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COMME L’ÉCRIT SI BIEN STEPHEN CORNISH, CHEF DE LA DIRECTION DE LA FONDATION DAVID SUZUKI, «2018 DOIT ÊTRE L’ANNÉE DES DÉCISIONS…. NON SEULEMENT L’EFFONDREMENT DE LA BIOSPHÈRE MENACE LA SURVIE DE NOTRE ESPÈCE…. MAIS LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE INVENTERA LA NANOCRATIE POUR QU’ENFIN L’EXTRAORDINAIRE SOLIDARITÉ HUMAINE À TRAVERS LE MONDE SE TRANSFORME EN SOLIDARITÉ NANO-CITOYENNE DU 21EME SIÈCLE.

POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ, UNE JARDINIÈRE, UN CONCIERGE ET UN VAGABOND, AU NOM DE LA PHILOSOPHIE PLUS QUE DEUX FOIS MILLÉNAIRE, PAR L’INVENTION DE LA NANOCRATIE, DÉCLARE UNIVERSELLE LA NOUVELLE SÉPARATION DES POUVOIRS ENTRE LES NANO-PLANÉTAIRES QUI NE MANGENT PAS À LEUR FAIM ET LES MONARCHIES NUCLÉAIRES TOUT AUSSI COUPABLES QUE LEURS VALETS DE L’ONU. IL EST PLUS QUE TEMPS QUE L’HUMANITÉ NANO-CITOYENNE SE LÈVE DEBOUT PARTOUT SUR LA PLANÈTE TERRE POUR DIRE: NON À L’INJUSTICE, NON À LA PRÉCARITÉ, NON À L’EXCULSION DES RICHESSES. LA NANOCRATIE C’EST LA NANO-CONSCIENCE-PLANTAIRE EN MARCHE VERS UN MIEUX VIVRE POUR TOUS ET TOUTES.

December 22, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

————

LE RÊVE BIG BANG
C’EST LA VALEUR DE L’IMPOSSIBLE
DANS SON SURGISSEMENT ORIGINEL
LE PLUS 2.7K
AU SENS OÙ
LE SOI DU POUR-SOI NÉANTISANT
ATTEINT
UNE EUMÉTRIE CHORÉGRAPHIQUE
MANIFESTANT L’INVU
DE LA PLUS ÉPIQUE
TRANSLUCIDITÉ
NON-THÉTIQUE
DU POUR-SOI COSMOGRAPHIQUE
DE LA CONDITION HUMAINE

————
————-

TITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) …….. «WOW-T=2.7K?» CODE SOURCE ARCHITECTONIQUE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

—————

CHAPITRE 1
LE WOW (LE RÊVE BIG-BANG)

A) SON HISTORIQUE.

B) SON PASSAGE ARCHITECTONIQUE
de l’ESPRIT hégélien au DÉPASSEMENT Heideggerien au PROJET Sartrien comme fondement conceptuel au RÊVE BIG BANG menant à l’invention des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 20 ans par le rêve big bang de l’archétype hologrammique de Pierrot vagabond de la beauté du monde À TRAVERS SES OEUVRES, SES CHANSONS, UN DOCUMENTAIRE (mon ami Pierrot, le dernier homme libre), un spectacle filmé du conteur international Simon Gauthier (le vagabond céleste) et UN BLOG… en quête poïétique des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art :

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

menant à une cinquième question
concernant l’espèce humaine vue de l’espace:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

D) BIBLIOGRAPHIE
l’allégorie de la caverne (Platon)
l’éthique à Nicomaque (Aristote)
l’éthique (Spinoza)
la critique de la raison pratique (Kant)
la phénoménologie de l’esprit (Hegel)
l’être et le temps (Heidegger)
l’être et le néant (Sartre)
l’évolution créatrice (Bergson)
Monsieur 2.7k (Pierrot vagabond)

———–

CHAPITRE 2
-T, (LA NON-TRICHERIE) (dans le sens de la mauvaise foi sartrienne)

A) SON HISTORIQUE

B) CONCEPT ARCHITECTONIQUE
la non-tricherie, absente des œuvres de Hegel et de Heidegger, constitue un ancrage fondamental de l’esquisse de la nouvelle théorie des émotions de Jean-Paul Sartre PAR SON CONCEPT DE MAUVAISE FOI.

c) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par la non-tricherie du rêve big bang de l’archétype hologrammique de Michel concierge de la beauté du monde, dans son rêve big-bang (son amour pour Marlene) à travers SES CHANSONS, ses deux documentaires: LE PAYS OEUVRE D’ART? ET LA PELLE JAUNE? en plus d’extrait de videos sur plus de 150 heures d’archives visuelles et sonores où sont exprimés ses aphorismes de la philosophie d’en bas EN MODE DE CONCEPTUALISATION.

D) BIBLIOGRAPHIE
esquisse d’une nouvelle théorie des émotions (Sartre) autobiographie (Margaret Sangers) autobiographie (peace pilgrim) autobiographie (Nelson Mandela) le comte de Monte-Cristo (Dumas)

————
CHAPITRE 3
2.7k (LE BRUIT DE FOND DU BIG-BANG DE L’UNIVERS)

A) HISTORIQUE

B) L’ANALOGIE ARCHITECTONIQUE
entre le rêve big bang d’une personne humaine et le big-bang rêve de l’univers, par un rapport imaginatif du 2.7k dans une vie personnelle comme dans le cosmos.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par le personnage archétype hologrammique de Marlene la jardinière de la beauté du monde, ses jardins, et sa vie personnelle œuvre d’art dans son rêve big-bang de prendre soin de cette beauté du monde.

d) BIBLIOGRAPHIE
l’homme qui plantait des arbres (Giono)
critique de la faculté de juger (Kant)
le code secret de l’univers (Bogdanov)
———
CHAPITRE 4
? ( ou le paradigme d’une proposition falsifiable) (le concept paradigmatique du point d’interrogation de la formule étant une invention philosophique de Michel le philosophe-cinéaste-concierge)

A) HISTORIQUE (l’histoire du constructivisme russe au constructivisme radical du 21eme siècle comme mode de recherche scientifique autant que stratégique au niveau des droits nano-citoyens-planétaires.

B) SON RAPPORT ARCHITECTONIQUE
à la création d’une chaire de recherche d’un consortium universitaire pour inventer la nano-citoyenneté-planétaire en 3 ans par le biais d’une fondation.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
par le mode de fonctionnement archivé sur une période de 10 ans, de la création étapique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) , le wow unanime devenant graduellement le mode de mise en forme méthodologique conduisant à une invention paradigmatique éco-philosophique-politique (la nano-citoyenneté-planétaire dans sa forme éthique-esthétique-cosmologique: wow-t=2.7k?).

