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JE FAIS LE PARI QUE DANS LE PLI BIG-BANG D’UN RÊVEUR COMME DANS LE PLI BIG BANG DU 2.7K DE L’UNIVERS (LE BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE SOUS LA FORME -CONTE DE WOWWWWWWWWWWWWWWWW….. IL Y A LES MÊMES INFORMATIONS CODÉES ALGORITHMEMENT AU SUJET DE CE QUI S’EST PASSÉ DANS L’AVANT BIG-BANG, IMPOSSIBLES NI À RATIONNALISER PAR LA LOGIQUE, NI À IMAGINER PAR SOIT LE CONSTRUCTIVISME RADICAL, SOIT LE LE CONCEPTIVISME PROBABILISTE-PROBLÉMATOLOGIQUE-ANTHRPIQUE…. DE LÀ MA LECTURE DU 700 PAGES DE GILSON SUR JEAN DUN SCOT…. TOUT SE CACHE PEUT-ÊTRE DANS LA QUERELLE DES UNIVERSAUX SOUS SA FORME NANO-MODERNE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE…AU SENS D’UNE RÉALITÉ MULTI-SCALAIRE TELLE QU’ELLE SE DANSE DANS LE GÉNIE DES CONTEURS DEPUIS L’AURORE DES TEMPS HUMAINS AUTOUR D’UN FEU DE CAMP

WIKIPEDIA

Jean Duns Scot (vers 1266 à Duns – 1308 à Cologne), dit aussi John Duns Scotus en anglais, Johannes Duns Scotus en allemand, surnommé le « Docteur subtil » (Doctor subtilis), est un théologien et philosophe écossais, fondateur de l’école scolastique dite scotiste. Il fut la fierté de l’ordre franciscain, et influença profondément Guillaume d’Ockham, de la même manière que Thomas d’Aquin le dominicain fut admiré de son ordre. L’école scotiste et l’école thomiste seront constamment en conflit, suivant les rivalités des deux ordres mendiants.

La philosophie scotiste est complexe. Duns Scot oppose à la doctrine thomiste de l’analogie de l’être sa propre doctrine de l’univocité de l’être : le concept d’étant se dit de la même manière pour tout ce qui est, y compris Dieu1. La différence entre Dieu et les créatures n’est pas une différence d’être comme chez Thomas d’Aquin ou Maître Eckhart, elle tient à ce que Dieu est infini et la créature finie, sur un même plan ontologique. D’autre part, Duns Scot élabore une métaphysique de la singularité basée sur le concept d’individuation.

L’éthique de Jean Duns Scot met l’accent sur la volonté personnelle et la charité, dans la lignée d’Augustin et Bonaventure. En théologie, le docteur franciscain est surtout connu pour son angélologie, ainsi que pour sa théorie de l’Immaculée conception de Marie, critiquée par les Dominicains. On lui donne à ce propos un autre surnom, le « Docteur marial »2, qui avait également été attribué à Bernard de Clairvaux.

À SUIVRE….

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«L’ONTO-COSMOLOGIQUE… (?)… DU WOW» PASSE PAR DES ENJEUX CONCEPTUELS INITIÉS PAR LE DEVENIR ÉVOLUTIONNISTE ET UN RELATIVISME PROBABILISTE À VISÉE PRAGMATISTE ET EN CE SENS, IL PASSE PAR UN CONTE ÉCRIT DE L’ESPACE, TÉMOIGNANT DE LA TERRE COMME UN MIRACLE DE L’ESTHÉTISME COSMOLOGIQUE, CONSTRUISANT RADICALEMENT UN POIDS ONTOLOGIQUE PROBABILISTE FORT

Quand je réfléchis sur l’aventure du vagabond céleste depuis 5 ans au niveau francophonie par la poésie inouie du conteur international Simon Gauthier, je me rends bien conte que, contrairement aux discours mythologique, religieux ou scientifique, la constellation scalaire de la forme CONTE correspond exactement au niveau symbolique percien d’une FORME BIG-BANG d’un UN RÊVE-RÉCIT…. le wow devenant ontologique par défaut sous la puissance wowwwwwwwwwww du point d’interrogation pré-bang.

De là une réinvention de l’humanisme vu de l’espace face aux périls de l’anthropocène, le tout passant par un conte sous forme de formule presque de science-fiction:

WOW-T=2.7K?

La nano-modernité se rhyzomatisera à une vitesse vertigineuse que parce que de milliards de téléphones intelligents trans-humanisés par l’intelligence artificielle témoigneront par une simple application d’un conte planétaire construit par un esthétisme abductif d’une priméité enchanteresque:

LE CONTE SOUS SA FORME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE RÉUNIRA 2 ASSEMBLÉES DE JUSTES (125 femmes et 125 hommes) qui par tirage au sort, deviendront la nouvelle conscience d’une primité d’un rêve triadique….

