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« DE LA NON-TRICHERIE À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE : «WOW-T=2.7K?» …. AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE CE MATIN, NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) A NON SEULEMENT ADOPTÉ LE TITRE DU DOCTORAT DANS SA VERSION DÉFINITIVE, MAIS AUSSI APPROUVÉ LA MÉTHODOLOGIE AGURMENTATIVE QUI EN DÉCOULE EN TROIS CHAPITRES (1ER; LA NON-TRICHERIE, 2EME LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, 3EME «WOW-T=2.7K», MAIS AUSSI LA FORME MULTI-MÉDIA D’EXPRESSIONS DES TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE HABITANT LA MARGE DE GAUCHE PAR DES VIDÉOS DE SON JARDIN, MICHEL LE CONCIERGE LA MARGE DE DROITE PAR SES VIDEOS SYNTHÉTIQUES SOUS L’ANGLE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS ET PIERROT VAGABOND LE CENTRE PAR L’ÉMERGENCE ET LA DÉCOHÉRENCE DES ÉTIQUETTES FLOTTANTES DE SON CHAMP CONSTELLAIRE SUIVANT LE FIL D’OR UNIVERSEL PAR LA PRÉSENCE ET ACCIDENTEL PAR LA FORME D’UNE INTRICATION MULTIVERS DE L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE

Quel exceptionnel conseil d’administration de la créativité de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) ce matin.

Quand je me suis réveillé, Michel avait passé une partie de la nuit à travaillé son artéfact dont le cadre viendra de la Californie comme le premier et qui accompagnera la création et du titre et de la méthodologie et du design multi-média de doctorat notre doctorat…

Marlene a par la suite examiné le tout méticuleusement afin d’y suggérer des améliorations stylistiques dont le fondement repose sur son immense expertise en professeur de mode au collège Lasalle.

Puis, vint mon tour… Je leur ai dis: Mes amis… je pense avoir enfin réussi à trouver notre titre de doctorat qui respecte notre désir d’excellence théoritique issu et de la conclusion ouverte (donc de notre invention euporitique synthétique) et du fil d’or de l’argumentaire en ordre architectonique au fil même des trois chapitres.

DE LA NON-TRICHERIE À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE: «WOW-T=2.7K?»

Un magnifique wow nous a vraiment rendu heureux.. Et moi d’ajouter: Maintenant je peux commencer à écrire le doctorat…. Je suggère que chacun des paragraphes soit soumis à nos trois wow de façon qu’il puisse être accompagné dans une version multi-média par des videos de Marlene dans la marge de gauche et des videos de Michel dans la marge de droite.

C’est ainsi que nous nous sommes quittés: CA MARCHE LA MÉTHODOLOGIE DES 3 WOWS APPLIQUÉS NON PAS PAR DES CHERCHEURS MAIS PAR DES HOLOGRAMMES HOLOGRAMMIQUES.

En sortant, je dis à Michel… hier Isabelle et Gaelle m’ont demandé c’était quoi la non-tricherie dans ma méthodologie de l’ontiquation..

et Michel de répondre au nom de l’équipe:

LA NON-TRICHERIE, C’EST LE SYSTÈME D’ÉDUCATION PROPOSÉ PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…

CAR…

la non tricherie , non seulement ça s’apprend, mais c’est l’accès par excellence à LA BEAUTÉ DU MONDE.

à suivre…

Pierrot vagabond

 

«L’ONTIQUATION» DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE ÉMERGEANT D’UNE NON-TRICHERIE ASPIRÉE PAR UN RÊVE BIG-BANG…..C’EST LE DROIT À L’ERRANCE POÉTIQUE ARCHIVÉE SOUS FORME D’ERRANCE POÏÉTIQUE DE S’INSÉRER EUMÉTRIQUEMENT ENTRE L’ÉPISTÉMOLOGIE ET LA MÉTAPHYSIQUE, DISSOLVANT TOUTE PRÉTENTION ONTOLOGIQUE DU RAPPORT ENTRE LES ÉTIQUETTES FLOTTANTES ET LEUR HORIZON PHILOSOPHIQUE SOUS FORME D’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE ARTICULÉE SOUS L’ÉNIGME DU MULTIVERS.

