De la bloguiétique paramètrale des 6000 pages pour que puisse être possible la capture du boson de Higss de la pensée prospectiviste nano-contemporaine, put être retracée un jour, cet extrait d’une guerre des drones où il est dit le déclencheur multiversien paradoxal
CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS….
CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS
CE QUI RESSEMBLE À DES EFANTS…
ce qui fit surgir en encordements des impossibles des débris et de mémoire et de connaissance qui prirent la forme d’enfants-errants-fantomatisés morts de faim ou de blessures de guerre, attachés aux 3 milliards de billots du St-Maurice, comme s’ils avaient été évacués par l’invisibilité dans les rapides de l’histoire… Même qu’ayant vagabondé le long des berges de cette rivière, je dormis dans des cimetières devant des tombes d’enfants….
Ma mémoire et mes brosses d,être et attaques d’être étant convoquées par des formes fraîches sous forme de triangulation multiversienne, je tombai sur le récit de l’abbé Caron et ses deux voyages sur le St-Maurice (1888-1889) et je fus bouleversé par un exemple cruel d’un asservissement par les formes de toute une communauté le long du St-Maurice.
Ma relecture vient donc méthodologiquement d’une vision hologrammique à partir du champ constellaire même sous la force être-non-être en même temps d’une triangulation dont le coffre d’outil décatégorise l’emprise de la iere philosophie d’Aristote.
ET SI TOUT N’ÉTAIT QU’UN MAUVAIS RÊVE?
ET SI TOUT, SANS UN RÊVE BIG BANG SURGISSANT D’UNE DÉCISION À NE PAS TRICHER AVEC SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART N’ÉTAIT QU’UN ASSERVISSEMENT À DES FORMES QUI ONT PERDU LEUR FRAÎCHEUR PARCE QU’ELLES ONT ENDOSSÉ L’HABIT SACERDOTAL DE LA VÉRITÉ, DE LA DOGMATIQUE ET DE LA HIÉRARCHIE DES ERRANCES ( AXIOLOGIQUE VERSUS FANTOMATIQUE) SANS POSSIBILITÉ D’AVOIR ACCÈS À L’ERRANCE POÉTIQUE?
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DEUX VOYAGES SUR LE SAINT-MAURICE
L’ABBÉ NAPOLÉON CARON
Extrait de la préface
Ici ce n’est plus la marche triomphale d’un prince
de l’Eglise au milieu d’une population ivre de bonheur,
c’est la marche silencieuse d’un’ très humble particulier
dans un petit canot d’écorce. Dans des circonstances
si désavantageures, j’ai recours à l’histoire et à la
légende pour donner de l’intérêt à mon récit. Je me
débats tant que je peux pour empêcher mes lecteurs •
d’avoir sommeil, car l’injure la plus sanglante que l’on
pût me faire, serait de peindre mon volume ouvert sur
les genoux d’un lecteur endormi.
Allons, mes amis, entrez vaillamment dans la
lecture de ces pages et j’espère que vous en pourrez,
voir le terme sans broncher.
AVANT-PROPOS
Il y a, échelonnée le long du Saint-Maurice, une population intelligente,que l’on a trop longtemps oubliée et méconnue.
Ce n’est pas que l’on ait manqué de s’en entretenir fort souvent, MAIS ELLE AVAIT LE MALHEUR D’ÊTRE DEVENUE LÉGENDAIRE; on en parlait le soir au coin du feu, comme on peut parler de Roland
ou de Jean de Calais, et l’on paraissait avoir oublié que ce sont
des frères en chair et en os, qui ont leurs aspirations et leurs besoins ; que ces frères nous aiment et demandent à être aimés
de nous ; qu’ils souffrent dans un isolement cruel, et qu’ils réclament
une petite part de ces améliorations étonnantes que notre gouvernement prodigue dans toutes les autres parties du pays.
Nos compatriotes doivent y réfléchir sérieusement ; à cause de
notre apathie et de notre négligence. La Tuque se trouve aujourd’hui plus éloignée de nous que Winnipeg, et les communications avec les
habitants de la Rivière Croche sont plus, difficiles qu’avec les habitants de Calgarry. Cependant, c’est bien notre sang qui
coule dans les veines des colons du Haut Saint-Maurice ; ils sont même plus canadiens que nous; je le dis sans crainte d’être démenti, car je viens de les voir et d’étudier leurs mœurs. Allez sur ces parages si vous voulez retrouver le type des anciens Canadiens.
Monseigneur Laflèche, évêque des Trois-Rivières, a rendu un
immense service à cette POPULATION ABANDONNÉE,en y faisant solennellement cette année sa visite pastorale. Le voile de la
légende est déchiré enfin. C’était la première fois que l ‘évêque des Trois- Rivières paraissait dans cette partie de son diocèse. Plusieurs
trouvaient que son âge et ses infirmités ne lui permettaient pas un voyage aussi fatiguant, mais la charité ne connaît pas les obstacles. D’ailleurs, CES ENFANTS QUI N’AVAIENT JAMAIS VU LEUR PÈRE AU MILIEU D’EUX LE DEMANDAIENT AVEC BEAUCOUP D’INSISTANCE ; IL EST ALLÉ SE JETER DANS LEURS BRAS, et nul d’entre eux n’oubliera jamais les émotions de CETTE PREMIÈRE ET SAINTE VISITE. L’un des heureux témoins de ces scènes touchantes SENT aujourd’hui le besoin de dire ce qu’il a vu et cequ’il a ressenti. Que dans notre narration aucun détail ne vous paraisse trop petit nous voulons, bienveillants lecteurs, que vous marchiez avec nous, que vous voyiez tout de vos yeux, comme si vous eussiez été présents. A la fin, vous aurez pour agréable que nous fassions nos remarques et nos suggestions, LE TOUT PAR AMOUR DE LA RELIGION ET DE LA PATRIE .Mgr Laflèche ayant décidé de faire la visite pas- torale dans les missions du St-Maurice, il ne manquait pas de prêtres haut placés et vieillis dans le ministère qui eussent désiré l’accompagner ; mais Sa Grandeur, avec une bonté dont nous lui serons toujoursreconnaissant, déclara qu’elle voulait garder auprès
d’elle ses compagnons de la visite du mois de juin ; etc’est alasd’ ex cuse, dans ce remarquablle. voyage., votre très modeste individualitése trouve à côté de M. lzh&- noine Prince, qui avait sa place marquée d’avance auprès de MONSEIGNEUR.
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Notons ces enfants que sont les adultes que l’idéologie de la nation et la religion réussit dans ce discours à attaché au billot de l,être paternel que représente l’évêque de Trois-Rivières… LA PENSÉE DE PARMÉNIDE TENTE ICI DE SE DÉTACHER DU POTEAU DE L,ÊTRE POUR CRIER SON EFFROI… SEUL LE NON-ÊTRE AURAIT EMPÊCHÉ CET ASSERVISSEMENT PAR LES FORMES
à suivre…
Pierrot vagabond, par avec et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)