« JE TE DEMANDE PARDON» UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR… (2093)
1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS)
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 12 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.
Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).
JE TE DEMANDE PARDON
COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon… Je te demande pardon…
COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète Si je suis parti sans avis au détour de nos vies Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri, Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie Je te demande pardon… Je te demande pardon…
COUPLET 3
Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie Si je suis révolté parce que je suis enchaîné Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné Je te demande pardon… Je te demande pardon…
COUPLET 4
Et si je le savais tout ce temps que je te volais… Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais… Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis… Je veux changer de vie et d’amour te dire merci Je te demande pardon… Je te demande pardon….
Chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire
Michel le concierge
INTRODUCTION DU DOCTORAT
(VIDEO DE MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND)
COMMENTAIRE DE RAYMOND-LOUIS LAQUERRE FACE AU CHANGEMENT DE TITRE DE NOTRE DOCTORAT (de la non-tricherie à wow-t=2.7k?: la nano-citoyenneté-planétaire) , PAR LE TITRE DE LA CHANSON DE MICHEL LE CONCIERGE… JE TE DEMANDE PARDON… ou une méthodologie des débris de la mémoire du coeur… PIERROT VAGABOND-CHERCHEUR ET MICHEL LE CONCIERGE FILMÉS PAR MARLENE LA JARDINIÈRE) CONSÉQUENCE TOUTE EN SYNCHRONI-VIE-TÉ DE SON REMARQUABLE SPECTACLE POUR CÉLÉBRER LE 50-EME ANNIVERSAIRE DE SON CENTRE DE LECTURE RAPIDE (je te demande pardon)
June 19, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur
À Pierre Rochette, Michel Woodard Aujourd’hui à 13 h 15 Bonjour Pierrot le vagabond,
Bonjour Michel le concierge
Cela ne me surprend par de ce qui est arrivé comme impact avec la merveilleuse chanson de Michel.
Ce n’est pas le fruit du hasard si parmi tout le répertoire des chansons de Michel, j’ai sélectionné « Je te demande pardon ».
Si tu te rappelles bien, au tout début du spectacle j’ai lu le texte de Ramtha intitulé : La joie, l’état d’Être suprême ».
Les chansons « La beauté du monde » et « Je te demande pardon » ont entré en résonance avec le texte initial sur la joie.
J’ai donc atteint l’objectif que je m’étais fixé : celui de mettre un fond spirituel où les gens vont ressentir une joie profonde et non seulement des émotions de surface.
Je me réjouis que ce spectacle et particulièrement la prestation de Michel vont ont permis d’orienter votre doctorat différemment et pour le mieux…
Bonne continuation dans votre projet tout à fait original, passionnant et d’une portée universelle.
Raymond-Louis
—————– réponse de Pierrot
Tu sais, Raymond-Louis… monter sur scène fut toujours difficile dans ma carrière parce que je voyais les visages des gens dans la salle et que j’étais trop sensible pour ne pas souffrir avec ceux ou celles qui étaient en détresse profonde (deuil, maladie, dépendance etc…)
Mais quand tu m’as demandé : Pierrot, peux-tu m’aider à réaliser mon rêve ? je me suis senti convoqué à plus grand que moi malgré mes flashs la nuit qui m’assaillent encore sous forme de cauchemar.
Mais, jusqu’à la dernière minute…je me suis senti surtout aspiré par la très belle chanson de Michel le concierge et je voulais voir des coulisses le visage des gens quand Michel chanterait « je te demande pardon »
Tous les matins, à notre conseil d’administration de la créativité, j’assiste à la très grande humanité de cet homme qui chante la condition humaine si humblement et surtout à la dévotion au quotidien qu’il porte à Marlene, sa compagne, son amour œuvre d’art.
A ta soirée, j’ai d’abord chanté a capella LA BEAUTÉ DU MONDE avec ma feuille dans ma main… puis je suis resté dans les coulisses. Et là j’ai vu l’effet Michel Woodard, le même qu’il avait au café St-Vincent il y a presque 50 ans quand je le regardais chanter dans la salle.
« JE TE DEMANDE PARDON » , je savais, comme toi d’ailleurs, que c’était un hymne humaniste à la condition humaine… mais ce soir-là… grâce à toi, j’ai vu clairement pendant que Michel chantait que le public qui l’applaudissait venait de signer le titre de notre doctorat…Un homme est venu me voir pour me dire que la chanson de Michel lui faisait devoir de demander pardon à sa femme…
Ce matin, j’ai dis Mike : TU VIENS DE SIGNER LE MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Merci Raymond-Louis tu as vu 2 coups d’avance
Pierrot vagabond
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«TOUTE PERSONNE QUI APPELLE ET PROCLAME LA GUERRE DOIT OBLIGATOIREMENT ÊTRE LE IER EN AVANT AVEC SA FAMILLE».
