Salut Pierrot,
On retrouve bien dans ce texte la trame principale de ta pensée. Pour un article peut être qu’il va falloir reformuler tout ça avec certaines précisions qui pour toi son évidentes mais moins pour le lecteur ?
La reconnaissance des rêveurs du monde doit-elle se faire par simple démarche personnelle ou bien les rêveurs eux mêmes n’ont-ils pas a être identifier par une communauté ? En effet il est possible que beaucoup de rêveur ignore, ou s’intéresse peu à l’impact de leur rêve sur la beauté du monde. Ils sont finalement juste a œuvrer pour leur rêve. Etre reconnu par d’autres comme des RÊVEURS BIG-BANG est sans doute la meilleure reconnaissance de la pertinence de leur rêve
Valoriser la puissance du rêve comme vecteur du sens de la vie nécessitera sans doute un certain marketing de la vie bonne plus axé plus vers l’ascétisme (dont tu est le flambeau) que par la jouissance des objets de plus en plus menacés de leur possibilité de renouvellement.
Bref démontrer qu.il y a plus de bonheur à prendre soin de monde qu’a se l’accaparer sans fin jusqu’à la fin probable et anxiogène. Bref rêver plutôt que consommer ou désespérer…Mais bon là on est peut être davantage dans mes préoccupations.
L’article a t-il besoin aussi d’arguments notamment pour expliquer par exemple l’actualisation pragmatique du voile d’ignorance ? Le rêve y est-il le principe à la définition de tous les principes de justice ? un prérequis en quelque sorte garantissant une vision équitable et juste du monde dans laquelle la vie autour d’un oeuvre a réaliser est garantie par des conditions économique d’existence équitables ?
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COMMENTAIRE DE PIERROT
Voilà un merveilleux texte sur lequel je me pencherai argument par argument quand j’aurai terminé l’architectonie du glossaire.