Un chercheur en métaphysique se nourrit d’étoiles sillonnant le cœur même de la condition humaine … la joie… qui repose sans doute sous une abduction … la pensée abstraite part à la recherche joyeuse de l’anonymat, l’humilité où l’objet comme le concept soudain danse d’abcepts…. comme si l’invisible habillait un nuit et jour comme les lucioles la nuit sautillent entre l’ombre et la lumière… dans un champ … dans une constellation…. dans un qwalia-kantique …
Ici au 24 heures informatique de l’UQAM, je puis vivre un nuit et jour sans faille… mais tout en fissure qwalienne… du gruau, des pommes, des céréales à grignoter… de l’eau… brûler de l’impossible…. vivre de la beauté du monde en soi pour les autres…. guenilles royales, pantouffles… je marche les corridors aux deux heures d’ascétisme nouant la chairs diseuses d’affects onti-kha-tifs qui parcourent l’échine d’une énigme…. celle de l’humanité oeuvre d’art en moi…..
Plus on se fait boson de Higgs, plus le multivers baisse le voile tissant des big bang étranges….
La vie de chercheur en métaphysique c’est l’aurore boréale d’une naissance, celle du cœur et de sa constellation au service de l’humanité oeuvre d’art.
Un conte pour un feu de joie
Pierrot vagabond