Et Michel le concierge de poursuivre au travers de mes rires gargantuesques (Pierrot) :
«MERCI POUR TA DISPONIBILITÉ… VOICI MAINTENANT TOUTES TES MÉDAILLES AU CAS QU’ON NE TE REVOIE PAS».
Michel le concierge, le carnet du concierge.
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Infrastructures collectives: «Le monde bouge trop vite» pour les États, selon Sabia
PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE
Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec
Le président de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, qui prenait la parole publiquement une dernière fois avant son départ, a fait un constat inquiétant pour ceux qui déplorent l’érosion de la souveraineté des États.
Publié le 30 novembre 2019 à 9h00
André Dubuc
La Presse
Jeudi midi, dans un discours qui faisait office de bilan de ses années à la tête du bas de laine des Québécois, le président et chef de la direction a parlé de la guerre larvée entre les États-Unis et la Chine, du virage vert de la Caisse et de la fierté retrouvée au sein de l’institution, devenue véritablement mondiale. Mais, c’est à un autre élément de son discours que l’on fait écho aujourd’hui.
Les fonds souverains, les caisses de retraite et autres investisseurs institutionnels comme la Caisse sont appelés à prendre la relève des gouvernements, devenus incapables de livrer les infrastructures dont leur population a besoin.
« Chaque époque doit faire face à ses propres défis », a dit M. Sabia devant le Cercle canadien, réuni au Palais des congrès de Montréal. Mais cette fois-ci, il y a une différence cruciale. Par le passé, les gouvernements représentaient souvent la réponse collective à ces défis. Aujourd’hui, seuls ou même ensemble, les gouvernements sont de moins en moins capables d’agir efficacement sur plusieurs questions urgentes. Le monde bouge trop vite. Plusieurs gouvernements n’arrivent pas à répondre aux besoins assez rapidement.
Voilà la dure réalité de notre époque. Les problèmes d’aujourd’hui sont les problèmes de tout le monde. On doit tous contribuer à leur résolution, y compris les investisseurs. Pas par noblesse, mais parce que c’est dans notre intérêt à tous.
Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec
« Le monde a besoin des investisseurs qui pensent au-delà du prochain trimestre. Les caisses de retraite, les compagnies d’assurances, les fonds souverains possèdent des capitaux en croissance qui visent le long terme. Ensemble, les investisseurs institutionnels de par le monde ont plus de 80 000 milliards d’actif sous gestion. Ils peuvent changer la donne. Mais nous devons faire plus qu’investir, faire mieux. Nous devons investir avec conviction de façon constructive », a insisté M. Sabia.
Dommages collatéraux
M. Sabia n’a toutefois pas abordé les enjeux que pose cette perte de souveraineté des États quand le pouvoir décisionnel entourant la construction des infrastructures collectives échappe aux élus.
Par exemple, la Caisse construit le Réseau express métropolitain, train léger sur rail automatisé de 67 kilomètres de long dans la région de Montréal.
Comme on a pu le lire dans des articles parus dans La Presse depuis octobre, l’investisseur institutionnel responsable de la construction de cette infrastructure collective ne semble guère se soucier des dommages collatéraux causés par ses actions sur les citoyens, que ce soit à Mont-Royal, dans la couronne nord de Montréal ou dans les villes de l’Ouest-de-l’Île.
>> (Re)lisez l’article « REM : des bouchons de 1 km à Mont-Royal dès avril »
>> (Re) lisez l’article « REM : la Caisse est intervenue pour étouffer la grogne avec les banlieues »
Selon le grand patron de la Caisse de dépôt, ces récriminations qui se font entendre aujourd’hui ne sont ni plus ni moins que des œufs que l’on doit casser lorsqu’on cuisine une omelette.
Dans une mêlée de presse après son discours, M. Sabia est resté impassible quand La Presse l’a questionné sur les doléances des maires qui se plaignent que son institution fait semblant de les écouter pour ensuite agir à sa guise. « Étant donné l’ampleur du projet, il y aura toujours des choses à discuter, a-t-il répondu. Il y aura toujours un certain débat, c’est normal. On est toujours à l’écoute. Nous avons une équipe qui travaille presque quotidiennement avec la Ville de Montréal et avec d’autres municipalités. »