Autant la chanson du camionneur de Pierrot le vagabond que la chanson «lâche-moé pas» de Michel le concierge témoignent de l’ontiquation au quotidien que provoque la non-tricherie d’un rêve big-bang, avec pour conséquence de dessiner un champ constellaire remarquablement indivisualisé dans son rapport au prendre soin de la beauté du monde.

Dans le cas du vagabond céleste, une des énigmes des paramètres de l’ontiquation repose sur la dissolution et de la finitude et du sentiment tragique, comme si le dessein d’une finale de vie passait par une image: celle de la rivière St-Maurice que mon corps agonisant descend en canot alors que des deux côtés des berges, la naissance et la mort saluent en moi non pas la spectralité d’une peur archétype, mais l’hologrammie d’une multiversité privée œuvre d’art.

Hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion… hors épistémologie, hors métaphysique… hors ontologie… exactement comme LE CANTIQUE DES CANTIQUES déposés par erreur dans une bible confuse de notions historiquement obtues.

à suivre…

Pierrot vagabond

LA CRÉATION DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE POURRAIT SE DÉFINIR A POSTÉRIORI PAR L’ART D’HABITER LA MARCHE D’UN VAINCU-VÉCU ORCHESTRÉ PHILOSOPHIQUEMENT PAR LE 1000 PAGES D’UN ESSAI PHILOSOPHIQUE A PRIORITIQUE: MONSIEUR 2.7K?

C’est en ce sens, je crois, qu’il faudrait lire (dans les 6000 pages de la poïétique de ce blogue) l’invention constructiviste radicale au sens de l’ontikation quanto-cosmologique du réel, que constitue l’algorithme social WOW-T=2.7K?

Par trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond), le champ constellaire de wow-t=2.7k? se soustrait ontokativement et de la finitude (la mort) et du sentiment tragique (relié à tout in situ englué sous l’illusion de l’inter-sectionnalité parce que sans horizon philosophique théorisé…

… dans un laboratoire existential non pas basé sur la vertu (philosophie ancienne) non pas sur le projet (Aristote, Jaspers, Sartre, Mounier) mais SUR UN RÊVE BIG-BANG AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LA CINQUIÈME QUESTION DU PAYS OEUVRE D’ART:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

C’est en ce sens aussi, que wow-t=2.7k? constitue en soi UN PARADIGME THÉORITIQUE d’un potentiel inoui en intelligence artificielle, parce que bénéficiant d’une eumétrie ( le ? conduisant au ! de la beauté du monde) où autant la tradition épistémologique, que celle de l’ontologie ou celle de la phénoménologique ne peut rivaliser devant l’apparition d’une nouvelle notion défiant toute conceptualisation en cosmologisation contemporaine et que l’on nomme ; LE RENVERSEMENT des différents champs du savoir par l’énigme du multivers, comme point de convergence de l’imagination la plus débridée.

La finitude autant que le sentiment tragique sont nés avec la mythologie transmuée en cheminement philosophique (maïeutique euporisée par les idées éternelles) ionisés par le néo-platonicisme autant que par le romantisme allemand… se déployant dans des in situs aux empirismes boiteux succédant au post-modernisme secoué par la dématérialisation et du savoir (fake news) et des relations humaines ( mondialisation versus la cristallisation des irritants reliés à la race, la langue, ou à la religion.

L’horizon philosophique se dégageant peu à peu d’un militantisme idéologisé permet une réuniversalisation de la vision théoritique d’une recherche conceptuelle de haut niveau, où l’architectonie même se détache des illusions autant de l’argumentaire contractuel (universitaire) que des opinions des réseaux sociaux =basée sur l’affect binarisé autour des enjeux populistes (l’invasion des imbéciles).

Le crépuscule des dieux (Nietzsche) et la mort de l’auteur redonne à l’a-finitude et à l’a-tragique de la condition humaine hologrammique cette intuition d’un autre possible… qui fut la base même de l’ataraxie espérée par le scepticisme, l’épicurisme autant que du stoicisme même si ce fut sous des prismes incompatibles.

VAINCU-VÉCU POUR MIEUX SE LAISSER VAINCRE PAR SON RÊVE BIG-BANG, HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE.

