriote était bondée… mais bondée… Je reconnus des visages d’hommes qui m’avaient serré la main la veille et qui voulaient connaître la suite de l’histoire… et je racontai la catastrophe que fut ma nuit… et le spectacle fut étrange… comme de la poésie au clair de lune qui s’était trompé de soir….
Ce jour-là… je sus que j’avais franchi une ligne… Je ne faisais plus la différence entre ma vie poétique et les lois de la scène… C’est pas longtemps après que sur scène à l’auberge…. je chantai la quête de Jacques Brel et quittai à jamais par la porte d’en arrière…
J’apportais avec moi… la poésie de ma jeunesse… intacte…
Seule la poésie comptait…. chaque visage de femme n’était que le nouveau masque sous laquelle elle venait se reposer… plus j’étais pauvre, plus j’étais sans le sous, plus j’étais poète, plus de très belles femmes venaient mystérieusement hanter l’enchantement des rêves uniques….
C’est ainsi que Mademoiselle Marie débarqua avec son chien… alors que je n’étais qu’écriture devant le poêle a bois… et que je me ramassai à Victoriaville… dans sa maison…. a travailler nuit et jour à Monsieur 2.7 k… à lire,lire, lire, lire… à hurler à la bibliotheque là ou mon ami le poete Richard Gamache était concierge…. à hurler…. ma colère de ne pas trouver ce que je cherchais… Cher richard…
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NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD ROCHETTE) Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
1. Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception…..
2. Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art. a) Quel est ton rêve?…b) dans combien de jours…c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?…d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?….
3. Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation soit lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
4. En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?….
5. Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE…..
6. Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 2×39 vies personnelles œuvre d’art en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE. ( 2 assemblées des justes, 39 femmes, 39 hommes*) ….
7. Imaginons que ces deux assemblées des justes œuvre d’art (39 femmes, 39 hommes) se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière….
8. Imaginons que….. la cinquième question…. (EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?) devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls…..
9. Imaginons qu’une fois les deux assemblées des justes réunies (39 femmes, 39 hommes) , un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionnée comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde….
10. Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre…..
11. EN CONSEQUENCE DE QUOI….Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour ….. DES PAYS OEUVRE D’ARTS …… DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….
12. .La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel œuvre d’art, la liberté œuvre d’art reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU….. objectif:….nouvelle conscience éthique-esthétique planétaire en vue de la réforme des états …… en pays œuvre d’art ….. et cela …… par la masse critique nano-numérique des vies personnelles œuvre d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde……
13. L’implantation planétaire de la nano-citoyenneté pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:– retour sur les quatre questions… menant à la cinquième question éco-philanthrope de l’espace-monde:-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

PHOTO JOHAN ORDONEZ, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
(Nations unies) Les conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 pourraient pousser jusqu’à 86 millions d’enfants supplémentaires dans la pauvreté d’ici la fin de l’année, selon une étude conjointe de l’ONG Save the Children et de l’agence onusienne UNICEF.
Au total, ce serait ainsi 672 millions d’enfants touchés par la pauvreté, soit une augmentation de 15 % par rapport à l’année précédente, précisent les deux organisations dans un communiqué mercredi.
Près des deux tiers de ces enfants vivent en Afrique subsaharienne et en Asie du sud.
L’augmentation du nombre d’enfants touchés par la pauvreté à cause de la pandémie se réaliserait surtout en Europe et en Asie centrale, selon l’étude qui s’appuie sur des projections de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international et des données démographiques dans une centaine de pays.
Avec une action immédiate et efficace, « nous pouvons contenir la menace de la pandémie pesant sur les pays les plus pauvres et certains des enfants les plus vulnérables », juge de son côté Inger Ashing, patronne de Save the Children. Ils sont « très vulnérables à des périodes de faim même courtes et à la malnutrition qui peuvent les affecter durant toute leur vie », avertit-elle dans le communiqué.
Les deux organisations demandent notamment aux gouvernements d’étendre rapidement leurs systèmes de couverture sociale et l’alimentation dispensée dans les écoles pour limiter les effets de la pandémie.