La science, même probabiliste quantique cosmologique, frappe le même mur que la théologie (religion) ou l’ontologie traditionnelle désengluée peu à peu de la mythologie… celui de l’esthétisme dont seul le conte d’un récit rêve big-bang de chaque vie peut espérer intuitionner cet avant-big-bang cosmologique dont on ne sait trop s’il y eut une infinité de rêves propédeutiques ou une infinité de rêveurs qu’on a par défaut d’imagination appeler Dieu

Simon Gauthier avec le vagabond céleste et Fred Pellerin avec la chanson du camionneur deviennent au 21eme siècle les premiers conteurs nano-cosmologiques, faisant voyager les quatre questions de la vie œuvre d’art, à partir d’un vagabond dont la guitare, le bâton et le sac à dos portèrent au cœur de l’imaginaire humaniste une espérance d’erance poétique pour tout errant ou errante fantomatique ou axiologique de la post-modernité en manque de sens percien.

à suivre…
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LES 20 PREMIERES PAGES DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSACRENT L’ARCHITECTONIE POST-PEIRCIENNE DE L’ÉTIQUETTE WOW, EN EN DESSINANT LES PARAMÈTRES ONTO-COSMOLOGIQUES (7P.) PARALLÈLES AUX PARAMÈTRES MÉTHO-COSMOLOGIQUES (7 P.) FAISANT IMPLOSER PAR LE RÊVE BIG BANG PORTÉE PAR CE WOWWWWWWW…. SON EXPANSION NANO-COSMOLOGIQUE EN TRAITANT COMME UNE PRIMÉITÉ DISSOLVANTE D ELA FORCE BRUTE LE CERVEAU-ASTRONAUTE VERSUS L’ESPACE INFINI D’UIN CORPS PAR UN CHAMP MAGNÉTIQUE DONT LA CONSTELLATION NE S’ÉNIGME QUE PAR UNE INFINITÉ DE PROBABILITÉS S’ARTICULANT AUTOUR DES SIGNES «-, =,?»

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin….. comme Michel me le disait, vu de sa philosophie d’en bas… wow veut dire…

« world of wonders»

Michel allume alors notre tableau où on voit la terre vue de l’espace avec en haut la formule : wow-t=2.7k? et en bas le site web… www.wow-t.com

Et moi de lui dire: Pierrot vagabond habite en haut (tout en tournant autour de la planète terre) la formule «wow-t.2.7k?» pendant que Michel le concierge par son archétype hologrammique indique où le rejoindre pour se faire voyager dans l’espace infini d’un corps terrestre par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

Comme j’ai dit à Michel… j’ai terminé l’historique conceptuel de chacun des signes de la formule…. et c’est l’item ou l’étiquette «wow» qui est , et de loin, la moins vampirisée par différents essais de théorisation dans l’histoire de la pensée humaine (du moins à ma connaissance)

C’est donc à partir de cette étiquette orpheline que je vais pouvoir développer ma vision ontologique, méthodologique et nanologique de ce que peut constituer dans un 21eme siècle où même le constructivisme radical doit se réfléchir devant les progrès de l’intelligence artificielle, de la transhumanité des images synthétisées où le corps et la pensée d’un pré-agissant devient élision symbolique autant qu’indicielle pour habiter d’une façon presque trop toxique le fondement iconique d’une force brute, faisant naviguer la conscience entre l’errance fantomatique et l’errance axiologique d’une secondéité post-peircienne, rendant la poésie symbolique d’une existence big-bang  d’une tiercité cosmologisée un fait onto-métho-nano de plus en plus victime de rareté.

Il y a eu quelques moments dans l’histoire de la pensée où la dématérialisation idéologisée (par exemple, le monde réel des idées platoniciennes, transmutées aux deux citées de St-Augustin, à la querelle des universaux où le réalisme minoritaire de Duns Scott posait la question du fondement des catégories versus la position nominalisme,… bref….

LE WOW D’UN FRANÇOIS D’ASSISE, par exemple, issue d’une remarquable priméiité percienne traversée par un rêve big-bang , fut rapidement récupérée par une propédeutique industrielle de la spiritualité en guerre incessante d’absolutiste idéologisé.

EN CE SENS, L’ÉTIQUETTE WOW constitue par sa virginité d’attributs essentiels pertinents (néo-positiviste autant que post-herméneutique) une remarquable plateforme pour partir à la recherche de la quatrième voie, sous la voie abstractive construite par Peirce.

LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» EST NON SEULEMENT une aventure constructiviste radicale telle qu’on l’ont innové dans la post-modernité (Piaget, Lemoigne, Morin et les autres), mais bien plus, elle est une étiquette dématérialisée de toute fixation hiérarchique d’attributs essentiels, même sous forme d’un champ magnétique dont le cadre théorique est déconstructiviste radical, par le biais même d’une constellation sans cesse en mouvement sous les paradigmes du «?» post- problématologique (la suite de Meyer) comme du «=» post-anthropique (Brandon Carter), en parfaite symbiose post-peircienne dans une priméité comprise comme vecteur de rêve big-bang qui transcende le projet (existentialiste sartrien, tout comme le personnalisme chrétien (Mounier) par un fondement de la qualité où la question ontologique nominalisme versus réalisme se retrouve posée avec une acuité encore jamais atteinte depuis la tentative organistique de la philosophie allemande depuis Hegel, tentant de réparer la mécanistique Descartienne qui avaient réussi à instutitionnaliser la fracture sujet-objet sur lequel Popper et les néo-positivistes ont pu peu à peu insérer une perspective évolutionniste de faillibilité confirmée par toutes les d.couvertes de la physique quantique reliées à la vision probabiliste primiétisée de la cosmologie, rendant la question de L’avant-big-bang infiniment plus passionnante que la notion de catégories (Aristote, Kant et Peirce) entre autres tentait de rationnaliser.

DANS CE DOCTORAT, L’ÉTIQUETTE WOW SE GORGERA ONTOLOGIQUEMENT D’UN RÊVE BIG-BANG (7P.) POUR ENSUITE EN DÉCOULER UNE MÉTHO-COSMOLOGIE POST-PERCIENNE (7P.) ILLUSTRÉE PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART NANO-COSMOLOGIQUE TRANSCENDÉE POÉTIQUEMENT D’UNE ERRANCE EN MODE DU POUR-SOI QUE RECHERCHAIT TANT SARTRE.

1: QUEL EST TON RÊVE?

2: DANS COMBIEN DE JOURS?

3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?

4: COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

SEUL LE WOW POST-PEIRCIEN PEUT PORTER ONTO-MÉTHO-NANO COSMOLOGIQUEMENT LA CINQUÈME QUESTION D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Ce qui mènera au deuxième chapitre consacré en 160 pages À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

à suivre

 

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LE BIG-BANG DE L’UNIVERS COSMOLOGIQUE DANS LEQUEL L’HUMANITÉ VIT ÉTANT SCIENTIFIQUEMENT DÉMONTRÉE, PAR LA PREUVE DU BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE «2.7K» IL EST MAINTENANT PHILOSOPHIQUEMENT POSSIBLE D’INTUITIONNER LE PRÉ-BIG-BANG COMME UN RÊVE PROBABILISTE À TRAVERS UNE MESURE ÉQUILIBRÉE ENTRE LES PARAMÈTRES DE LA PROBLÉMATOLOGIE ET DE L’ARCHITECTONIE ANTHROPIQUE.

Quand on s’éloigne d’une interprétation «sensorielle» de la priméité Peircienne pour en retenir l’étiquette de qualité inhérente au nombre ier, qui ne devient premier que parce qu’il est succédé d’un second «force brute» et que le second ne devient second que parce qu’il est succédé par un troisième «loi universelle», on se sent soudainement à l’étroit dans le concept «d’abduction» impliquant une imagination inventive se faisant poïétique d’une hypothèse.

Un rêve big-bang (que ce soit celui d’un pré-big-bang quelconque ou d’une personne humaine quelconque) semble reposé sur une suite des plus impossibles qui semble à son tour fonctionner comme la notion de «même » chez Dawkins…. rhyzomique, probable autant qu’improbable.

Tout se passe comme si «le rêve» fondait le big-bang dont la force semble dépendre des conditions de non-tricheries paramétrées autant problématologiquement qu’anthropiquement.

Le rêve étant la pré-condition big bang
de deux pré-…..

on reconnait la différence d’un rêve big-bang avec la notion de désir parce que, le rêve big-bang, contrairement au désir, me semble-t-il, dissout instantanément «la force brute»
de la secondéité parallélogique du cosmologique tout en FLYING-BENING la poésie de la loi universelle 2.7k à toute résultante rationnelle de l’abduction-induction-déduction portant la validité conceptuelle la troisième voie.

un ce sens, un rêve big-bang est un événement quantique-cosmologique provoquant une expansion onto-métho-nano au cœur même d’une triade parallélétique, comme toute la nature s’allume imperceptiblement pour accueillir l’abondance soudaine d’un orage.