Et c’est en ce sens que le vaincu-vécu de l’archétype hologrammique du vagabond céleste comme ceux de Marlene la jardinière et de michel le concierge,  représente le saut ONTIQUE DONT L’ONTIQUATION DU RÉEL A BESOIN POUR QUE SE DÉPLOIE PAR LA NON-TRICHERIE la synchroni-vie-té exploratoire , hors du dogmatisme relié aux croyances, de tout quanti-cosmo-constructivisme relié à une étiquette immensément flottante sémiologiquement: celle du multi-vers comme nouvel horizon d’errance poétique enfin libéré et de toute finitude et de tout sentiment tragique relié à l’in situ.

La nano-citoyenneté-planétaire par l’intelligence artificielle se veut le droit à la défense de tout enfant qui se meurt de faim ou de blessures pour protéger existentialement toute vie personnelle œuvre d’art relié à son rêve big-bang.

à suivre…

Pierrot vagabond

QUE CE SOIT EN NOÉTIQUE (THEILLARD DE CHARDIN), EN TRANSCENDANTALISME (EMERSON), EN THÉURGISME (ST-AUGUSTIN) OU EN PANTHÉISME (SPINOZA) QUAND ON REGARDE LE TOUT SOUS L’ANGLE THÉORITIQUE SANS TENIR COMPTE DES ASSISES IDÉOLOGIQUES D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE CONTEXTUALISTES, JE NE PEUX QUE ME PLACER PARADIGMATIQUEMENT SOUS LE CHAMP DE LA PROBLÉMATOLOGIE (MEYER) POUR INTUITIONNER ABDUCTIVEMENT QUE LE CHAMP CONSTELLAIRE DE «WOW-T=2.7K?» POSE L’HYPOTHÈSE SUIVANTE: SOUS TOUTES CES ÉTIQUETTES AUX FORMES FLOTTANTES, LE POINT D’EXCLAMATION (?) SEMBLE CONDUIRE (BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE) À L’ÉMERVEILLEMENT MÊME DU POINT D’EXCLAMATION (!) SOUS LEQUEL S’INTRIQUENT LE MULTIVERS ET TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART QUI NE TRICHE PAS AVEC UN RÊVE BIG-BANG,

Le poème de Lucrèce est, dans la philosophie ancienne, ce qui m’incite le plus à passer de la métaphysique de l’individu à son ontiquation par la non-tricherie et la vie personnelle œuvre d’art sous la puissante errance poétique d’un rêve big-bang.

Comme si ce modèle fondant le code de déontologie de la nano-citoyenneté-planétaire et sa constitution révélait une capacité constructiviste de faire voir le rapport entre l’homme et l’homme, SELON UNE AUTRE RAISON QUE LA RAISON ARGUMENTATIVE évacuant le multivers des qualis sous le calcul méthodologique des formes énigmatiques du réel.

à suivre…

Pierrot vagabond

COMME LE DIT SI BIEN MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE, PAR L’EXPLORATION DE LA «SYNCHRONI-VIE-TÉ» ON DÉCOUVRE QU’ON EST EN TRAIN D’INFLUENCER L’INVISIBLE.

Michel le concierge, l’archétype hologrammique qui symbolise le plus petit parce qu’il est au service des autres tout en étant celui qui reçoit le moins (salarialement) possède le grand art de la saillie aphoristique… Chaque matin, je vois un visage exprimant la condition humaine hologrammiquement avec une transparence qui m’enthousiasme …

La philosophie d’en bas qui surgira de son carnet du concierge m’apparaît promise à un scintillant avenir sociétal.