D) BIBLIOGRAPHIE
Léviathan (Hobbes)
l’esprit des lois (Montesquieu)
le contrat social (Rousseau)
théorie de l’agir communicationnel (Habermas)
la justice comme équité (Rawls)

CONCLUSION OUVERTE

La question de Montesquieu du 18eme siècle: Que faut-il inventer pour que tous les gouvernements de la planète fonctionnent un peu mieux (la séparation des pouvoirs) devenant au 21eme siècle ( que faut-il inventer pour que le pouvoir nano-citoyen-planétaire constitue un contrepoids obligeant les états à une éthique-esthétique planétaire avec des règles du jeu PROFITANT À TOUTE L’ESPÈCE HUMAINE (la nano-citoyenneté-planétaire).

Peut-on y arriver en 3 ans par un consortium d’universités financé par une ou plusieurs fondations dédiées à la démocratie nano-citoyenne-planétaire?

LA PHILOSOPHIE DU 21EME SIÈCLE,
POUR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
(AULD, WOODART, ROCHETTE)
PREND LE PARI QUE LE DROIT UNIVERSELLE
DE LA NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE
PASSERA PAR L’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE
DANS DES INVENTIONS AU SERVICE DE LA RAISON ET DE LA SENSIBILITÉ
PERÇUES D’UN OBSERVATEUR DE L’ESPACE
DANS SA CAPSULE SPATIALE
COMME UN ART NANO-ÉCO-PO;LIQIQUE
DE LA BEAUTÉ DU MONDE
LA NATURE ÉTANT VUE COMME UN ART
TEL QU’EXPRIMÉ PAR KANT
DANS LA CRITIQUE DE LA FACULTÉ DE JUGER

Vu de l’espace, d’une capsule spatiale, les 250,000 conseils municipaux de la planète terre dessinent géographiquement, QU’IMPORTE LE NOMBRE D’HABITANTS, VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, une structure permettant au hasard objectif bien géré par des algorithmes puissants, d’inventer UNE CONSCIENCE PLANÉTAIRE DES 125 JUSTES à la hauteur des aspirations de l’espèce humaine, autant éco-politiquement que cosmologiquement.

Cette intuition 4…. m’apparaît très opérationnelle au sens où, comme je le suggère à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

CE PREMIER TIRAGE AU SORT FAVORISE D’ABORD UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR CONSEIL MINICIPAL, QUE CE SOIT VILLE PAR VILLE OU VILLAGE PAR VILLAGE,

pouvant par la suite, DANS UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT, de l’élection des 125 justes, faire voter à leur tour leurs communautés réciproques dont les frontières sont reconnues universellement par le recensement officialisé sur lequel pourra s’appuyer les LGORITHMES pour gérer toute tricherie potentielle.

De là l’importance qu’un consortium de chaire universitaires de démocratie puisse, appuyé par financièrement par des fondations libres de toute ingérence étatique, orchestrer en toute justice et équité,

LA VOIX NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE DU 21EME SIÈCLE, À TITRE DE CONTRE-POUVOIR PLANÉTAIRE AUX LUTTES ENTRE LES ÉTATS, SUICIDAIRES POUR L’ESPÈCE HUMAINE PARCE QUE NUCLÉAIREMENT ARMÉES.

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Marlene A. jardinière de la beauté du monde
Michel W. concierge de la beauté du monde
Pierrot V. vagabond de la beauté du monde

—-
LE DEVOIR
EXTRAIT
Idées
2018, l’année des décisions environnementales

6 janvier 2018 | Stephen Cornish – Chef de la direction, Fondation David Suzuki | Actualités sur l’environnement

Nous ferons bientôt face à des chocs climatiques et à des contraintes écologiques qui non seulement limiteront notre développement économique futur, mais auront un impact sévère sur notre qualité de vie, estime l’auteur.

Photo: Kyle Grillot Agence France-Presse
Nous ferons bientôt face à des chocs climatiques et à des contraintes écologiques qui non seulement limiteront notre développement économique futur, mais auront un impact sévère sur notre qualité de vie, estime l’auteur.

À la fin de 2017, alors que l’attention du monde entier était dirigée vers Bonn où se déroulait la conférence internationale sur le climat, 15 000 scientifiques semaient l’émoi à travers le monde en tirant l’alarme : l’effondrement de la biosphère a atteint un point critique et menace la survie même de notre espèce.

Regardant le fond du précipice, l’humanité a entendu cette énième mise en garde, puis est revenue à l’indifférence, se préparant à faire le dernier pas qui la plongera dans l’abîme. Après quarante années de signaux ignorés, 2018 doit être l’année des décisions. Nous sommes entrés dans une ère de conséquences. Au cours des vingt années que j’ai passées à Médecins sans frontières, j’ai été témoin des impacts dévastateurs des changements climatiques à travers le monde.

Les catastrophes naturelles, les sécheresses et les famines, les vagues de réfugiés climatiques frappent les plus pauvres et déstabilisent des pays entiers, contribuant parfois au déclenchement de conflits armés. Pensons à la Syrie, où j’ai travaillé et où une sécheresse historique a poussé un million de paysans dans les villes, quelques mois à peine avant qu’éclate une sanglante guerre civile qui a jeté sur les chemins et les mers des centaines de milliers de réfugiés.

Nouvelle ère

Si j’ai choisi de me joindre à la Fondation David Suzuki, c’est que, bien qu’il soit essentiel de prêter assistance médicale et humanitaire aux populations qui font face à des situations de crise aggravées par les changements climatiques, j’ai la conviction qu’il nous faut aussi, et de toute urgence, agir pour prévenir son aggravation, pour prévenir la souffrance humaine aussi injuste qu’intolérable qui découle de la somme de nos actions ou de notre inaction.

Le combat humanitaire et la lutte environnementale sont désormais réunis par la crise climatique, et nous avons le devoir, devant les plus démunis de cette planète et devant les générations à venir, de fournir une réponse à la hauteur de ce qu’exige l’Histoire.

Nous sommes entrés dans une ère de responsabilité, une ère où chacune de nos décisions va imprégner une marque indélébile sur la suite du monde tel que nous le connaissons. Il n’est plus acceptable d’affirmer que la transition prendra du temps. Nous n’en avons plus. Il n’est plus justifiable de soutenir le développement des hydrocarbures et des sables bitumineux comme les gouvernements du Québec et du Canada le font tout en prétendant lutter contre les changements climatiques. La duplicité a trop longtemps servi de refuge à l’inaction.

Chocs climatiques

Il faut également cesser de prétendre que les transformations à venir se feront dans le confort et que la technologie à elle seule nous fournira une panacée. Nous ferons bientôt face à des chocs climatiques et à des contraintes écologiques qui non seulement limiteront notre développement économique futur, mais auront un impact sévère sur notre qualité de vie.