à suivre…

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ARCHIVE DU VAGABOND CÉLESTE… DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER… RETROUVÉE SUR INTERNET… POUR LE DOCTORAT

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Contes, Légendes & Imaginaire en Vercors
19 mai 2013 : LE VAGABOND CELESTE

Simon raconte l’abandon, l’abondance et le succès d’un homme qui avait tout pour être heureux. Mais un soir, il décille. Pierrot rêve de tout changer ; il troque sa maison contre une paire de bottes, pour aller plus loin dans sa vie. Depuis, il parcourt le Québec. Réel, intense et actuel, Pierrot le vagabond enlumine la conscience des gens qu’il croise. Le rencontrer, c’est recevoir un grand souffle de poésie qui nous étreint, comme des bras chauds venus nous réconforter durant une nuit d’hiver, sans abri. Du bonheur à travers le froid. Un récit émouvant porteur d’avenir.

SIMON GAUTHIER est arrivé au conte comme on tombe amoureux, avec fougue et passion. Depuis plus de douze années, il captive tous les publics par son imaginaire débridé, son énergie incandescente et sa sensibilité de poète. Natif de Sept-Iles (Québec), il est également réputé pour ses talents de lamiste (joueur de scie musicale). Il a conté au Québec évidemment mais aussi en Belgique, en Suisse, aux Pays-Bas, au Burkina Faso, en Tunisie et au Maroc, en Ontario, en Nouvelle-Écosse et bien sur dans le Vercors !

Lieu : Salle des fêtes – St Martin en Vercors.
121 personnes (jauge 140 places)

L’ABDUCTION, DÉDUCTION OU INDUCTION COMME MODES DE RECHERCHE…. «-», «=» «?» AMÈNE UNE QUÊTE D’UNE QUATRIÈME MÉTHODE DE RECHERCHE QUE JE N’ARRIVE PAS ENCORE À CERNER….. POUR LE MOMENT, L’ONTO-MÉTHO-NANO- COSMOLOGIQUE FONDE LA MÉTHODE FLY-BEEN, HORS DE TOUTE UTILISATION DE LA DÉDUCTION, DE L’INDUCTION OU DE L’ABDUCTION AU SENS D’UNE LOI UNIVERSELLE «WOW-T=2.7K?» FONDEMENT A PRIORITIQUE TRANSCENDENTAL QUE RECHERCHAIT KANT… À RÉFLÉCHIR… DE LÀ L’AVANT-BIG-BANG COMME RÊVERIE DE MULTIVERS… HORS DE TOUT CADRE LOGIQUE, SÉMIOLOGIQUE MAIS PROBABLEMENT ET ÉNIGMATIQUEMENT SÉMISTIQUE TELLE QUE L’INTUITIONNAIT LA TRIADE PEIRCIENNE, LA QUALITÉ ET LA LOI DISSOLVANT LA FORCE BRUTE…

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Abduction, déduction et induction comme modes de recherche

L’abduction est une forme de raisonnement utilisée dans le processus de découverte par sérendipité8.

Par ailleurs, si l’on considère le mode de recherche et d’obtention de connaissances nouvelles comme un processus de conception, le discours sur la méthode scientifique est en lien avec les modèles des sciences cognitives, alors les allers et retours en confrontation entre le projet de concevoir et sa réalisation doivent ainsi permettre d’enrichir une « épistémologie de l’invention » selon l’expression de Deledalle. La science n’est donc plus l’analyse et l’anatomie de ce qui existe positivement et donc nécessairement car, de même que l’art et la technique, elle invente de nouvelles réalités.

Comme l’écrit Jean-Louis Le Moigne, « Auguste Comte pouvait clamer que l’imagination ne devait jouer qu’un rôle absolument subalterne dans la recherche scientifique chaque chercheur dans son for intérieur convenait que son talent reposait sur sa capacité à imaginer, à inventer, à concevoir ». Ainsi les formes logiques naissent de la pratique de la recherche mais aussi de l’inscription du chercheur dans le processus expérientiel et cognitif qui est lié à son immersion au sein des environnements.

Depuis Peirce et les avancées de la philosophie pragmatiste qui a amorcé d’une certaine façon le développement des sciences cognitives l’étude du processus de recherche est de plus en plus largement perçue comme une étude du processus cognitif. Il y a ainsi une constante volonté d’intégrer et de dépasser la dualité de l’expérience factuelle par rapport à la logique active, ainsi que l’émergence d’une pensée unifiée qui, selon des temps différents, va prendre des formes différentes qui ne seraient plus en opposition mais en interaction. Ces considérations bouleversent la façon traditionnelle d’appréhender la recherche scientifique qui de ce fait ne peut plus se placer strictement dans une démarche hypothético-déductive ou inductive.