Pierrot vagabond

POUR LE STOICISAME MOYEN, LES IDÉES SONT COMPRISES COMME LES ARCHÉTYPES DES CHOSES

Lambros Couloubaritsis
Histoire de la philosophie ancienne
et médiévale
p.498
extrait

…favoriser l’inverse: la planotisation du stoïcisme. Car désormais, les idées ne sont plus rejetées comme incompatibles avec la fondation D’UNE RÉALITÉ SENSIBLE EN DEVENIR, ni intégrées comme les spécificités des choses SE MANIFESTANT PAR LES FORMES (Aristote),;

Elles sont comprises comme LES ARCHÉTYPES DES CHOSES et, comme telles, comme demeurant selon le mode de la transcendance, mais D’UNE TRANSCENDANCE ACTIVE, agissant par l’intermédiaire de la matière indéterminée, grâce à laquelle se constituent «les formes» des choses

à suivre

Pierrot vagabond

ARCHIVES…TEXTE SUR LE VAGABOND CÉLESTE POUR ANNONCER LE RÉCIT PHILOSOPHIQUE DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

LE VAGABOND CÉLESTE

SIMON GAUTHIER

LE vendredi 19 octobre 2018
LA MAISON DU CONTE

Simon Gauthier se glisse dans les pas d’un écrivain voyageur et prend la tangente en compagnie d’un homme aux semelles de vent.

De sa rencontre avec un libre rêveur qui décide d’aller jusqu’au bout de son rêve, Simon Gauthier imagine une histoire.
Celle d’un personnage improbable et pourtant bien réel qui, un jour, alors qu’il connaît le succès matériel, se dépossède de tout afin que plus rien ne le possède.
Libéré, il entre dès lors dans le monde absolu, jamais plus en retard, jamais plus en avance.
Avec pour tout bagage, bottes, manteau, chapeau, guitare en bandoulière, charisme incontestable et 58 années au compteur, c’est à pied qu’il part sur les routes pour ré-enchanter le monde.

Distribution
Simon Gauthier – écriture, récit, chant Daniel Gaudet – mise en scène
Benoit Rolland – création musique

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Aujourd’hui

La Maison du Conte œuvre depuis plus de 15 ans au développement de l’art du conteur. Avec l’arrivée d’une nouvelle direction (Isabelle Aucagne et Valérie Briffod) en 2016 et l’inauguration en janvier 2018 d’un nouvel espace de travail scénique équipé – salle Mimi Bathélémy, en hommage à cette grande conteuse – elle ouvre une nouvelle page de son histoire. La Maison du Conte dispose désormais d’un lieu à la hauteur de ses ambitions et de ses missions.

Lieu de création, de recherche et de formation référent, La Maison du Conte accompagne l’artiste conteur tout au long de son parcours professionnel à travers quatre volets (création, diffusion, transmission et sensibilisation), et œuvre à son rayonnement régional, national et international.
Dans l’élan créé par la présence des artistes, elle est un lieu de trafic d’histoires, un lieu vivant de relation avec des habitants et un territoire.
En savoir plus sur les missions de La Maison

Fortement reliée au projet culturel et artistique de la ville de Chevilly-Larue, La Maison du Conte est le centre d’une relation privilégiée, depuis trois décennies, entre cette ville et l’art du conteur. Au-delà de cet ancrage historique, elle s’associe avec d’autres partenaires (institutions et établissements culturels, économiques, publics) pour soutenir la circulation des artistes conteurs et de leurs histoires sur un large territoire, et permettre la rencontre avec différents publics : des tout-petits, enfants aux adultes (tout-public, amateurs, professionnels, artistes ou publics de lieux spécifiques -établissement pénitentiaires, hôpitaux, entreprises…).

La Maison du Conte est animée et administrée par une équipe professionnelle de 7 personnes.
Elle est régie par une association composée d’artistes, de personnalités qualifiées, d’adhérents et de membres de droit.
Président : Pierre-Marie Cuny
Trésorière : Céline Dubois
Membres du CA : Régine Boivin, Marc Delorme, Danielle Frelaut, Michel Jolivet, Yoann Lavabre, Elisabeth Lazon, Olivier Letellier, Pépito Matéo, Nafissa Moulla, Jean-Pierre Paraire, Penin Christel, Loïc Rabache, Evelyne Rabardel, Charlotte Régina.

Elle est subventionnée par la Ville de Chevilly-Larue, le Conseil Départemental du Val-de-Marne, la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France (Ministère de la Culture et de la Communication), le Conseil Régional d’Île-de-France.
La Maison du Conte reçoit le soutien de l’ADAMI pour ses Labos, le soutien du Rectorat pour les projets Conteurs dans la Classe ; elle reçoit le soutien de la Délégation générale à la création artistique/Ministère de la Culture pour le projet ICAR.