Dans ce contexte, notre modèle économique, érigé sur le gaspillage et la surconsommation, tire à sa fin, que nous le voulions ou non. Aussi bien l’accepter dès maintenant et transformer nos façons de faire plutôt que de subir impuissants des changements qui nous seront imposés par la réalité.

Devant cet état de fait, nous devons sortir de nos ornières et remettre en cause certains fondements de notre modèle de développement économique qui nous condamnent à l’inertie et à l’effondrement. Notre niveau de vie actuel repose sur l’endettement des générations futures. Le véritable courage consiste à mettre fin à cette injustice.

Mais il y a plus qu’une lueur d’espoir devant nous : il y a cette extraordinaire solidarité humaine que j’ai pu voir à travers le monde, dans des circonstances qui semblaient parfois sans espoir. Comme devant la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest, où après une période de panique et d’inaction collective meurtrière, la communauté internationale a finalement répondu « « présente » en rejoignant les organisations humanitaires et le personnel soignant local pour mettre fin en quelques mois à une épidémie aux proportions bibliques que l’on croyait jusque-là impossible à vaincre.

C’est sur cette capacité que nous avons de nous réunir et de nous entraider que réside notre salut. En ce début de 2018, j’invite tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté à faire tomber l’indifférence et le cynisme, et à se joindre à nous pour que cette année soit celle des décisions, au Québec, au Canada et à travers le monde

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PASCAL-OLIVIER DUMAS-DUBREUIL…. OU UN EXEMPLE ÉBLOUISSANT DE «LA SURVIVANCE DES LUCIOLES» DE GEORGES-DIDI HUBERMAN… LES LUCIOLES SONT CES GENS EMPREINTS DE POÉSIE QUE LE SYSTÈME N’ARRIVE PAS À ENGLOUTIR. DES LUCIOLES SUBSISTENT ET LEUR AMOUR DE LA BEAUTÉ AFFRANCHIE EST CONTAGIEUX…… TOUT L’ARCHÉTYPE DU VAGABOND CÉLESTE FUT HOLOGRAMMISÉ DANS CETTE PERSPECTIVE…. TOUT COMME LE FURENT MICHEL LE CONCIERGE ET MARLENE LA JARDINIÈRE

POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ, UNE JARDINIÈRE, UN CONCIERGE ET UN VAGABOND, AU NOM DE LA PHILOSOPHIE PLUS QUE DEUX FOIS MILLÉNAIRE, PAR L’INVENTION DE LA NANOCRATIE, DÉCLARE UNIVERSELLE LA NOUVELLE SÉPARATION DES POUVOIRS ENTRE LES NANO-PLANÉTAIRES QUI NE MANGENT PAS À LEUR FAIM ET LES MONARCHIES NUCLÉAIRES TOUT AUSSI COUPABLES QUE LEURS VALETS DE L’ONU. IL EST PLUS QUE TEMPS QUE L’HUMANITÉ NANO-CITOYENNE SE LÈVE DEBOUT PARTOUT SUR LA PLANÈTE TERRE POUR DIRE: NON À L’INJUSTICE, NON À LA PRÉCARITÉ, NON À L’EXCULSION DES RICHESSES. LA NANOCRATIE C’EST LA NANO-CONSCIENCE-PLANTAIRE EN MARCHE VERS UN MIEUX VIVRE POUR TOUS ET TOUTES.

December 22, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

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LE RÊVE BIG BANG
C’EST LA VALEUR DE L’IMPOSSIBLE
DANS SON SURGISSEMENT ORIGINEL
LE PLUS 2.7K
AU SENS OÙ
LE SOI DU POUR-SOI NÉANTISANT
ATTEINT
UNE EUMÉTRIE CHORÉGRAPHIQUE
MANIFESTANT L’INVU
DE LA PLUS ÉPIQUE
TRANSLUCIDITÉ
NON-THÉTIQUE
DU POUR-SOI COSMOGRAPHIQUE
DE LA CONDITION HUMAINE

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TITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) …….. «WOW-T=2.7K?» CODE SOURCE ARCHITECTONIQUE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

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CHAPITRE 1
LE WOW (LE RÊVE BIG-BANG)

A) SON HISTORIQUE.

B) SON PASSAGE ARCHITECTONIQUE
de l’ESPRIT hégélien au DÉPASSEMENT Heideggerien au PROJET Sartrien comme fondement conceptuel au RÊVE BIG BANG menant à l’invention des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 20 ans par le rêve big bang de l’archétype hologrammique de Pierrot vagabond de la beauté du monde À TRAVERS SES OEUVRES, SES CHANSONS, UN DOCUMENTAIRE (mon ami Pierrot, le dernier homme libre), un spectacle filmé du conteur international Simon Gauthier (le vagabond céleste) et UN BLOG… en quête poïétique des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art :

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

menant à une cinquième question
concernant l’espèce humaine vue de l’espace:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

D) BIBLIOGRAPHIE
l’allégorie de la caverne (Platon)
l’éthique à Nicomaque (Aristote)
l’éthique (Spinoza)
la critique de la raison pratique (Kant)
la phénoménologie de l’esprit (Hegel)
l’être et le temps (Heidegger)
l’être et le néant (Sartre)
l’évolution créatrice (Bergson)
Monsieur 2.7k (Pierrot vagabond)

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CHAPITRE 2
-T, (LA NON-TRICHERIE) (dans le sens de la mauvaise foi sartrienne)

A) SON HISTORIQUE

B) CONCEPT ARCHITECTONIQUE
la non-tricherie, absente des œuvres de Hegel et de Heidegger, constitue un ancrage fondamental de l’esquisse de la nouvelle théorie des émotions de Jean-Paul Sartre PAR SON CONCEPT DE MAUVAISE FOI.

c) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par la non-tricherie du rêve big bang de l’archétype hologrammique de Michel concierge de la beauté du monde, dans son rêve big-bang (son amour pour Marlene) à travers SES CHANSONS, ses deux documentaires: LE PAYS OEUVRE D’ART? ET LA PELLE JAUNE? en plus d’extrait de videos sur plus de 150 heures d’archives visuelles et sonores où sont exprimés ses aphorismes de la philosophie d’en bas EN MODE DE CONCEPTUALISATION.

