DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR 12
Et si les lieux qui ont sculpté notre enfance étaient des socles abjetaux flottants … portant en leur faîte des qwalias multivers qui ont éternellement des parfums à nous raconter?
Dans le débris de la mémoire du k-oeur 1 …. et je cite …. je prends le pari ….. D’UN ÉBLOUISSANT PERSONNAGE ONÉRIQUE SPÉCULATIF IMPOSSIBLE….. dont l’absence même trahit son ab-réalité (l’ab-réalité, c’est la partie impossible du réel) souffle même du multivers, tout comme souffle même de toute vie personnelle œuvre d’art multiversielle (fractale poétique du multivers) ,.
Jamais je n’ai tant ressenti la présence de ce personnage impossible que lorsque j’étais philosophe sqwatter au restaurant chez Annick, au lac à Beauce… Il était situé directement en face de la rivière St-Maurice… j’y dormais sur un congélateur, dans la cuisine et la nuit, je sortais dehors prendre une marche sur la route… en pleine tempête de neige… et le St-Maurice s’éblouissait de décors de glace et d’horizons d’un onérisme stupéfiant…
Je m’entraînais parce que je portais le rêve de marcher jusqu’au Yukon retrouver un couple dont la femme portait le rêve de gagner des courses de chiens de traineau… C’est un guide de canot habitant Notre-Dame de Monteaubant qui m’avait parlé d’elle. Et comme il canotait avec des touristes la rivière St-Maurice de mon enfance, il m’y avait emmené… Et comme cette dame habitait avec son conjoint sur une île … le guide et moi avons traversé en largeur le St-Maurice.
Il m’avait dit… sais-tu canoter?… J’avais répondu non… Il m’avait dit embarque en avant du canot…. rame comme je vais te le montrer… et moi en arrièere je vais nous guider… Mais comme il y a pas mal de courant… suis bien mes instructions…
Et c’est sur la rivière St-Maurice, en avant du canot, que j’ai ressenti dans toute ma fragilité onti-kha-tive… la présence impossible d’un impossible onérique qui me disait… LA VIE N’EST QU’UN RÊVE MAGNIFIQUE … ET SI TU REFUSES DE LA RÊVER COMME TELLE..TU RATERAS LE SENS DE TA VIE….
Avec les mots d’aujourd’hui… je dirais qu’il faut désapprendre tout de la logique de la raison onti-ke pour avoir une chance d’approcher … et je cite cet extrait du ier débris de la mémoire du k-oeur … cette FOR-ME RÊVEUSE-RÊVANTE AB-TROPOMORPHIQUE… qui fabrique par infinité créatrice inassouvie … une logique des impossibles dont est constitué TOUT RÊVEUR OU RÊVEUSE BIG BANG…SUR CETTE TERRE,..
Jean René, le guide des canots du St-Maurice… m’avait bien écouté quand je lui avais parlé de mon rêve de caertographier les grandes rêveuses et les grands rêveurs du Canada… Il m’avait dit… je vais t’en présenter une superbe… elle a quitté son pays la Suisse je crois pour vivre son rêve…apprendre à conduire des traineaux à chiens pour gagner des courses de traineaux… Elle a écrit un livre sur son rêve… mais bon… ma ménoire me joue des tours…
La rivière Saint-Maurice portait en son socle abjetal le secret de l’onérisme sur terre…. LES TRACES DE QWALIAS impossible à déchiffrer si on n’était pas soi-même un rêveur big bang…
Et nous arrivames sur l’île… A mon souvenir… elle y vivait seule avec une vingtaine de chiens et son conjoint qui avait tout abandonné pour prendre soin de son rêve à elle… lui qui était garde-forestier pour le gouvernement je crois…
Il achevait de déconstruire un autobus et de le diviser en compartiments pour y abriter sa vingtaine de chiens de traineau pour partir ensemble au Yukon… car elle voulait gagner les courses de chien les plus pertigieuses du Canada qui se tenaient dans cette province… Tous les deux m’avaient inviter à les y rejoindre un jour…. quand ils seraient installés…
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La rivière St-Maurice portait …..en ses flots qwaliens ,,,, UN ÉBLOUISSANT PERSONNAGE ONÉRIQUE SPÉCULATIF IMPOSSIBLE….. dont l’absence même trahit son ab-réalité (l’ab-réalité, c’est la partie impossible du réel) souffle même du multivers, tout comme souffle même de toute vie personnelle œuvre d’art multiversielle (fractale poétique du multivers) ,…..