UN POINT AVEUGLE DU CHAMP CONSTELLAIRE (MULTIVERS VERSUS VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART» REMARQUABLEMENT SOULIGNÉ PAR LAMBROS COULOUBARITIS DANS UN PASSAGE SUR EPICURE ET SA VISION DU MONDE SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES (SOIT À PARTIR DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE

LAMBROS COULOUBARITSIS
histoire de la philosophie
ancienne et médiévale
Épicure
p.430
extrait…

Si l’on compare la doctrine d’Épicure à celle de Démocrite, on constate une divergence essentielle: alors que chez ce dernier, c’est le mouvement circulaire provoqué par les atomes sphériques qui confère à l’univers sa forme sphérique, chez Épicure, c’est le mouvement circulaire et la forme sphérique eux-mêmes QUI SOT ÉCARTÉS AU PROFIT DU CLINAMEN.

Dans ces conditions, le monde n’est-il pas fondé SUR UNE PRÉCARITÉ QUI REND IMPOSSIBLE TOUTE RÉALITÉ STABLE?

Or, l’expérience révèle aussi bien des choses stables que des processus de répétition, y compris la naissance des choses de la même espèce. comme diraient Platon et Aristote.

Pour Épicure, les déviations atomiques permettent la formation de divers types de processus, comme le ralentissement qui stabilise les choses, la formation de figures variées mais limitées, les phénomènes physiques d’équilibre par les limites ou l’échange..etc…  La formation du langage, comme il le montre à la fin de la lettre à Hérodote, suit des processus analogues, les variations des sons à l’origine expliquant les différents langages, que l’homme contrôle aussi GRÂCE À DES CONVENTIONS.

Bref, un fondement indéterminé n’est pas incompatible avec LA FORMATION DES CHOSES ET DES ÉVÈNEMENTS , À CONDITION QU’IL Y AIT DES RÈGLES DE GESTION, non pensées d’avance, mais produites par les situations elles-mêmes.

Face à une telle doctrine, une éventuelle immortalité de l’âme est inenvisageable. L’âme est, pour Épicure, UNE ENVELOPPE PROTECTRICE DU CORPS DE NATURE CORPORELLE MAIS INVISIBLE, constituée d’atomes qui forment un «souffle chaud» – cette sorte de pneuma déjà utilisée par les aristotéliciens, mais qui sera pleinement affirmé par le stoïcisme.

L’âme est ainsi liée inextricablement au corps et elle régit les sensations et d’autres activités de l’homme. La structuration des parties corporelles est responsable des fonctions, qui sont autant plus nombreuses qu’il y a de variétés de structures.

Par la suite, la question est de savoir SI L’ON PEUT DÉDUIRE DE CETTE THÉORIE UNE ÉTHIQUE**** .

En fait, c’est l’éthique qui détermine chez Épicure la physique. Ce qui permet de constater que même des pensées matérialistes peuvent SE DÉPLOYER SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES, EN SOUMETTANT LEUR VISION DU MONDE À DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE.

à suivre…

Pierrot vagabond

 

 

QUAND JE SUIS ARRIVÉ HIER SOIR… LE BRILLANTISSIME ARTÉFACT DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE TRÔNAIT EN GRANDEUR NATURE SUR LE MUR D’ENTRÉE AVANT D’OUVRIR LA PORTE DU BUNKER…. L’OEUVRE DE MES DEUX PHILOSOPHES DU JARDIN (MARLENE ET MICHEL) EN MÉMOIRE DU JARDIN D’EPICURE CONSTITUE UN REMARQUABLE DESIGN DE L’ÉNIGME HISTORIALE QUE DEVIENDRA POST-POÏÉTIQUEMENT NOTRE ALLÉGORITHME SOCIAL «WOW-T=2.7K?» APRÈS AVOIR ÉTÉ OPÉRATIONNALISÉ UN JOUR PAR LES MATHÉMATICIENS DE L’INSTITUT QUÉBÉCOIS DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIEL….

