MARLENE LA JARDINIERE
MICHEL LE CONCIERGE
UN COUPLE OEUVRE D’ART EXCEPTIONNEL
MICHEL LE CONCIERGE… UN AMI EXCEPTIONNEL
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PIERROT VAGABOND CÉLESTE
ANECDOTES DE LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LE RIEN
1- LE JOUR OU J’AI OBTENU MON DIPLOME DE MAITRISE SUR LE RIRE
J’avais mon diplômes dans les mains… Ma belle famille de l’époque et ma tante Lucienne et mon ex-femme étaient dans la cuisine… et mon beau-père de l’époque d’oser poser la question qui tue? MAINTENANT QUE TU AS TON DIPLÔME, TU VAS POUVOIR ENSEIGNER… Et l’horreur me saisit… JAMAIS QUE J’AI DIS À TOUS… JE SUIS UN ARTISTE ET UN ARTISTE NE S’ABAISSE PAS À TRAVAILLER SERVILEMENT POUR DE L’ARGENT… Tous ces gens qui étaient devant moi avaient passé leur vie à travailler honorablement pour ramasser de la sécurité, des biens, et le prochain lunch.. Moi j’étais poète de la beauté du monde… et je n’avais pas besoin que cela soit connu ou reconnu… La beauté du monde se vit dans une danse à deux…..
Je n’acceptais pas de faire des concessions qui pourraient nuire à la poésie… Je me rappelle… mon ex-femme voulait s’acheter une piscine extérieure… et moi de lui dire… J’embarquerai jamais dedans… tourner en rond, s’étourdir… pendant que tu vas te baigner.. je vais travailler à mes recherches… Je ne tondrai pas le gazon non plus…ça nuit à mon cerveau…
Comment les humains font-ils pour devenir esclaves de leurs désirs, esclaves salariaux de patrons pour acheter des biens dont finalement ils deviennent les concierges.
J’étais naif… Je m’étais dit… un homme qui ne boit pas, ne fume pas, ne drogue pas, ne fait pas de bruit, ne laisse pas de trace, qui travaille nuit et jour dans la contemplation, qui est toujours heureux… Y devrait être capable d’avoir le respect de sa poésie….
On m’honorait parce que j’étais un artiste de sçène qui avait du succès. Mais moi… je faisais de la scène parce que cela constituait un laboratoire exceptionnel pour mes recherches intellectuelles. Et je changeais de ville ou de village effrayé de devenir un bien public…
Denis Lamarre, mon partenaire de scène me disait souvent: Si tu avais fait ton métier sérieusement on aurait pu faire une grande carrière…. Mais, que je lui disais… Un poète qui fait carrière est un poète mort…
Fallait surtout pas faire de la télévision, être reconnu sur la rue, devenir quelqu’un… ohhhhhhhhhhhhh … perdre la poésie de soi-même par la dépendance de la reconnaissance sociale… quelle tragédie….
Le piton de la liberté, pour moi, consistait à faire le tour du Québec, 250 fois par année, en étant de parfaits inconnus…et ainsi, chaque soir, refaire le laboratoire de la pensée abstraite….. ohhhhhhhhh… que ce fut délicieux de se consacrer au vagabondage de la connaissance par la scène….
14 belles années à vagabonder la beauté du rien au travers d’une question qui ne sert à rien mais qui parce qu’elle ne sert à rien fonde la joie d’une danse avec le rêve que l’on porte en soi….
La question était la suivante: Pourquoi le sucre est-il sucré pour tous et un gag n’est pas drôle pour tous?
Mes deux hobos ont sauté du train de la condition humaine plusieurs fois pour ne pas perdre la poésie de la beauté du monde… Je me disais il faut fuir… toujours fuir…
Et j’ai fuis…. par amour…… par passion de l’impossible… Il était essentiel pour moi que ma poésie consacre le caractère sacré de mes partenaires de sçène….