D) BIBLIOGRAPHIE
esquisse d’une nouvelle théorie des émotions (Sartre) autobiographie (Margaret Sangers) autobiographie (peace pilgrim) autobiographie (Nelson Mandela) le comte de Monte-Cristo (Dumas)

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CHAPITRE 3
2.7k (LE BRUIT DE FOND DU BIG-BANG DE L’UNIVERS)

A) HISTORIQUE

B) L’ANALOGIE ARCHITECTONIQUE
entre le rêve big bang d’une personne humaine et le big-bang rêve de l’univers, par un rapport imaginatif du 2.7k dans une vie personnelle comme dans le cosmos.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
archivée sur une période de 10 ans par le personnage archétype hologrammique de Marlene la jardinière de la beauté du monde, ses jardins, et sa vie personnelle œuvre d’art dans son rêve big-bang de prendre soin de cette beauté du monde.

d) BIBLIOGRAPHIE
l’homme qui plantait des arbres (Giono)
critique de la faculté de juger (Kant)
le code secret de l’univers (Bogdanov)
———
CHAPITRE 4
? ( ou le paradigme d’une proposition falsifiable) (le concept paradigmatique du point d’interrogation de la formule étant une invention philosophique de Michel le philosophe-cinéaste-concierge)

A) HISTORIQUE (l’histoire du constructivisme russe au constructivisme radical du 21eme siècle comme mode de recherche scientifique autant que stratégique au niveau des droits nano-citoyens-planétaires.

B) SON RAPPORT ARCHITECTONIQUE
à la création d’une chaire de recherche d’un consortium universitaire pour inventer la nano-citoyenneté-planétaire en 3 ans par le biais d’une fondation.

C) SON ILLUSTRATION EMPIRIQUE
par le mode de fonctionnement archivé sur une période de 10 ans, de la création étapique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) , le wow unanime devenant graduellement le mode de mise en forme méthodologique conduisant à une invention paradigmatique éco-philosophique-politique (la nano-citoyenneté-planétaire dans sa forme éthique-esthétique-cosmologique: wow-t=2.7k?).

D) BIBLIOGRAPHIE
Léviathan (Hobbes)
l’esprit des lois (Montesquieu)
le contrat social (Rousseau)
théorie de l’agir communicationnel (Habermas)
la justice comme équité (Rawls)

CONCLUSION OUVERTE

La question de Montesquieu du 18eme siècle: Que faut-il inventer pour que tous les gouvernements de la planète fonctionnent un peu mieux (la séparation des pouvoirs) devenant au 21eme siècle ( que faut-il inventer pour que le pouvoir nano-citoyen-planétaire constitue un contrepoids obligeant les états à une éthique-esthétique planétaire avec des règles du jeu PROFITANT À TOUTE L’ESPÈCE HUMAINE (la nano-citoyenneté-planétaire).

Peut-on y arriver en 3 ans par un consortium d’universités financé par une ou plusieurs fondations dédiées à la démocratie nano-citoyenne-planétaire?

LA PHILOSOPHIE DU 21EME SIÈCLE,
POUR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
(AULD, WOODART, ROCHETTE)
PREND LE PARI QUE LE DROIT UNIVERSELLE
DE LA NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE
PASSERA PAR L’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE
DANS DES INVENTIONS AU SERVICE DE LA RAISON ET DE LA SENSIBILITÉ
PERÇUES D’UN OBSERVATEUR DE L’ESPACE
DANS SA CAPSULE SPATIALE
COMME UN ART NANO-ÉCO-PO;LIQIQUE
DE LA BEAUTÉ DU MONDE
LA NATURE ÉTANT VUE COMME UN ART
TEL QU’EXPRIMÉ PAR KANT
DANS LA CRITIQUE DE LA FACULTÉ DE JUGER

Vu de l’espace, d’une capsule spatiale, les 250,000 conseils municipaux de la planète terre dessinent géographiquement, QU’IMPORTE LE NOMBRE D’HABITANTS, VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, une structure permettant au hasard objectif bien géré par des algorithmes puissants, d’inventer UNE CONSCIENCE PLANÉTAIRE DES 125 JUSTES à la hauteur des aspirations de l’espèce humaine, autant éco-politiquement que cosmologiquement.

Cette intuition 4…. m’apparaît très opérationnelle au sens où, comme je le suggère à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

CE PREMIER TIRAGE AU SORT FAVORISE D’ABORD UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR CONSEIL MINICIPAL, QUE CE SOIT VILLE PAR VILLE OU VILLAGE PAR VILLAGE,

pouvant par la suite, DANS UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT, de l’élection des 125 justes, faire voter à leur tour leurs communautés réciproques dont les frontières sont reconnues universellement par le recensement officialisé sur lequel pourra s’appuyer les LGORITHMES pour gérer toute tricherie potentielle.

De là l’importance qu’un consortium de chaire universitaires de démocratie puisse, appuyé par financièrement par des fondations libres de toute ingérence étatique, orchestrer en toute justice et équité,

LA VOIX NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE DU 21EME SIÈCLE, À TITRE DE CONTRE-POUVOIR PLANÉTAIRE AUX LUTTES ENTRE LES ÉTATS, SUICIDAIRES POUR L’ESPÈCE HUMAINE PARCE QUE NUCLÉAIREMENT ARMÉES.

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Marlene A. jardinière de la beauté du monde
Michel W. concierge de la beauté du monde
Pierrot V. vagabond de la beauté du monde

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S’affranchir de la beauté préfabriquée par l’idéologie dominante

6 janvier 2018 | Pascal-Olivier Dumas-Dubreuil – L’auteur est étudiant en philosophie à l’Université de Montréal. | Le Devoir de philo

Il semblerait qu’Emmanuel Kant ait été aveugle à la possible existence, dans les sociétés de masse, d’une culture esthétique elle-même induite par les traditions, les normes, les valeurs et les dogmes portés par l’idéologie dominante.

Photo: Guillaume Souvant Agence France-Presse
Il semblerait qu’Emmanuel Kant ait été aveugle à la possible existence, dans les sociétés de masse, d’une culture esthétique elle-même induite par les traditions, les normes, les valeurs et les dogmes portés par l’idéologie dominante.

Dans la rubrique Le Devoir de philo, nous publions annuellement une version abrégée du texte gagnant du concours Philosopher qui se tient dans le réseau collégial. Le concours de 2017 portait sur ce thème : La beauté sauvera-t-elle le monde ?

