Quel magnifique conseil d’administration de la créativité encore ce matin. J’étais en feu et Michel aussi… Marlene arrive de Grandes-Iles aujourd’hui pour repartir avec sa nièce chez sa sœur à Toronto pour 5 jours, jeudi matin.
Ce matin, Michel et moi avons encore une fois regardé ensemble notre performance commune à la fête de Raymond-Louis Laquerre. Et je disais à Michel à quel point sa chanson «je te demande pardon» était devenue non seulement LE MANIFESTE DE NOTRE DOCTORAT, mais également un fondement même de notre futur show case quand nous rencontrerons dans notre bunker de la créativité des membres-clés de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec pour lancer notre algorithme de justice sociale «wow-t=2.7k?» à travers un projet commun de LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Puis, je lui ai transmis quelques notions de Spinoza reliées à une théorie de ssignes (indicatifs, impératifs et interprétatifs) à partir desquels Spinoza recherchait à déjouer l’équivocité de la langue en une unicité tirée de la géométrie en forme de théorèmes et de scolies à partir desquels il réussit à inventer UN QUATRIÈME SORTE DE SIGNE PERMETTANT À LA PERSONNE HUMAINE DE PASSER PAR UN VECTEUR (celui de la tristesse et la joie) pour gravir ontologiquo-éthiquement le passage des passions tristes-passions joyeuses à l’action joyeuse… c’est-à-dire la pleine possession de sa puissance modatrice, en recomposant dans une chaîne symphonique une harmonie entre les corps composés visant la joie contemplative active en mode de puissance modatrice absolue. (mais avec tristesse indirecte quand même comme la mort, la maladie, les épreuves).
Ce qui me rappelle, dis-je à Michel que notre grand essayiste québécois Pierre Vadeboncoeur en 1961 je crois, avait pondu un texte exceptionnel où il définissait la différence entre le bonheur et la joie. Le bonheur es recherché disait-il, la joie nous est donnée.
MAIS QUAND MÊME… parallèlement
Je soumis à Michel l’hypothèse suivante: Si Spinoza avait été de notre temps, celui de l’invention-découverte du MULTIVERS, il n’aurait pas eu le besoin communicatif ( PEUR DE L’EX-COMMUNICATION, peur si grande qu’il refusa de publier son livre sur l’éthique simplement pour protéger sa vie) de commencer sa démonstration THÉORITIQU -GÉOMÉTRIQUE PAR DIEU COMME SUBSTANCE INFINIE, mais au contraire, d’une façon immanente il aurait pu simplement imaginer un 5eme vecteur (à la place des passions tristes et des passions joyeuses), soit celui DU RÊVE BIG-BANG comme un saut ONTHI-KHA-TIF dévoilant le monde ontologique de l’impossibilité de toute substance, fut-elle celle de l’être ou celle de l’un ou celle de Dieu devant l’abmunication insérée énigmatiquement dans les transmages métamorphosés en débris du cœur multiversiels dans la symbiose même ondulatoire quanto-cosmologique d’une infinité de rêves big-bang multiversiels.
et Michel de dire dans une finale grandiose ce matin:
TANT QU’ON RESTERA DES POÈTES, ON AURA UNE CHANCE DE NOUS GLISSER DANS LES MAISLLONS DE LA MACHINE SOCIALE.
Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, rochette)