Comme ma vie de chercheur anonyme à l’UQAM est devenue au cours des années un CONTE POUR UN FEU DE JOIE où de plus en plus, à cause d ela qualité de mes poignées de main de cœur à cœur, je reçois des débris de la mémoire du cœur d’une étonnante floraison de QWALIAS.
Pourtant, je suis de plus en plus vieux (71 ans bientôt) de plus en plus détaché de mon propre rayonnement social, de plus en plus en mode de «merci» et en mode de «culpabilité de redonner avant le feu d’artifice final.
Pour le vagabond céleste de la connaissance que je suis devenue au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) LA MORT EST ACCUEILLIE COMME UN RÊVE BIG BANG VENU DONNER LA MAIN À CE GRAND RÊVE BIG BANG QUI S’APPELLE LA VIE.
Hier, après que ma journée a commencé à 6h du matin, je quittais l’UQAM vers minuit et quart… et je rencontre un nouveau gardien de sécurité… Je lui souhaite la bienvenue au nom de l’UQAM en lui disant que sous le costume, le vieux monsieur que je suis voit ce pourquoi il fait ce travail qu’il n,avait pas prévu dans sa vie… Parce que vous vous battez pour ceux et celles que vous aimez… que je lui dis…
Et lui de me dire… Monsieur je suis algérien… Dans mon pays, j’étais architecte… mais pour que mes enfants aient un avenir, j’ai tout quitté et je fais les sacrifices qu’il faut comme mes parents ont fait des sacrifices pour moi….
Savez-vous la différence entre un désir et un rêve Monsieur… que je lui dis… On reconnaît un rêve par les sacrifices qui permet parce qu’un rêve aspire une personne humaine et apaise ses désirs par des sacrifices alors que les désirs expire une personne humaine en attisant de peu ses sacrifices par une saturation jamais rassasiée des désirs… Bravo pour votre vie personnelle oeuvre d’art que je luis dis…
C’est ainsi que d epoignées de main en poignées de main, de cœur à cœur, je m’éveille de frémissement ontologique en frémissement ontologique sur le tapis volant même filamenté de débris multiversiels de la mémoire du cœur. WOW-T=2.7K?….
ainsi naîtra la nano-citoyenneté-planétaire sur terre… du fil d’or de nano-gestes issus des plus anonymes des vies personnelles oeuvre d’art.
Pierrot vagabond