Le monde est menacé : qui pour le nier ? Il suffit d’être exposé ne serait-ce que de façon négligeable aux médias et aux produits de consommation de masse pour constater qu’il y a, dans la culture populaire, une fascination et un appétit certain pour les catastrophes. Les films à saveur apocalyptique excellent au box-office et la couverture médiatique opte, la plupart du temps, pour une approche sensationnaliste. Il paraît évident que le monde est touché d’une affection et baigné d’un nihilisme parasitaire improductif qui le pousse justement à chercher sa propre autodestruction. Ce nihilisme, comme l’affirment Friedrich Nietzsche et Michel Onfray, « suppose la fin d’un univers et la difficulté à l’avènement d’un autre » (La puissance d’exister, 2006). Tous ne s’entendent toutefois pas sur la nature de cette menace : détérioration de l’environnement, terrorisme, modèle capitaliste et boursier, etc. Globalement, ces écueils ont généralement pour racine un manque de jugement. Devant de telles menaces, il est difficile d’entrevoir une solution qui ne soit, de par sa vocation anecdotique, insignifiante. La hausse fulgurante des ordonnances d’antidépresseurs et d’anxiolytiques ne semble pas avoir épargné la population de la souffrance que lui impose sa condition, la consommation non plus, pas plus que le divertissement. La solution se trouverait donc en dehors de celles proposées par la société capitaliste industrielle post-chrétienne. Comment donc assurer un bonheur aux humains ? Marcel Proust écrivait dans son oeuvre maîtresse que « la beauté est une promesse de bonheur » (À la recherche du temps perdu : La prisonnière, 1923). Dans sa quête inlassable du temps perdu, aurait-il mis le doigt sur un élément de la réponse ? La beauté aurait-elle la capacité de sauver le monde ? En d’autres mots, la beauté, en tant que jugement libre et subjectif d’une expérience du réel, a-t-elle la capacité de sauvegarder la société humaine, dans sa globalité, de la perte de repères et de jugement qui l’assaille ? Il semblerait que la beauté possède justement l’aptitude permettant à chacun de « [retrouver] le pouvoir de juger » (Pépin, Quand la beauté nous sauve, 2013).

Photo: Pascal-Olivier Dumas-Dubreuil

Pascal-Olivier Dumas-Dubreuil est étudiant en philosophie à l’Université de Montréal.

Dans La crise de la culture (1972), Hannah Arendt pose un regard critique sur l’état du monde en évoquant les crises qu’a engendrées l’usure de la tradition induite par la révolution industrielle et, plus largement, l’entrée dans l’ère moderne. Cette mutation dans la dynamique sociétale est posée comme responsable de l’émergence d’une société de masse en ce sens que les couches, auparavant exclues de la société par un travail harassant, se voient intégrées en elle puisque disposant tout à coup « non seulement de richesse, mais de loisirs ». La société de masse apparaît donc comme colporteuse d’une culture de masse servant à divertir, bien que de façon aliénante, ses nouveaux membres. Par définition, cette société de masse donne lieu à une psychologie collective qui exacerbe chez l’individu à la fois son sentiment d’« abandon » face à la masse, « son excitabilité et son manque de critères », « son aptitude à la consommation » et, plus grièvement, son « incapacité de juger ». Dépossédé de cette faculté, l’individu se voit privé, avec le réel, de toute libre expérience de son environnement et de lui-même.

Puisque notre modèle économique n’encourage la production que dans l’optique d’une consommation ultérieure, il est évident que l’essentiel des entités à vocation esthétique ait une valeur marchande. Conçues sciemment pour plaire, les publicités, au sens large, constituent probablement les créations mécanisées que nous côtoyons le plus fréquemment. Dans l’explosion de ses variantes, la publicité a phagocyté toute expérience désintéressée de notre rapport sensible avec le réel. Il est bien fâcheux de réaliser que l’esthétisme artificiel récupéré par la société de masse annihile notre capacité de poser un jugement libre. L’individu qui y est confronté devient ainsi aveugle à toute beauté puisque « la satisfaction se change en intérêt lorsque nous la lions à la représentation de l’existence d’un objet [alors même que le beau n’existe que lorsqu’un jugement est porté] sans aucun intérêt » (Kant, Critique de la faculté de juger, 1968). Lorsque la satisfaction vis-à-vis d’un objet est intéressée, « elle se rapporte toujours à la faculté de désirer » qui, le nom l’indique, s’extrait de la faculté de juger, la seule qui s’exerce vraiment « sans intérêt », « sans concept » et « sans représentation d’une fin » en tant que « satisfaction nécessaire ».

En suivant la logique inverse, par de tels énoncés, Emmanuel Kant, dans Critique de la faculté de juger, montre la voie, par l’obligation critique qu’impose le beau, vers la reconquête de notre faculté de juger. Globalement, il juge que l’unique satisfaction souveraine que nous puissions expérimenter ne peut être provoquée qu’au contact de la beauté. En effet, au moment de « savoir si une chose est belle », le sujet perçoit cette chose grâce à ses sens qui le limitent à des indications partielles et relatives sur celle-ci. Les perceptions sensorielles ainsi acquises suggèrent un jugement « en relation à la libre légalité de l’imagination. » Si l’imagination dans le jugement s’exerce sans a priori, elle sera « productive et spontanée […] en tant que créatrice de formes arbitraires d’intuitions possibles ». Kant distingue les jugements « déterminants » et « réfléchissants ».

Chez le premier, seul type que connaît le dogmatisme, « l’universel et le particulier sont, l’un et l’autre, objets de connaissance, si bien que [l’universel] y est déterminé, par les lois de l’association, comme un cas d’une loi ou règle universelle » (Bréhier, Histoire de la philosophie, 2004). En contrepartie, le second, seul qui tienne de l’expérience esthétique pure, jaillit quand le particulier est dénué d’une règle universelle préexistante. L’analyse du particulier prescrit alors que « la faculté du jugement s’exerce [pour nous donner une] règle nécessaire pour penser le donné » (Bréhier, Histoire de la philosophie). Ultimement, cette préhension de notre relation sensible au monde a pour conséquence de redonner, à ceux qui font l’expérience de la beauté, une confiance en leurs facultés et une inclination à la pratique du jugement. Au sens large, la beauté est donc encline à encourager l’exercice du libre arbitre, et ce, même quand il n’existe pas de concept préexistant ou d’a priori. La théorie kantienne accorde à la beauté la fonction de rempart contre la dépossession critique induite par la société de masse et sa culture de masse. En ce sens, elle semble pouvoir sauver le monde.

«Sous le poids des monopoles, toute civilisation de masse est identique et l’ossature de son squelette conceptuel fabriqué par ce modèle commence à paraître»