En effet comme l’indique Habermas, la réflexion pragmatiste sur les formes de l’inférence ne s’inscrit pas dans la question traditionnelle de l’acquisition par déduction de propositions analytiquement justes mais dans celle de l’obtention d’ÉNONCÉS SYNTHÉTIQUEMENT PLAUSIBLES. Ainsi la conception de l’objet est indissociable de la méthode de fixation de la croyance et du critère de sens qui en découle. Dans un premier temps, et du point de vue des méthodes réelles de la recherche (c’est-à-dire selon une vision expérimentale du processus de conception de l’inférence), l’induction et la déduction ne sont pas en opposition mais en relations réciproques, elles sont en effet des phases coopératives d’un processus unique de résolution de problème. Dans un deuxième temps ces deux phases, d’induction et de déduction du processus de conception, sont complétées par une troisième que Peirce nomme l’abduction. La méthode de recherche peut alors être modélisée selon l’enchaînement élémentaire : [(abduction – induction – déduction)].

Dans cette perspective, l’abduction (warranted assertion) est le processus de formation d’une hypothèse générale sans l’assurance qu’elle réussisse; elle est ainsi de l’ordre de la priméité. La priméité, dans la conception triadique du modèle mental initié par Peirce, c’est la catégorie du sensible, de l’expérience sensible.

C’est la conception de l’être placé dans la généralité et l’indétermination de la situation perçue, c’est le phénomène en tant qu’il est vu et perçu par le sujet lui-même. L’abduction concerne la formation de l’hypothèse, qui est sujette à une certaine normativité induite par un arrière-plan, d’après une conception que l’on cherche à éprouver et qui est orientée par la résolution d’un problème. C’est la suggestion d’une idée, pour Mirowski12, l’abduction revêt explicitement un caractère herméneutique dans le sens où elle tente une interprétation immédiate et sensible du phénomène.

Cette approche signifie que « quelque chose » se comporte probablement d’une certaine manière – phase d’abduction – que « quelque chose » se comporte effectivement d’une certaine manière – phase d’induction et enfin – phase de déduction – nous établissons que « quelque chose » se comporte définitivement d’une certaine manière.

Induction, déduction et abduction[modifier | modifier le code]

En ce sens, l’induction renvoie aux opérations établissant des généralisations de conception et aux mises à l’épreuve des conséquences tirées des hypothèses posées; elle est de l’ordre de la secondéité. La secondéité est la catégorie de la réaction, de l’existence, de la rencontre du sujet avec la sensation de la singularité. C’est la perception de l’être relatif à quelque chose d’autre où il y a rencontre avec le concret, c’est la catégorie de l’actualisation.

La déduction tire des conséquences, elle construit des relations actualisées, elle est de l’ordre du troisième principe peircéen : celui de la tiercité. La tiercité est la catégorie de la médiation qui met en relation et construit du sens, sans quoi les objets du système ne seraient qu’une juxtaposition arbitraire et non médiatisée. La déduction, c’est l’opérateur de la généralité.

L’abduction, en tant qu’hypothèse créatrice, et l’induction matérialisent le lien entre les observations expérientielles et la formulation d’hypothèses dont elles assurent une mise à l’épreuve. La déduction traduit la pensée réfléchie et structurante en ce qu’elle engendre des habitudes interprétatives, telle une disposition mentale. Dans cette perspective, l’abduction produit des idées et des concepts à expliquer, puis l’induction participe à la construction de l’hypothèse abductive en lui donnant de la consistance, enfin la déduction formule une explication prédictive à partir de cette construction.

Déduction, abduction et induction[modifier | modifier le code]

En ce sens, la déduction est certaine et décrit des « objets idéaux », l’induction quant à elle infère des phénomènes semblables, alors que l’abduction infère des phénomènes différents qui stimulent le choix des hypothèses. L’abduction rend compte de la spécificité du raisonnement qui va vers l’hypothèse, sa logique est celle de la créativité de l’interprétation et de l’innovation, elle permet d’introduire des idées nouvelles en fonction de la flexibilité du concepteur par rapport à ses présupposés.

L’abduction est décrite par Peirce comme un aperçu créatif (a creative insight) pour résoudre un problème surprenant, une expérience qui déçoit une anticipation, ou un évènement qui entame une habitude. Si l’induction va du cas, de l’expérientiel vers la règle selon une logique [(cas) vers (règle)], l’abduction a une logique inverse de la règle vers le cas selon une logique [(règle) vers (cas)].