Et dire que je suis rentré très tard tellement fatigué de ma journée de recherche, que je ne l’ai vu ce magnifique artéfact qu’à mon réveil ce matin

vive notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

Pierrot vagabond

UNE RÈGLE DU JEU THÉORITIQUE D’UNE TRÈS GRANDE BEAUTÉ ARCHITECTONIQUE REPOSE DANS CETTE ANECDOTE D’UNE PARTIE DE HOCKEY ENTRE LES ENFANTS ET POURRAIT SERVIR DE PROPÉDEUTIQUE À UNE RÉFLEXION SUR LA CONSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Alexandre Pratt
La Presse

Des enfants. Un problème. Une solution ingénieuse. Une amitié improbable.

Est-ce le synopsis d’un nouveau film de la série «Contes pour tous»?

Non. C’est une histoire réelle. Celle d’une défaite de 11-0. «La meilleure game de l’année!», pour citer Jacob Fournier, qui jouait avec… les perdants!

Jacob Fournier… (Photo fournie par Marie-France Julien) – image 2.0

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Jacob Fournier

Photo fournie par Marie-France Julien

L’adolescent de 14 ans est défenseur dans le bantam BB pour les Bulldogs du Roussillon. Jeudi dernier, son équipe affrontait les Grands Ducs du Richelieu, à Boucherville. Un duel très inégal. Les Grands Ducs ont gagné deux tournois cet hiver. Les Bulldogs, deux matchs. Dans toute la saison.

Pour ajouter aux malheurs des Bulldogs, cinq joueurs étaient absents. L’entraîneur-chef Martin Gingras a complété son alignement avec des réservistes d’un peu partout. Ses chances de gagner étaient aussi élevées que les miennes à La voix.

«Les Grands Ducs ont marqué sur le premier jeu du match, raconte-t-il. À 4-0, nos gars ont baissé les épaules.»

C’est vite devenu un pointage de football. Vers la fin de la deuxième période, même sans pousser, les Grands Ducs menaient 9-0. Martin Gingras a discuté avec l’arbitre. Il voulait savoir comment l’officiel voyait la suite des choses. «L’arbitre m’a répondu: à 10-0, après deux périodes, j’arrête le match. Les joueurs l’ont entendu. Ils n’étaient pas contents. Ils me disaient: “On est venus ici pour jouer au hockey, on va jouer au hockey.”»

Deux minutes plus tard, c’était 11-0. L’arbitre a mis fin à la partie.

Les Grands Ducs ont célébré, avec raison. Cette victoire leur permettait de remporter le championnat de la ligue. À une centaine de pieds d’eux, les Bulldogs restaient debout au cercle de mise en jeu. Ils ne voulaient pas quitter la glace. L’arbitre a dû insister pour que tout le monde retourne au vestiaire.

Dans le corridor, les Bulldogs ont croisé le gouverneur des Grands Ducs. Un joueur a souligné qu’il restait encore 45 minutes à la réservation de la glace. Le gouverneur a acquiescé. Il a permis aux jeunes des deux équipes de retourner s’entraîner sur la patinoire.

«Les gars étaient super contents», confirme Martin Gingras.

Chaque formation occupait une moitié de la glace. Le numéro 85 des Bulldogs, Jacob Fournier, traînait au centre de la patinoire. «Un de mes coéquipiers m’a lancé à la blague: “T’es pas game de mettre ton bâton au milieu.”»

«J’ai regardé le capitaine des Grands Ducs. Je lui faisais des signes. Je voulais qu’il mette son bâton au milieu. Il n’avait pas l’air sûr, mais je voyais qu’il trouvait ça drôle. Alors j’ai frappé sur la glace pour attirer l’attention [des autres]. J’ai déposé mon bâton au centre. Je me suis dit: au pire, ça ne fonctionnera pas, je reprendrai mon bâton.»

Le capitaine des Grands Ducs a suivi. Puis tous les autres joueurs. Jacob Fournier s’est mis à genoux pour séparer les bâtons, comme si c’était un match amical au parc.

La mère de Jacob, Marie-France Julien, était émue. «Les parents, on s’est mis à applaudir le geste. C’était super beau. Les joueurs de Boucherville auraient pu s’en foutre. Ils venaient de gagner 11-0, ils auraient pu partir chez eux plus tôt. Mais non, ils sont restés. Tu vois que ce sont des gars qui aiment vraiment ça, jouer au hockey.»