Ma vie ressemble à celle des coureurs des bois… du moins dans mon imaginaire… tout n’est que forêt, canots, chûtes, rapides, feu de camp, vent dans les arbres et cheveux aux douceurs ineffables….
quand je revisite mon passé….c’est comme si le coureur des bois en moi arrivait à l’improviste au beau k-oeur des débris de sa mémoire du k-oeur….
Combien de fois sur scène j’ai voulu retenir le temps… surtout quand des bitts de burlesque que j’avais inventé pour accompagner ma maîtrise sur le rire me faisaient laboratoire de la condition humaine….
J’avais été impressionné par le roman au nom de la rose d’umberto Ecco….
Vagabonder dame Pauvreté fut un honneur…. Sans boire, ni fumer, ni droguer…. avec un vieux chapeau, barbe longue, un bâton de pèlerin et un sac à dos…. chaque morceau de poésie m’ayant été offert sans que je ne le demande le long de ma route… je découvris l’abondance spirituelle… celle du k-oeur et de la k-ompassion
Quand Fred Pellerin chante LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE …. cela me va droit au k-oeur…. Ma route vagabond fut parsemé d’amours poétiques … de femmes-fées… que j’ai du fuir comme mes deux hobos ont sauté su train…
COUPLET 1
Suzelle
ta vie ressemble a un de ces lampions
qui brûlent le soir dans ton église barrée
y a plus personne dans tes nuits pour t’eteindre
ou t’allumer d’un amour passionné
Suzelle
perdue dans le presbytère d’à coté
tu habites à la place de ton curé
un vieux bâtiment très dur à chauffer
si mal barré qu’t’as l’goût d’déménager
REFRAIN
tu t’promènes tu t’promènes
entre Dieu et ta peine
agente de pastorale
6 jours semaines
mais
l’dimanche soir, l’dimanche soir
entre dieu et ton dortoir
tu rêves d’un amour
trop humain trop humain
trop humain
qui te brûle
dans le noir
COUPLET 2
Suzelle
ma vie ressemble à celle d’un vagabond
qui partout frappe à des églises barrées
hier soir j’ai tellement gelé sur le perron
de ton clocher
j’enviais tes lampions
Suzelle
ma liturgie à moi c’est les étoiles
les oies qui chantent que j’vois pas dans le ciel
qui passent dans l’noir au dessus d’ton presbytère
ou tu t’enterres en quête de deux ailes
COUPLET 3
Suzelle
sais-tu pourquoi y a tant d’églises barrées
dans mon Québec que j’ai tellement aimé
c’est que le sexe vécu sans la bonte
ça oté le goût de s’agenouiller
Suzelle
sais-tu pourquoi y a tant de presbytères
vieux désuets mal chauffés mal aimés
c’est pour que de célestes vagabonds
à ta fenêtre te rechantent ma chanson
Pierrot
vagabond céleste
——————
Ah Suzelle…. je dormais sur un congélateur dans un petit restaurant du lac è Beauce,,, et tu y passais… pour venir le dimanche après la messe pour y déjeuner… J’étais seul , pauvre, mais heureux… Je rêvais du Yukon, de liberté… de fuites entre deux amours impossibles….
Tu vivais dans un vieux presbytère… seule… sortant d’un amour difficile. agente de pastorarle… tu avais vécu une histoire d’amour avec un agent de pastorale… tu sortais d’une souffrance.
Nous étions à 10 minutes de marche… C’était l’hiver… la nuit… je m’entraînais le long de la rivière St-Maurice dans des tempêtes impossibles… parce que je rêvais du Yukon…
Quand je passais devant ta chambre… le k-oeur me débattait… j’étais pris entre la fuite de mon rêve et l’attraction du tien. Je m’assoyais sur le parvis de l’église et je me disais qu’elle était barrée… que c’était un scandale… Pendant que les lampions étaient au chaud, les vagabonds avaient froid….