L’abduction éclaire ainsi le faillibilisme pragmatique au sens où celle-ci s’éprouve dans la capacité à accueillir de nouvelles hypothèses, alors que l’induction elle ne peut mettre à l’épreuve que ce qui lui est soumis. Distinguer induction et abduction permet d’introduire le changement. Si l’abduction repose sur des habitudes d’inférence qui évoluent comme étant des manifestations de l’intelligence et de la progression de connaissance, c’est sur l’induction que repose le progrès scientifique car elle donne une valeur scientifique à la pratique, c’est-à-dire à l’expérience. En effet, la mise à l’épreuve constitue le seul moyen pour tenter d’approcher la certitude et déduire une vérité comme idéal de connaissance et objet de construction théorico-pratique. Le processus de recherche modélisé comme un ensemble de boucles [(abduction – induction – déduction)] laisse dès lors une place à l’intuition et à l’imagination.

Résumé[modifier | modifier le code]

« Pour résumer, la déduction, qui repose sur des causes et des effets certains, aboutit à des énoncés certains ; l’induction, qui propose des causes certaines à des effets probables, aboutit à des énoncés probables ; et l’abduction, qui recherche des causes probables à des effets certains, aboutit à des énoncés plausibles. »

MICHEL LE CONCIERGE PELLETE SON RÊVE DEVANT L’IMMENSITÉ

comme quatre jeunes magnifiques pelletaient leur rêve big-bang de leur magazine…. «LE NOUVEAU PROJET»… hier….

celles et ceux  que j’ai par hasard rencontré, sur la rue Beaubien ,la porte étant ouverte, trop ému en les voyant travailler avec passion dans leur local…

Quand on est un vieux rêveur big-bang, c’est un devoir que de dire wow à des jeunes rêveuses et rêveurs….

C’est ce que j’ai toujours fait sur ma route de vagabond céleste…

c’est ce que vise la nano-citoyenneté-planétaire par chaque rêve big-bang de chaque vie personnelle œuvre d’art….

au nom de notre équipe re cecherche (Auld, Woodard, Rochette) ou selon nos archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond)

bravo à

Nahid Aboumansour
Faisal Alazem
Geneviève Albert
Caroline Allard
Patrick Alleyn
David Altmejd
Valérie Amiraux
Gabriel Anctil
François Archambault
Samuel ArchibaldIsabelle Arsenault
Mathieu Arsenault
Alexis Aubin
Cyril Aubry
Marc Aurèle
Jean-Martin Aussant
Rachida Azdouz
Daphné B.
Joséphine Bacon
Clayton Bailey
Mélanie Baillairgé
Marie-Sophie Banville
Federico Barahona
André Barbeau
Anaïs Barbeau-Lavalette
Olivo Barbieri
Zoé Barry
Marie-Claude Beaucage
Marjolaine Beauchamp
Sarah-Maude Beauchesne
Paul Beaudry
Félix Beaudry-Vigneux
Christine Beaulieu
Jimmy Beaulieu
Virginie Beauregard D.
Hugo Beauregard-Langelier
Richard Beck
Éric Bédard
Laurie Bédard
Inès Bel Aïba
Gabriel Béland
Sylvain Bélanger
Sarah Berthiaume
Marc-Olivier Bherer
Sophie Bienvenu
Charlotte Biron
Laurent K. Blais
Marie-Claire Blais
Pierrick Blin
Marc-André Boisvert
Joëlle Bond
Nathalie Bondil
Érik Bordeleau
Paul Bordeleau
Paul-Émile Borduas
Adrien Bosc
Michel Marc Bouchard
Roméo Bouchard
Serge Bouchard
Julie-Anne Boudreau
Dany Boudreault
Justine Boulo
Rémy Bourdillon
Guillaume Bourgault-Côté
Amber Bracken
Gabrielle Brassard-Lecours
Fanny Britt
Marc Brunet
Julie Buchinger
Laurence Butet-Roch
Charlotte Callerot
Aurélie Campana
Annie Camus
Marc-André Carignan
Sylvain Carle
Julien Castanié
Blaise Cendrars
Pierre-Yves Cezard
Véronique Chagnon
Dominic Champagne
Sarah R. Champagne
Louise Champoux-Paillé
Frédérique Charest
Violaine Charest-Sigouin
Nicolas Charette
Pierre Chauvin
Mélissa Chemam
Frédéric Choinière
Olivier Choinière
Monia Chokri
Ryoa Chung
Jean-Philippe Cipriani
Fabien Cloutier
Guillaume Corbeil
Raphaëlle Corbeil
Laurence Cornet
Denis Côté
Véronique Côté
Laurence Côté-Fournier
Shawn Cotton
Ivan Couronne
Simon Coutu
Philippe Couture
Catherine Couturier
Stéphane Crête
Alex Cruz
Marc-André Cyr
Ève D’Amours Bélanger
France Daigle
Françoise David
Sébastien David
Simon De Baene
Alain de Botton
Evelyne de la Chenelière
Cécile de Sérigny
Noémie Debot-Ducloyer
Eric Deguire
Alain Deneault
Rébecca Deraspe
Élise Desaulniers
Christian Desmeules
Anne Caroline Desplanques
Nicolas Dickner
Antoine Dion-Ortega
Charles Dionne
Jean-Marc Doiron
Cyril Doisneau
Kristin Dombek
Benoit Dorais
Catherine Dorion
Anne Dorval
Sylvie Drapeau
Émile Duchesne
Philippe Ducros
Manon Dumais
Isabelle Dumont
Philippe Dumont
Myriam Dupuis
Jonathan Durand Folco
Ralph Elawani
Marie-Claude Élie-Morin
Michel Eltchaninoff
Miriam Fahmy
Marianne Falardeau
Philippe Falardeau
Alain Farah
Raphaël Fischler
Michaël Foessel
Naomi Fontaine
Jason Franson
Jonathan Franzen
Maxime-Alexis Frappier
Carole Fréchette
Steve Gagnon
Jean-Philippe Garneau
Annie Gendron
Susan George
Annick Germain
Jean-Claude Germain
Rafaële Germain
Lisa-Marie Gervais
Martin Gibert
Margie Gillis
Ophélie Giomataris
Guillaume Girard
Pascal Girard
Jean-Michel Girouard
Gabriella Gobbi
Jacques Godbout
Paul Gogo
Cyril Gonzales
Mathieu Gosselin
Mélanie Gouby
Laurence Gough
Phoebe Greenberg
Daniel Grenier
Élizabeth Grenier
Véronique Grenier
Catherine Eve Groleau
Jean-Herman Guay
François Guerrette
Isabelle Arsenault