Les joueurs ont tout pris en main. Ils ont formé deux équipes, les Blancs et les Rouges. Jacob Fournier s’est retrouvé avec le chandail blanc de Charles Dallaire, des Grands Ducs. Les garçons ont joué une quarantaine de minutes. Pas d’arbitre. Pas de marqueur. Pas d’entraîneur. Pas d’adultes, en fait. Comme dans Charlie Brown. Du gros plaisir.

Ils avaient la glace jusqu’à 20h05. L’heure venue, personne n’a osé mettre fin à leur match. Finalement, à 20h20, un père est allé sonner la cloche. Les joueurs étaient exténués, mais ô combien heureux.

En sortant de la patinoire, Jacob Fournier a retrouvé sa mère.

«Maman, c’était le meilleur match de ma vie!»

* * *

À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Malheureusement, certains adultes l’oublient.

J’ai déjà joué dans une équipe de baseball dominante. Un bulldozer. Dans une partie à sens unique, nous menions 21-2 en début de deuxième manche. Il fallait disputer trois manches en 30 minutes pour que le match soit officiel. Notre entraîneur nous a demandé de nous élancer dans le vide. C’était humiliant. Tant pour nous que pour nos adversaires.

D’autre part, j’ai été l’entraîneur d’une équipe de basketball exécrable. Dans un tournoi, nous avions perdu nos deux premiers matchs 80-0 et 88-1. Des résultats inoubliables. J’avais proposé aux enfants de déclarer forfait pour la troisième rencontre. Ils ont insisté pour jouer. Ils ont finalement marqué 10 points. Kobe Bryant serait apparu sur le terrain qu’ils n’auraient pas été plus heureux.

Ce sont des situations délicates à gérer pour les entraîneurs. Tant du côté des dominés que des vainqueurs.

Le meilleur conseil, c’est de se rappeler pourquoi l’enfant est au centre sportif. Pour s’amuser. Pour se faire des amis. Pour se développer. Pour se surpasser, ou surmonter des échecs.

Entendons-nous: après sept buts d’écart dans le hockey mineur, plus personne ne s’amuse. Sauf peut-être le parent trop fier de voir son enfant gonfler ses statistiques individuelles. On entre plutôt dans la zone très inconfortable de la frustration. Des six-pouces dans les côtes quand l’arbitre regarde ailleurs. Un double-échec violent le long de la bande qui met fin à la saison d’un joueur.

Des entraîneurs font leur possible pour calmer le jeu. Ils vont souvent changer les joueurs de position. Ou demander cinq passes avant un lancer. C’est ce qu’ils peuvent faire de mieux avec ce que les règlements permettent.

Les fédérations ont le pouvoir de régler ce problème. Au hockey mineur, après sept buts d’écart, le temps s’écoule sans arrêter (à moins d’une pénalité). C’est déjà bien. D’autres formules existent. Après sept buts d’écart, le jeu se poursuit, mais le résultat ne change plus. Comme si le marqueur s’en allait. Les statistiques individuelles et le différentiel des équipes ne sont plus comptabilisés. Ça freine les ardeurs des entraîneurs, des parents et des joueurs les plus crinqués.

Mais revenons à l’idée de Jacob Fournier. Celle de mettre les bâtons au milieu de la glace pour refaire les équipes après un écart démesuré. Au niveau récréatif, c’est probablement la meilleure idée.

La victoire compte. La défaite aussi. Mais les inégalités tombent. L’humiliation est oubliée. Les enfants se développent. Le plaisir de jouer revient.

Surtout, de nouvelles amitiés naissent.

Jeudi soir, quand Jacob est revenu à la maison, son téléphone s’est mis à sonner. Comme s’il avait gagné aux machines à sous du casino. «Ça faisait “ding ding ding ding ding”», raconte sa mère. Les garçons des deux équipes s’échangeaient leurs coordonnées dans une conversation sur Instagram.

Depuis, des Grands Ducs et des Bulldogs font équipe ensemble. Au jeu vidéo Fortnite.

Une amitié improbable, née de la plus belle défaite de 11-0 de l’histoire du hockey.

SUR YOU TUBE… MICHEL LE CONCIERGE