Max Horkheimer et Theodor W. Adorno

Pour Kant, le jugement esthétique était une sentence libérée de critères préexistants. Sous cet angle, le jugement induit par le beau aurait une valeur supérieure conformément à sa capacité à catalyser la faculté de juger et de par son indépendance par rapport aux traditions, aux normes, aux valeurs et aux dogmes. Malheureusement, il semblerait que Kant ait été aveugle à la possible existence, dans les sociétés de masse, d’une culture esthétique elle-même induite par les traditions, les normes, les valeurs et les dogmes portés par l’idéologie dominante. Dans La dialectique de la raison (1974), Max Horkheimer et Theodor W. Adorno corroborent l’existence d’une culture esthétique dominante au service des intérêts de ceux qui, justement, « dominent économiquement ». Ils observent une uniformisation dans les productions culturelles qui est le fruit d’un « système » constitué grosso modo de la télévision et du cinéma, de la radio et des magazines. Ils déclarent : « Sous le poids des monopoles, toute civilisation de masse est identique et l’ossature de son squelette conceptuel fabriqué par ce modèle commence à paraître. » Cette normalisation supprime peu à peu toutes altérités. Un tel système aseptisé de toute marginalité a pour effet de réduire le contact des individus avec des objets pour lesquels ils ne possèdent pas de concept ou d’a priori. Horkheimer et Adorno remarquent que tout besoin « qui par exemple pourrait échapper au contrôle central est déjà réprimé par le contrôle de la conscience individuelle ». Même constat pour les secteurs culturels : « chaque secteur est uniformisé et tous le sont les uns par rapport aux autres » dans un jeu d’interdépendance. En fait, l’idéologie dominante incite la majorité à associer, de façon simpliste, des concepts de beauté artificiels et préfabriqués à la plupart des objets auxquels elle donne son aval parce qu’ils se fondent dans la logique systémique et perpétuent le modèle en place. En contrepartie, les individus sont conditionnés à éprouver une aversion pour tout ce qui ne leur est pas familier. Dans ce système, les seuls exotismes qui soient sont édulcorés et vidés de leur substance pour ne devenir, en fait, qu’un produit comme un autre. Horkheimer et Adorno ajoutent : « Pour ses loisirs [l’humain] qui travaille doit s’orienter suivant cette production unifiée. » Il serait donc laborieux de se soustraire à cette foire extravagante, ostentatoire et absurde. La théorie kantienne présumait que l’individu, en voie de poser un jugement, aurait le champ libre pour organiser et embrasser les concepts selon sa propre volonté. En revanche, l’industrie a plutôt l’habitude de « tout schématiser » à sa place. Dans une telle situation, l’expérience de la beauté n’a plus rien à voir avec le libre arbitre, mais devient, à l’inverse, une mécanique prédéterminée qui a pour simple effet de déposséder encore davantage l’individu de sa créativité et de sa faculté de poser un jugement « réfléchissant ».

Pour conclure, les menaces qui pèsent sur le monde sont principalement dues à la perte de jugement engendrée par l’avènement d’une société de masse colporteuse d’une culture de masse. Kant accorde à l’expérience esthétique de la beauté la capacité d’induire un jugement réfléchissant chez le sujet qui l’observe. Cependant, Horkheimer et Adorno montrent que ce jugement n’est en fait, dans notre société marchande, qu’un ersatz de liberté, en ce sens qu’il est déterminé par les produits culturels qui confortent l’idéologie dominante dans un statu quo vicié. Nul baume ne semble pouvoir nous préserver du désespoir. Néanmoins, lumière au bout du tunnel il y a. Dans Survivance de lucioles, Georges Didi-Huberman emprunte l’image des lucioles à Pier Paolo Pasolini. Les lucioles sont ces gens empreints de poésie que le système n’arrive pas à engloutir. Des lucioles subsistent et leur amour de la beauté affranchie est contagieux. Les lucioles opposent les scintillements des contre-pouvoirs aux lumières éblouissantes du pouvoir. En outre, pour reprendre les mots de Milan Kundera, chacun, « à son insu, compose sa vie d’après les lois de la beauté jusque dans les instants du plus profond désespoir » (L’insoutenable légèreté de l’être, 1984). Notre abattement face au monde n’est pas sans issue.

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ARNAUD CHAUCHOY DE LA BIBLIOTHEQUE DE L’UQAM ET SON MOT DE BIENVENUE QUI M’ATTEINT AU FOND DE MON ÂME DE VAGABOND

Salut Pierrot,

Cette lecture, ce poème (CHANT DE LA BELLE ROUTE, WALT WHITMAN) m’a fait pensé par bien des points à ce qu’il m’est donné d’imaginer de tes vagabondages. Vagabondages aussi de tous ceux qui un jour quittent l’alignement des allées de livres non ouverts des bibliothèques (ou d’un mur de Tim Horton’s) pour s’en aller écrire sur la poussière de la grand route le texte singulier des pieds savants et rieurs.

Arnaud

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WALT WHITMAN
CHANT DE LA BELLE ROUTE
extrait

1
A pied et cœur léger je gagne la belle route,
santé, liberté, le monde devant moi,
Le long chemin bis devant moi conduit où il me plaît.

Désormais je ne demande point la bonne fortune, moi-même je suis la bonne fortune,
Désormais, je ne geins plus, ne diffère plus, n’ai besoin de rien,
Finies les doléances de cabinet, bibliothèques, critiques chagrines,
fort et content, j’appelle la belle route.

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COMMENTAIRE

Il est vrai que, les recherches de notre Équipe (Auld, Woodard, Rochette) avancent avec une telle pertinence, que pour la première fois depuis presque trois ans maintenant (Il y a trois étés, j’étais au Nouveau-Brunswick), je pourrais me permettre de repartir sur les routes du Canada serrer les mains des grandes rêveuses et des grands rêveurs.

L’île du Prince Edouard me semble la grand route de Whitman pour l’été 2018.

à suivre

Pierrot vagabond céleste

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

UNE JARDINIÈRE, UN CONCIERGE ET UN VAGABOND… TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES À LA RECHERCHE D’UN ARC-EN-CIEL NANO-PLANÉTAIRE ENTRE LE SAVOIR-ÊTRE ET LE SAVOIR-FAIRE DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART, FONDEMENT MÊME DE LA NANOCRATIE (NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE) ET SES 125 JUSTES.

wikipedia

La formation d’un compagnon

L’état de Compagnon s’acquiert après avoir rempli son temps d’apprentissage, s’être perfectionné sur le tour de France en tant qu’Aspirant, et avoir réalisé un travail appelé communément chef-d’œuvre. Ce dernier est désormais appelé “travail de réception » (la réception est une cérémonie qui élèvera l’aspirant à l’état de compagnon). Compagnon n’est pas un titre mais un état professionnel et philosophique.

Il poursuivra sa formation auprès de divers patrons et « pays » ou « coteries » qu’il côtoiera sur le tour de France. Au cours de son périple, il trouvera partout une maison de compagnons, où sont situées « Cayennes » et « Chambres » Cette maison est gérée par une femme : « Dame économe », « Dame hôtesse » ou « Mère » en fonction du degré d’initiation reçue par cette dernière? L’appellation de cette femme est celui de “Maîtresse de maison”. Chambres et Cayennes font référence, suivant les Métiers, au lieu où se réunissent les Compagnons de chaque Métier. Au sein des maisons, on trouve le « premier aspirant » qui seconde la maîtresse de maison en cas d’absence et le « Rouleur », ou « Rôleur », Compagnon itinérant qui autrefois était chargé de l’embauche et qui, maintenant, seconde le Prévôt ou le directeur, tout en faisant souvent office de maître de cérémonie.