La rivière St-Maurice est onti-kha-tive …. Jamais je ne me serais douté que les débris de la mémoire du k-oeur I ….. ou j’annoncais mon rêve de rencontrer cet ÉBLOUISSANT PERSONNAGE ONÉRIQUE SPÉCULATIF IMPOSSIBLE… me conduirait, débris par débris… par une logique des impossibles… à la cachette onérique du rêve big bang …
Dans le débris de la mémoire du k-oeur 2… je passe par une tache textuale… un compte rendu you tube et wikipedia de VOYAGER 1 ET 2 qui fait de notre humanité une espèce interstellaire… pour imaginer dans le débris de la mémoire du k-oeur 3 une personne humaine comme composée de 4 stations spatiales ( celle des sens, du cerveau, du viscéral et du k-oeur) de façon à déployer dans le débris de la mémoire du k-oeur 4 LA NOTION DE DOCTORAT OEUVRE D’ART basée sur une logique des impossibles …. et sa méthodologie dans les débris de la mémoire du k-oeur 5 ,,,, et son espérance ÉPISTÉMOLOLGIQUE DANS LE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR 6…. par le biais d’un axiome tache textuale impossible… sur la guerre des drones… me conduisant par taches de couleursabductives pures à ces millions d,enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre… comme ces millions de billots de la rivière St-Maurice de mon enfance qui descendaient de La Tuque à trois-rivières…
Et soudain…. un texte venu de nulle part que je découvre par sérenpidité trainant quelque part sur internet …. DEUX VOYAGES SUR LE ST-MAURICE par l’abbé Caron, chamoine de la cathédrale de Trois-Rivières … Le premier voyage eut lieu en 1887 e t “e second en 1888.
La logique des impossibles par l’onérisme de mon rêve big bang convoqué par … et je cite encore et encore cet extrait du débris de la mémoire du k-oeur 1 ….CET ÉBLOUISSANT PERSONNAGE ONÉRIQUE SPÉCULATIF IMPOSSIBLE….. dont l’absence même trahit son ab-réalité (l’ab-réalité, c’est la partie impossible du réel) souffle même du multivers, tout comme souffle même de toute vie personnelle œuvre d’art multiversielle (fractale poétique du multivers) ,. m’entraîne à nouveau… encore et encore… sur cette rivière St-Maurice comme socle abjetal d’une énigme onérique qui me traverse par son impossible…. et si … de refaire le voyage avec l’abbé Carob sur le St-Maurice m’en apprenait un peu plus sur … et je cite du débris de la mémoire du k-oeur 1 …cette FOR-ME RÊVEUSE-RÊVANTE AB-TROPOMORPHIQUE… qui fabrique par infinité créatrice inassouvie … une logique des impossibles dont est constitué TOUT RÊVEUR OU RÊVEUSE BIG BANG…SUR CETTE TERRE,..
Pierrot vagabond
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Débris de la mémoire du K-œur… 13,
Blogue (3012), 12 mai 2019
DEUX VOYAGES
— SUR LE —
SAINT-MAURICE
— PAR —
- L’ABBÉ N. CARON
Chanoine de la Cathédrale des Trois-Rivières.
LIBRAIRIE DU SACRÉ-COEUR-^ IF. V . A T O T T Î
LIBRAIRE—ÉDITEUK /- ^ t ~
Le premier voyage eut lieu en 1887 e t “e second en 1888.
Nous continuons notre voyage ; nous entrons dans une voie fort accidentée ; il y a des tranchées-considérables, des courbes et des rampes très prononcées, nous traversons des ravins et des précipices ; une chute d’un grand volume d’eau, mais de peu de hauteur mugit à notre gauche, et nous voilà dans un coquet village, bâti en amphithéâtre : c’est le village des Piles.
Ce nom de Piles a fort intrigué les voyageurs ; les uns ont cru trouver l’origine de ce nom dans le fait que les glaces s’accumulent où s’empilent au pied de* la chute.
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D’autres ont pensé que ce nom avait été donné par les flotteurs de bois, à cause des grandes accumulations de bûches qui se faisaient souvent à la chute. Ces explications nous paraissent peu satisfaisantes.
Quant à en chercher dans l’imagination, nous y pourrions en trouver dix autres aussi acceptables que celles-là ; mais nous présenterons quelque chose de mieux à nos lecteurs.
Dans son grand dictionnaire, Littré donne d’abord au mot Pile le sens que nous venons d’y attacher i c’est, dit-il, un amas de choses placées les unes sur les autres. Mais au No 2, voici ce qu’il donne : Pile, s. f. Grosse pierre qui sert à broyer, à écraser. Eh bien ! une vieille sauvage qui porte allègrement ses quatre-vingt-dix ans, Madame Tamakoua, tient de ses ancêtres que les anciens sauvages, quand ils descendaient faire la traite des pelleteries, avaient l’habitude de s’arrêter ici pour piler leur blé-d’Inde. Ils y trouvaient facilement des Piles, ces grosses pierres qui servent à broyer, et de là est venu le nom donné à cet endroit. Ce sont les sauvages, ou plutôt leurs interprêtes, qui ont donné ce nom, et les flotteurs n’ont fait qu’employer un mot qui était en usage depuis longtemps.
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