Je me rappelle … les deux Pierrots…. mon génial partenaire de scène… Pierre David… un monstre sacré de l’animation de foule… Nous avions un succès fou… parfois les lignes à l’extérieur se prolongeaient presque jusqu’à la place Jacques Cartier… J’aimais que Pierrot David soit la vedette de nous deux…. cela me permettait de marcher le Vieux Montréal entre les sets et de respirer la poésie de l’impossible…
Que de fois de très belles filles m’ont suivi… marchant derrière moi… pour tenter de saisir l’énigme qui m’habitait qui semblait constituer mon aura…. Parfois… je finissais par m’en apercevoir… et nous finissions par marcher à deux…. en cachette, en secret…
Que de parfums… que de parfums… que de belles femmes ont attisé en moi la poésie…. nous étions la génération peace and love… les filles avaient leur boîte de pilules mais rêvaient de poésie… Nous les chansonniers des Pierrots… avec nos guitares… chantions la poésie, la joie de vivre…. Comme tout cela était iconique…
Tout était poésie…. comme aujourd’hui d’ailleurs… vagabonder la poésie… je n’ai fait que changer mes guenilles royales… vagabonder le Canada pour cartographier des rêveuses et des rêveurs, allumer des rêveuses et des rêveurs… avant de devenir le recteur poétique en pantoufle de quatre universités….
N’être que trace pure de poésie…. Cette année… mon univers s’est restreint à Marlene la jardinière, Michel le concierge et Gaelle la métaphysicienne. Mais en même temps… il s’est sacralisé.
La distance entre Pierre Rochette et Pierrot vagabond céleste, mon archétype hologrammique est devenue EUMÉTRIE OEUVRE D’ART… .…
J’ai pour Gaelle Étéme la métaphysicienne une infinie tendresse….
GAELLE LA MÉTAPHYSICIENNE
2 ans maintenant que je vis l’impossible…… nous avons plus de 300 heures de dialogue métaphysique ensemble…. A 32 ans, doctorante, ses inventions épistémiques.méthodologiques en métaphysique de la sociologie sont stupéfiantes……
Toute ma vie, j’avais rêvé de rencontrer une femme… une intellectuelle qui comme moi, serait passion de la recherche nuit et jour…. dans la beauté de l’impossible, sans intérêt personnel caché, uniquement habitée par l’oeuvre qui se signe en elle….
Voilà comment les choses se passent…. exactement comme quand je vagabondais les ruelles du Vieux Montréal à 20 ans quand j’étais chansonnier .Je la cherchais déjà je crois…. J’ai connu beaucoup de femmes, beaucoup trop… j’en ai marié certaines, certaines ont été mes maîtresses, la plupart des aventures poétiques d’un jour ou de quelques semaines… mais constamment le fameux… c’est pas encore ça… c’est pas encore ça… ce n’est pas cette femme que je recherche… Je recherchais une femme pour qui je n’aurais aucun désir pulsionnel mais qui serait l’éternel féminin sous forme de poésie au quotidien… L’impossible… aussi belle qu’intelligente, aussi complice qu’éthérée comme dans ma chanson DE TIM HORTON EN TIM HORTON…. cette femme qui fait de nous deux….. DEUX ENFANTS DE LA BEAUTÉ DU MONDE à des infinis de poésie de la FEMME AU CHAR DANS LE NOIR ou…. DE MA SOPHIE D’HAITI…OU DE LA BELLE CASSANDRE
LA FEMME AU CHAR DANS L’NOIR
COUPLET 1
on s’est r’trouvés tout seuls
un soir dans forêt
à dormir dans ton char
dans l’noir en secret
toute habillée désespérée
le coeur en mille morceaux brisés
t’as eu besoin d’mes bras
rien qu’de mes bras
COUPLET 2
tu m’avais ramassé sa route
malgré tes doutes
tu m’as dit qu’c’est en voyant ma guitare
qu’t’as eu confiance en mon regard
comme tu pleurais tous tes secrets
le coeur brisé par un décès