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LA NANOCRATIE SERA AU 21EME SIÈCLE CE QUE LES COMPAGNONS DE PARIS FURENT AU MOYEN-ÂGE… un lieu iconique où le chef d’œuvre comme travail de réception est une invitation à devenir, comme le dit si bien mon ami Michel le philosophe=cinéaste-programmeur-concierge, LE CHEF DE TON OEUVRE, le maître-constructeur de ta vie personnelle œuvre d’art.

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ARCHIVES LUES PAR HASARD SUR INTERNET

Pierrot le poète itinérant !

2 Mars 2013

Rédigé par Gilles Rousseau et publié depuis Overblog

Pierrot, un personnage unique et fascinant, rencontré sur la route, entre Montréal et Québec avec comme seuls bagages un bâton de marche, une guitare et un vieux sac à dos.

Mais, quand on prend le temps de l’écouter on réalise vite que son bagage de vie est bien plus lourd! Le mythique bar Les Deux Pierrots qu’il a cofondé, de nombreux voyages à travers le monde en tant que musicien, une thèse sur le rire et un doctorat en intelligence collective se trouvent dans le sac de son passé.

À 57 ans, Pierre Rochette, alias Pierrot, choisit de vivre son rêve de jeunesse et de parcourir le Québec comme un vagabond. Il renie alors son style de vie, donne sa maison et ses économies, ferme ses comptes en banque et part, sans le sou, marcher le Québec à la recherche de rêveurs, comme lui.

Certains le croient fou, d’autres crient au génie. Ce qui est certain, c’est que choisir la liberté ne laisse personne indifférent…

Sites à découvrir également :
www.enracontantpierrot.blogspot.com
www.reveursequitables.com

Simon Gauthier, conteur, video vagabond celeste
www.demers.qc.ca
chansons de pierrot
paroles et musique

Source : http://www.enracontantpierrot.blogspot.fr/

«LA PHILOSOPHIE VUE D’EN BAS» PLUTÔT QUE «LA PHILOSOPHIE D’EN BAS»…. LE GLOSSAIRE S’AFFINE AU FUR ET À MESURE QUE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD,ROCHETTE) SE POSITION EN ARC-EN-CIEL INTELLECTUEL ENTRE LE SAVOIR-ÊTRE ET LE SAVOIR-FAIRE

Bibliothèque de la Pléïade
les arts et les dieux
Alain
P.83-84
extrait

Au-dessus, l’opinion droite, qui porte la marque de la prudence et de la modération (Woodard). L’homme écoute l’homme, voyage, observe les artisans et les métiers, les usages de toute cité, les sentences communément approuvées, ce qu’on répète à part soi, et encore mieux ce que l’on fait.

L’ARGUMENT DE COUTUME A TOUTE FORCE ICI, car il est difficile d’admettre qu’un constant usage soit en désaccord avec les conditions réelles.

CETTE SAGESSE S’APPREND COMME UN MÉTIER et se vend de même. L’argument d’un Gorgias est toujours qu’il cite ceux qui l’ont consulté, ceux qui voudraient l’entendre encore. Beaucoup de ces sophistes furent législateurs. Mais encore mieux admirez-vous un pilote, un paysan, un bûcheron, un pêcheur, un chasseur, hommes qui furent apprentis et qui sont passés MAÎTRES qui savent les plantes (MARLENE), les nuages et les ronds d’eau, qui goûtent et flairent les moindres signes qui annoncent le temps, la récolte, les passages d’oiseaux, qui montrent les plantes qui guérissent, celles qui nuisent, celles qui nourrissent, ET EN TOUT CELA NE SE TROMPENT GUÈRE….

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

SANS MES DEUX PARTENAIRES DE RECHERCHE, MARLENE ET MICHEL, JAMAIS LA QUESTION DU DOCTORAT N’AURAIT ATTEINT SA MATURITÉ SCHÉMATIQUE « QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE CHACUNE ET CHACUNE MANGE À SA FAIM SUR LA PLANÈTE TERRE?» ET PAR CONSÉQUENCE LA RÉPONSE WOODARDIENNE N’AURAIT LANCÉ UN TEL CRI DE MUNCH PLANÉTAIRE « LA NANOCRATIE»

A titre de vagabond céleste, j’ai toujours refusé de faire partie des ustensilaires de la vie intellectuelle institutionnelle. La perroquetterie de la connaissance stratifiée faisant partie des frontières schématiques du passé.

A titre de vagabond céleste, mon archétype hologrammique, soudé aux arthétypes hologrammiques de Marlene la jardinière et de Michel le concierge, se projette dans l’avenir de la nouvelle nano-multitude-planétaire cri de Munch de ne pouvoir manger à sa faim à de milliards d’exemplaires.

LA NANOCRATIE consacre numériquement et universellement la séparation des pouvoirs entre la nano-citoyenneté de la nouvelle multitude et les états prédateurs.

UNE QUESTION DE DOCTORAT, c’est la sagesse cachée dans la clandestinité enfouie sous les pouvoirs institutionnels. LE CHEMIN DE LA QUESTION PRODIGE DES LEÇONS INOUIES au carrefour historique des réponses obsolètes.

Merci mes amis chercheurs
Marlene et Michel

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Marlene, jardinière du pays œuvre d’art
Michel, concierge du pays œuvre d’art
Pierrot, vagabond du pays œuvre d,art

QU’EST-CE QUE LA RECHERCHE PARA-INSTITUTIONNELLE? UNE COMMUNAUTÉ DE VIRTUAUSES PRATIQUANT LA LYNCÉALITÉ

courriel à une de mes jeunes compagnons de recherche

Vraiment super

ton capital symbolique atteint de plus en plus

l’excellence des communautés des virtuoses

dont l’objectif est de d’ordonner un certain nombre

de vertus à la qualité d’un savoir pour soulager

la condition humaine.

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Galilée

faisait partie de l’académie des lynxs

et pratiquait la «lyncéalité» c’est à dire

une volonté rigoureuse de fondation

éthique au cœur d’une communauté savante.

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SUITE DE COURRIELS ENTRE SARAH RUBATO ET PIERROT

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Bonjour Pierrot

Ce fut longtemps, trop longtemps peut-être, mais sûrement pas. Le temps de passer à travers des orages, de s’embourber, de ramper, de se relever, de marcher avec sa blessure, mais de marcher quand même.

Pour quelle contrée ou quel écrin avez-vous quitté la bibliothèque de McGill ?

Hâte de retrouver la joie de vous lire

J’ai attrapé un arc-en-ciel qui s’était arrêté juste sur l’église. Dans le coin on dit que les arc-en-ciels montrent là où il y a un trésor. Si c’est le cas j’imagine que vous en traînez un avec vous.