Et j’en oublie…..:)))))))

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COURRIEL DE LA DOCTORANTE MIRIAM OUERTANI À PIERROT VAGABOND

COURRIEL DE LA DOCTORANTE MIRIAM OUERTANI À PIERROT VAGABOND

À :Pierre Rochette
‎9‎ ‎juil. à ‎13‎:‎58

Pierrot! Je suis particulièrement intéressée par cette réflexion sémiotique selon l’angle peircien, de par la place et le rôle de “l’abduction”dans la création de connaissances dans la méthode scientifique peircienne, voire même dans “la découverte scientifique et littéraire” [dans ce contexte, il y a lieu de réfléchir l’abduction comme pratique de découverte de l’œuvre d’art].

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RÉPONSE COURRIEL DE PIERROT-VAGABOND À MIRIAM OUERTANI LA DOCTORANTE EN SÉMIOLOGIE ET CINÉMA

wowwwwwwwwwwwwwwww Miriam

Depuis tellement d’années maintenant, je cherche un fondement non nominaliste mais cosmologique à la formule wow-t=2.7k? …. Et dans tout ce que j’ai lu….

la règle de trois de la sémiotique de Pierce me semble le plus prometteur… Contrairement à Saussure dont toute l’architectonie de la pensée sémiologique repose sur la notion de dyade (signifiant, signifié), Peirce par sa notion de triade me semble, du point de vue d’un vagabond céleste, d’un immense réalisme (dans le sens de Duns Scott). Selon mon hypothèse, Le rêve big-bang traverse la triade de Peirce en MAJEURE et j’espère bien que dans le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) j’en ferai une démonstration axée sur le signe (moins) de notre formule wow-t=2.7k? dans une implosion graduée par le signe «?» dont la recherche la plus poussée fut effectuée en problématologie par Michel Meyer en équilibre avec le signe «=» dont l’intuition la plus avancée en anthropie fut avancée par le scientifique astro-physicien Brandon Carter.

La logique sémiotique de Peirce, dont l’intense réflexion sur la valeur fondement des axiomes a mené aux mêmes intuitions que la physique quantique actuelle , met en exergue «le design et la chance, la probabilité et la qualité de l’immense richesse de sa notion de priméité. Pour moi, Peirce, c’est plus que de la déconstruction à la Derrida, ou de l’analytique constructiviste à la Lacan, c’est RÉVOLUTIONNAIRE….

Le fait que le un puisse etre possible sans le deux et le trois mais que le deux ne soit pas possible sans le un, que le deux soit possible sans le trois mais que le trois ne peut être possible sans le un ou le deux, pour moi, correspond comment j’ai vécu la réalité sur la route de vagabond. de là l’errance fantomatique et axiologique seulement possible dans le deux, alors que l’errance poétique est possible dans le trois en communion avec le un en baissant la lumière sur le deux de façon inouie… Le rêve big bang provenant uniquement du un traverse le 2, le fait imploser pour illuminer le trois d’une cosmologie problématologique (?) autant qu’anthropique (-) créant des événements de sérendipité, de synchronicité et d’effet papillon, de là la nano-citoyenneté-planétaire par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art.
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Hier, je marchais la rue Beaubien. Soudain j’arrive devant un local à la porte ouverte où il était inscrit…. REVUE NOUVEAUX PROJETS»… Il y avait 4 jeunes rêveurs et rêveuses au travail… c’était magnifique. J’ai fait comme je l’ai toujours fait sur la route… je suis entré pour les féliciter de leur rêve big-bang. Puis durant 20 minutes, je leur ai raconté le rêve de notre équipe de recherche… Puis je suis parti…. Comme l’a fait remarquer mon magnifique partenaire de recherche Michel le concierge ce matin:

Était-ce moi qui marchait vers mon rêve big-bang
ou mon rêve big-bang qui marchait vers moi
alors que je pensais marcher?
QUI PEUT DIRE?

Quand le rêve big-bang traverse la triade peircienne, le 2 (le contact brut entre la matière et l’humain) n’existe plus… Il n’existe qu’un arc en ciel entre le trois (la loi) et le I (la qualité, de là la méthodologie de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) LA MÉTHODOLOGIE FLY BEEN…. lors que le 2 ne donne que du has been (du temps individuel en quête de temps cosmologique.

à suivre…

QUAND LE RÊVE BIG-BANG TRANSPERCE COMME LA FOUDRE LES TROIS CATÉGORIES DE PEIRCE (PRIMÉITÉ, SECONDÉITÉ,TIERCÉITÉ) , LE WOW DE LA PRIMÉITÉ ATTEINT IMPLOSIVEMENT PAR LE BIG-BANG CETTE LIBERTÉ DIVINE ORIGINELLE QUI NE CONNAÎT PAS DE LIMITES, ÉBRANLANT COMME UN TREMBLEMENT DE TERRE LA SECONDÉITÉ DE LA TRICHERIE EXISTENTIELLE ILLUMINANT LE «-» DE LA TIERCITÉ, TEL LE CAPITAINE MAÎTRE DE SON ÂME DE mANDELA (TIERCITÉ) NAVIRE TOUTES VOILES VOILÉES QUITTANT SON HÂVRE NATAL VERS SON RÊVE BIG-BANG AVEC SES FLANCS BATTUS PAR LA TEMPÊTE ET SES VOILES DÉCHIRÉES (SHAKESPEARE)…. C’EST AINSI QUE LE (MOINS OU -) PERMET LE 2.7K COSMOLOGIQUE SOUS LA DRAMATURGIE DU ? PROBLÉMATOLOGIQUE AUTANT QUE SOUS LE = DE L’ANTHROPIQUE

Le wow étant par un rêve big-bang un bouleversement cosmologique de l’ordre des qualités (univers-humain) de la priméité, la tiercité du «-» en devient l’acte fondateur de l’errance poétique sur terre, dialectisant nécessairement la secondaïté ou de la résistance brute de l’errance axiologique comme de l’errance fantomatique pré-big-bang de toute primaïté d’une qualité ressentie étrangère de par sa pure potentialité abstraite.

à suivre

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«DESIGN ET CHANCE» DE PIERCE, UNE EXTRAORDINAIRE PERCÉE CONCEPTUELLE COMMANTÉE PAR … ILYA PRIGORINE,,, EN 1984

Charles Sanders Pierce
a life
Joseph Brent
Indiana University press
1993,
p.174
extrait

The second, his «attempt to explain the laws of nature,» was a direct development of his «DESIGN ET CHANCE» lecture. There Peirce proposed a PROBALISTIC PHYSICAL UNIVERSE which brillantly anticipated the most recent cosmological hypothesis of some fundamental (or particle) physicists that the universe, including laws, has Evolved. This prescience is the more remarkable because it derived not from an examination of physical laws, but from a questioning of the « EXACT TRUTH OF AXIOMS » that is, from an analysis of the logic of science. Pierce questioned the axiom THAT NATURE IS UNIFORM:

P.175
extrait

Despite its occasional strangeness, this extraordinary lecture, written during that was, for Peirce, a difficult and chaotic time, has great importance for understanding the uncanny accuracy of Pierce’s thinking about physical reality IN THE LIGHT OF MODERN DISCOVERIES. This prescience was pointed out in 1984, one hundred years after Pierce’s lecture at Johns Hopkins titled «DESIGN AND CHANCE» by the Nobel Prize – winning Ilya Prigorine, among the few modern theoreticians of science to have read Peirce.

Prigogine showed how Pierce’s view of time and the second law of thermodynamics anticiped the «new physics» which derives order out of chaos by means of the idea that very small, chance différences can quickly created «self-organized» large-scale uniform effects – that the physical world we perceive is characterized by extremely sensitive dependence on initial conditions, a fact which Pierce has pointed out.

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