t’as eu besoin d’mon âme
rien qu’de mon âme
COUPLET 3
y avait tellement pas d’place
dans l’char entre les deux bords
que t’as dormi la tête contre mon ventre
mains agrippées autour d’ma jambe
tu respirais comme UNE enfant
qui crie papa j’ai mal en dedans
t’as eu besoin d’mes ailes
rien qu’de mes ailes
COUPLET 4
mes doigts dans tes cheveux disaient
oh sois bénie amie
j’ai pas eu d’femme entre mes deux bras
depuis deux ans et demie, amie
pour toutes celles que j’ai mal aimées
que j’ai souvent abandonnées
j’ai eu besoin d’tes larmes
rien qu’de la beauté d’tes larmes
COUPLET 5
ca s’est passé le 8 juillet 2008 pas loin d’la mer
à Natasquan entre les tentes
dans un camping inou completement désert
que ma chanson chante le mystere
d’un homme et d’une femme sur cette terre
qu’y ont eu besoin d’leurs peines
rien qu’de leurs peines
en dessous dl’leur chair humaine
Pierrot
vagabond céleste
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MA SOPHIE D’HAITI
COUPLET 1
tu m’as laissé
dans une chambre du centre amour et vie
tes deux bas gris
ceux que j’t’avais
enlevés tendrement durant notre
très belle nuit
où j’ai massé
tes deux pieds avec mes mains d’Grand-père
aux cheveux gris
mes doigts
qui ont 20 ans de plus que tes orteils ont rangé
au fond d’mon coeur
tes deux bas gris
COUPLET 2
tu m’as laissé
dans une chambre du centre amour et vie
ta brosse à cheveux
celle avec laquelle
tu m’as peigné à l’aurore
les larmes aux yeux
5 semaines en Haiti
auprès de ton mari,
très loin d’ici
loin de ma tête
sur ton ventre ou tu dansas l’amour
pour ton mari
par ta brosse à cheveux
COUPLET 3
Sophie
le collier autour d’la brosse à cheveux
entre tes deux bas gris
enivre le vent
de ton absence de ta détresse, de ta peur
de mal vieillir
ce soir
j’fermerai la lumière
j’dormirai entre tes bras imaginaires
entre
tes deux bas gris, ta belle brosse à cheveux
ton collier
es-tu enfin heureuse
auprès de ton mari?
ma Sophie d’Haiti
Pierrot
vagabond céleste
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CASSANDRE
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COUPLET 1
nous fumes nomades Cassandre
nous fumes nomades Cassandre
hier j’ai dormi
dans la forêt du labrador
j’ai fais un feu
mais j’avais froid
sans toi dehors
nous fumes nomades Cassandre
Nous fumes nomades Cassandre
hier on m’avait
donne deux sandwichs au poulet
j’aurais aimé les partager
tu me manquais
REFRAIN
tes 19 ans Cassandre
c’etait la vie
avant l’barrage de Manic 5
c’etait l’mont Wright Cassandre
avant l’enfer
d’la mine de fer
en plein hiver
c’était surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle encore debout
c’etait surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle
vagabond fou
COUPLET 2
vieux mâle au doux regard
celui d’monsieur Bernard
qui s’est battu
pour sauver son chalet du feu
avec son fils
4 nuits sans fermer les yeux
c’est fascinant à voir
un bout d’forêt toute noire
y a des souvenirs de jeune femme
qui s’enflamment au fond de soi
se consumant tout comme
un ancien feu de joie
COUPLET 3
debout je marche la vie
debout je prie la vie
pour que la riviêre de tes rêves
soit aussi belle
que la petite Manicouagan
devant laquelle j’écris
la tendresse de mes cris
parce qu’une nuit
t’as pris l’bateau
qui t’a conduite
de Bécomo à Rimouski
Pierrot
vagabond céleste