Sarah Roubato
www.sarahroubato.com

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Chère Sarah

De mon côté, je suis dans un nuit et jour de chercheur universitaire… les quelques élèves à qui je sers de tuteur en maîtrise et au doctorat que je cultive depuis 5 ans maintenant me procurent des joies inouïes. Ils grandissent dans la brillance intellectuelle…. je leur fais vivre la différence entre un sujet de recherche et un objet de recherche (une proposition mentale constituée de concepts traversant les champs de paysages conceptuels autant que de schèmes conceptuels) à travers une question que je les invite à résoudre de manière inventive et non commentatrice, chacun ou chacune dans leur discipline institutionnelle respective.

ne triche pas avec ton rêve big-bang

et le big-bang cosmologique de ton rêve

ne trichera pas avec toi

Pierrot

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À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 17 h 08

j’avais tenté de vous envoyer plusieurs fois ce message mais il me revenait. Merci d’écrire d’une autre adresse.

dans un appartement d’où je vois la Tour Eiffel, bien chauffé, à ciseler des mots, tailler, encore et encore…

vous n’avez donc pas vagabondé depuis cet été ?

écrire…ce n’est même pas ma passion, c’est mon état d’être au monde, c’est mon geste.

invention plutôt que commentaire… oui ! J’ai écrit un article sur mon site qui s’appelle La culture du commentaire, car il est vrai qu’elle est effrayante. Avez-vous lu Deleuze ? il parle beaucoup des concepts comme une invention, et tisse les liens entre concepts percepts et affects.

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Chère Sarah

Deleuze et Guattari font partie de mon archéologie du rhizome, telle que résolue dans son œuvre par Edouard Glissant et sa dialectique entre le tout-monde et le métissage des inventions planétaires.

Cet été, j’ai vagabondé la connaissance… au nom de notre équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) J’ai failli partir tellement de fois avec mon bâton et mon sac de couchage… mais je m’obstinais à faire œuvre planétaire par l’invention de la nanocratie (la nano-démocratie-planétaire) réfléchissant à la communauté des virtuoses des 125 justes, champ magnétique entre le particulier et l’universel tel que l’aurait rêvé et actualisé John Rawls s’il avait vécu à la période numérique.

Je reste passionné par le fait d’appliquer un certain nombres de vertus à la qualité du savoir. Je suis habité par ce que certains auteurs appellent «l’incéalité» que je décrirais comme une soif paroxystique d’une volonté de fondation éthique d’une communauté savante par l’exemplarité paradoxale d’une intimité para-institutionnelle.

Je reste persuadé qu’au 21eme siècle, une dimension nano-collective sera essentielle pour construire des champs de questions partagées autour de la problématique suivante: QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE TOUS ET TOUTES MANGENT À LEUR FAIM SUR LA PLANÈTE TERRE?

Si vous le permettez, je transcrirai ce dialogue sur mon blog poïétique (www.lepaysoeuvredart.ca)

Pierrot

PASSER D’UN SUJET DE DOCTORAT À OBJET DE RECHERCHE DE DOCTORAT, C’EST DÉFINIR UNE PROPOSITION MENTALE COMPOSÉE DE CONCEPTS…. MAIS IL Y A PLUSIEURS SORTES DE CONCEPTS AU 21EME SIÈCLE.

prenons le sujet de doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)… LA FAIM DANS LE MONDE.

Le passage d’un sujet de recherche à un objet de recherche passe par une proposition:

L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANTAIRE COMME SE PROPOSE DE CONTRIBUER À FAIRE AVANCER LA PROBLÉMATIQUE DE LA FAIM DANS LE MONDE…. EN S,APPUYANT SUR LA QUESTION SUIVANTE:

QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE CHACUN ET CHACUNE SUR LA PLANÈTE TERRE MANGE À SA FAIM?

Maintenant, par ce sujet transformé en projet de recherche, il est essentiel de réfléchir non pas sur la proposition mentale, mais sur la nature méthodologique de l’étiquette «CONCEPT» dans sa dialectique avec ses attributs essentiels.

Historiquement, on passé d’un PAYSAGE CONCEPTUEL

au moyen-âge (Guillaume d’Ockham) à son passage kantien (phénomène-noumène) dialectisé historiquement par Hegel) puis économiquement par Marx et Engels en tentant de rompre la séparation entre le sujet et l’objet par la praxis.

AU CHAMP CONCEPTUEL

Mais dans un deuxième temps, avec l’arrivée de la physique quantique et les percées cosmologiques, s’est imposée peu à peu la notion de CHAMP CONCEPTUEL)

La déconstruction du paysage conceptuel commence avec la mise en perspective de Lukacs (le rapport contenu et forme) et le passage d’une espérance praxiste d’une lutte des classes à un désenchantement crée par ‘émergence de la société de consommation.

Le notion de concept se radicalise avec Sartre (la critique de la raison dialectique) pour se fragiliser avec Adorno (la négation de la dialectique) et retomber dans l’utopie générationnelle (Marcuse)

LE PASSAGE DE PAYSAGE CONCEPTUEL AU CHAMP CONCEPTUEL

s’accompagne d’une critique épistomologique de tout un nouveau champ de la philosophie de la connaissance (dont le phare est Popper).

Comment éviter le nihilisme Nietzschéen , l’absurde kafkaen, ou la déconstruction radicale de Thomas Bernard dans une planète où l’irrationnalisme des monarchies nucléaires font éclater toute espérance d’opérationnalité des champs conceptuels qui d’avant- garde en avant-garde, autant en histoire de l’art qu’en histoire de la pensée rendent fluide la marge même des champs de forces qui se bombardent d’impuissance paradigmatique.

AU SCHEME CONCEPTUEL

Au 21eme siècle, planétairement, le passage de la génération silencieuse (1901-1944) à la génération baby-boom (née entre 1945 et 1960) à la génération X (né entre 1960 et 1980) à la génération Y (né entre 1980 et 2000) à la génération Z (né au tournant des années 2000) nous emmène dans une frontière schématique conceptuelle inouie.

LA GÉNÉRATION Z SONT LES PREMIER À N’AVOIR JAMAIS CONNU LE MONDE PRÉNUMÉRIQUE.

Née avec le développement exponentiel d’Internet, des téléphones intelligents et des applications mobiles, cette génération porte en elle des révolutions paradigmatiques de la NOTION DE CONCEPT. qui tiendra bien plus du constructivisme radical, c’est-à dire d’une parfaite mobilité intellectuelle entre l’étiquette conceptuelle et ses attributs essentiels dans un OBJET DE RECHERCHE DOCTORALE.

C’est en ce sens que la question de doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se positionne: Par la superposition d’un paysage conceptuel, d’un champ conceptuel et d’un schème conceptuel, réussir par L’AUTO-DÉDUCTION des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art à inventer LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE pour contribuer à résoudre la problématique de la faim dans le monde.

Quand chacun et chacune mangera à sa faim, là problématique environnementale pourra être abordée planétairement par des estomacs repus.

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