J’avais froid…. Que c’est dramatique d’être amoureux quand ce n’est pas ta destinée d’en vivre:)))
C’est sur le parvis de l’église, les doigts gelés que j’ai écrit cette chanson pour me dé-ensorceler de ta beauté
COUPLET 1
l’homme orignal gémit
câle la femelle la nuit
c’est infernal
le rêve
de l’homme animal
la femelle veut un petit
du plus puissant buck
de la nuit
c’est visceral
pour l’homme animal
d’être choisi
alors
il
gémit
REFRAIN
j’arrive pas à croire
qu’à mon âge
j’ai encore de l’orignal
dans l’milieu du cadavre
même si
dans la neige mouillée
mes vieilles bottes sont trouées
mes deux bas sont trempés
j’ai quand même
quand même
un jeune buck
de caché
en d’dans d’moé
pis une femelle l’a flairé
mais pas question
d’lâcher lousse
l’homme-orignal
l’autre bord
de moé
COUPLET 2
entre le restaurant
et la vieille école barrée
y a deux maisons
une église
à traverser
j’ai beau
marcher ben ben vite
attendre qu’arrive
la nuitte
même une femelle
qui dort
peut lancer
un appel
à l’orignal
en elle
COUPLET 3
ça fait trois ans et demie
que j’ai pas d’femme
dans ma vie
j’étais ben sûr
que l’problème
était réglé
y a suffit
d’un rêve la nuit
d’un homme orignal
qui gémit
pour que la soif
de boire aux lèvres
d’une belle femelle
me fasse
gémir
vers elle
Pierrot
vagabond céleste
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Puis je t’ai écrit ta chanson que je t’ai chanté à ta table… LA CHANSON DE SUZELLE …… tu t’es sentie humiliée devant tes amies…. et le charme entre nous cessa.. ET J’AI PU REPRENDRE LA ROUTE DE L’IMPOSSIBLE.
Pierrot vagabond
LE BAL CHEZ TEMPOREL… GUY BÉART
Voilà une chanson que je chantais en fin de soirée…. quand la clientèle n’écoutait plus…. comme j’adorais quand le public n’écoutait plus vers 2h du matin… je pouvais danser la vie entre ma guitare et ma voix…
Je tournais les feuilles de mon gros cahier… et je retrouvais le bal chez temporel de Guy Béart…. ma chanson… celle qu’on ne peut chanter que pour soi… et comme elle était très courte… je la recommençais sans cesse… et comme le public était trop heureux à boire… la chanson pouvait suivre son cours comme un ruisseau qui n’en finit plus d’enchanter la vie….
Je crois que mon plus grand rêve , à cette époque là fut que la plus belle fille du monde soit abasourdie devant l’impossible de cette chanson et l’impossible de sa répétition et qu’elle se dise… je veux vivre la poésie de cette chanson avec cet artiste… dans un café… vivre le bal chez temporel comme la poésie de cette chanson…
Je rêvais de l’impossible…. non pas de la belle fille, non pas de moi avec elle… mais de la chanson LE BAL CHEZ TEMPOREL… dans le juke box… pendant qu’une fille et un gars en immortalisait la peinture d’un impossible heureux.
Et cela m’est un jour arrivé…. chez Gaspard, aux iles de la Madeleine… faut dire que René Robitaille y fut le premier chansonnier du Vieux Montréal à y chanter…. et comme les clients l’adoraient et qu’il buvait avec eux… la cassette de Guy Béart se mit è jouer, jouer et jouer… au point ou quand René quitta… il y laissa sa cassette…
Et moi j’arrivai par avion… les clients me demandèrent d’apprendre les chansons de Guy Béart que je ne connaissais pas… et c’est ainsi que j’appris LE BAL CHEZ TEMPOREL… et c’est ainsi… qu’un soir… une belle fille de la salle et moi fumes seuls è une table pendant que la cassette joua LE BAL CHEZ TEMPOREL…
La poésie d’une seule chanson ….
ma vie
Pierrot vagabond