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Celle qui s’approche le plus de Gaelle… c’était la poète Suzanne Fortin quand j’étais squatter durant 4 ans et que je dormais sur une table dans la cave de Recyclo-livres à Victoriaville… ohhhhhh… Mais j’avais encore trop de pulsions pour ne pas être dévoré par des affects primaires… Cela nuisait à la poésie et je faillis en mourir…. Plus d’un mois à tenter de me pendre dans la cave de recyclo-livres tout en ayant peur de me rater… (ma chanson amour au pole nord)
AMOUR AU POLE NORD
COUPLET 1
y a d’la glace
qui fond au pôle nord
des icebergs
que les pluies dévorent
qu’est devenu
l’grand amour qui fit souffir
mon corps
tellement souffir mon corps
que
si
l’pôle nord
était une femme
y aurait plus que des larmes
des igloos en alarme
COUPLET 2
j’ai passé 2 ans dans cale d’un navire
c’était moé l’commandant Lemire
j’entendais craquer
la glace qui s’fractionnait
dans l’noir
tellement de larmes un soir
que
si l’pôle nord
était un homme
y aurait plus que du rhum
dans l’igloo du bonhomme
COUPLET 3
y a d’la glace
qui fond au pôle nord
des icebergs
que les pluies dévorent
je l’ai senti
quand j’ai fondu en toé
mon amour
commandant Lemire au secours
prend moé a bord
emmène-moé au pôle nord
habille-moé d’un scaphandre
pis laisse-moé descendre
l’autre bord d’la mort
j’sculpterai dans la glace
ses deux mains dans la face
le cri de ses orgasmes
Pierrot
vagabond céleste
Suzanne Fortin ……. Ce fut une extraordinaire histoire d’amour….
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LAMTAPHYSICIENNE GAELLE ÉTÉMÉ
UNE EXTRAORDINAIRE HISTOIRE D’AMITIÉ
Gaelle Etémé… C’EST UNE EXCEPTIONNELLE HISTOIRE D’AMITIÉ… sans faille, sans intérêt personnel caché, sans pulsion…. Je n’ai pas comme mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge de talent pour l’amour… mais je sais que j’ai le talent POUR L’AMITIÉ OEUVRE D’ART….
Oh…. c’est pas compliqué l’amitié oeuvre d’art… c’est prendre soin du rêve de l’autre sans intérêt personnel caché… Je me rappelle… la première fois que j’ai rencontré la métaphysicienne doctorante Gaelle Etémé… c’était lors d’une exposition….
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Il y a deux ans, cela faisait déjà quelques années que je vagabondais 4 universités en guenilles royales et en pantoufles è titre de recteur poétique de la connaissance et que j’accompagnais des étudiantes et étudiants en maîtrise et en doctorat …
J’avais appris en vagabondant le Canada à prendre soin des rêveuses et des rêveurs du pays et è en allumer d’autres …
A la seconde ou j’ai vu Gaelle… j’ai su… j’avais devant moi une rêveuse de la grandeur de ChantaL Poissant, l’ermite de St-Felix d’Otis….Une autre histoire d’amour exceptionnelle… Nous devions nous marier…. Je me suis enfui de nuit… Mes deux hobos encore une fois ont sauté du train de la condition humaine pour ne perdre la poésie de la beauté du monde….
Exemple Ermite au Québec
Ermite depuis 18 ans maintenant?
(SAINT-FÉLIX-D’OTIS) Le 1er juillet 2011 prochain, Chantale Poissant célébrera son 13e anniversaire en tant qu’ermite. Vivant seule, recluse, sans électricité ni argent, la dame de 50 ans est heureuse. Et elle ne retournerait vivre dans la société pour rien au monde.
Elle se brosse les dents avec du charbon. Elle mange simplement ce qui pousse dans son jardin ou ce qui court dans les bois aux alentours. Elle fabrique son linge avec la laine de ses lamas. C’est son coq qui la réveille le matin. Elle se lave avec du savon fabriqué à la main à l’aide de produits trouvés dans la forêt, comme l’écorce des arbres. Elle cultive, cueille, créer, fabrique, invente. Elle n’a aucune difficulté à tenir le coup et fait preuve de beaucoup d’ingéniosité pour survivre à la manière d’autrefois.
En entrant sur la terre de Chantale Poissant, on fait un bond de 200 ans en arrière. Une grande hutte faite de bois et de paille se dresse dans la clairière, entourée d’arbres. «Ça, c’est l’abri des lamas, mais je dors là aussi parfois», dit Chantale Poissant, qui est actuellement en pleines «rénovations». En effet, elle construit un second abri, où elle demeurera bientôt.
Soulignons que Chantale Poissant avait fait le sujet d’un reportage en septembre 2008, publié dans le Progrès-Dimanche. Près de trois ans plus tard, la sympathique ermite de Saint-Félix-d’Otis est toujours aussi bien dans sa peau. Elle vit heureuse, dans la nature. Rien de son passé ne lui manque.
Mais pourquoi celle qui vivait dans un appartement de la municipalité s’est-elle retirée dans les bois peu avant ses quarante ans? Elle n’était tout simplement pas à l’aise avec la société, ses valeurs n’étaient pas les mêmes, explique-t-elle. «Aujourd’hui, je suis bien avec ma conscience», souligne-t-elle.
«À 12 ans, je voulais déjà filer mes vêtements. C’était juste dans l’ordre des choses que je vive plus tard dans la nature», raconte la dame, qui a une formation en exploitation agricole. «J’ai aussi économisé longtemps pour acheter cette terre. Et je dois payer des taxes à la municipalité, qui m’a octroyé un permis d’ermite», explique Chantale Poissant, en riant.
Elle n’a ni mari, ni enfant. «Pas pour l’instant», dit-elle, laissant la porte ouverte à l’amour.
Ce n’est pas parce qu’elle vit seule que Chantale Poissant n’est pas sociale. Elle reçoit parfois de la visite du village. «J’aimerais un jour vivre avec d’autres personnes. Peut-être bâtir une grosse résidence avec des adultes et des enfants», confie la dame, qui vit seulement avec quelques centaines de dollars par année.
Si Chantale Poissant fabrique tout de ses mains et survit uniquement grâce à la nature, la dame a tout de même le téléphone. Mais elle y répond rarement. Depuis quelques jours, elle a même un ordinateur portable. «Je ne l’ai pas encore ouvert, mais je vais peut-être m’en servir un jour. Il paraît qu’on peut insérer une espèce de clé et télécharger des documents. Je vais peut-être aller à la bibliothèque municipale pour m’informer un peu», lance Chantale Poissant qui compte bien demeurer longtemps dans son petit coin de paradis.
Écrit dans Le Quotidien (Sylvain Dufour et Patricia Rainville)
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Oui… voilà le rêve métaphysique de Gaelle Étémé…. Je l’ai vu… et pour la iere fois… j’avais l’érudition pour devenir Une chirurgicale oreille philosophique au quotidien de son aventure conceptuelle… ce que je ne pouvais apporter à l’ermite Chantal Poissant… ne connaissant rien à la terre et ayant horreur de travailler de mes mains… Mais là ma poésie… fut convoquée….
j’avais l’envergure pour devenir au quotidien… et cela sans faille… un compagnon de la quête impossible…. ma contemplative saison des fiançailles avec la beauté du monde pouvait se poursuivre hors temps, hors réalité, hors servitude… En plus… j’avais reçu le cadeau d’être débarrassé de mes pulsions …. woww…….
ENFIN UNE AMITIÉ OEUVRE D’ART COMME J’EN RÊVAIS RÊVÉ TOUTE MA VIE…. consacrée à nos doctorats réciproques…. c’est-ça-à-dire le sien et celui de notre équipe de recherche AULD, WOODARD ROCHETTE sur la vie personnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art et la nano-citoyenneté.-planétaire.