Dans mon champ constellaire de l’errance poétique du vagabond céleste recohérencé, superposé, intriqué et ontikhé par ses brosses d’être et ses attaques d’être, surgit une cézannisation de la montagne ste-Victoire que constitue son rêve big bang et cela par un frémissement quanto-ontologique que j’appelle pour le moment le triagne d’or de la fréquence big bang sous une modalité rationnelle hologrammique multiversienne..
De la même manière que le peintre Cézanne ferma le 19eme siècle par l’invention des formes (cônes, cylindres, restangles) transmageant sa suite de peintures de la montagne Ste-Victoire, une triangualisation du champ constellaire semble avoir pour fonction de capter la fraîcheur des formes surgissantes par un appareil non-étant et étant à la fois.
UNE FOIS LE CAPTEUR DE FORMES TRYADILIQUES EN RÉCOHÉRENCE, chacun des point nodal porte en soi une cryptation archéhologrammique d’un pan de l’histoire de la pensée dans sa tragédie binaire.
Prenons par exemple mes trois formes archéhologrammiques, provoquées par un déclencheur événementiel (un peu comme le boson de Higgs), soit LE CELA RESSEMBLE À UN ENFANT D’UN MEURTRIER PAR LES DRÔNES.
Son surgissement tracé ( onde et corpuscule) infiniment et désinfiniment à une fraction d’un moment du 6000 pages du blogue me catapulte dans un autre univers de pensée.
Je quitte la bibliothèque, cesse de lire (propédeutique) et passe en mode ascétique dans un tout petit local 24 heures… et l’épistémologie paradigmatique issue de l’enseignement de mes brosses d,être et de mes attaques d’être commencent peu à peu à prendre une force transmageantes inconnues dans une discursivité étrange…
Un champ constellaire refuse d’intégrer le déclencheur archéhologrammique (le cela ressemble a un enfant par le meutrier dronatique)…. Par contre… un outil conceptuel inconnu soit le triangle d’or issu de l’arché quant-cosmologique multiversien se crystalise.
DANS UN PREMIER POINT NODAL du triangle, en bas, la rivière St-Maurice de mon enfance et une vérité: EN UN SIÈCLE, 3 MILLIARDS DE BILLOTS ont descendu le courant de latuque à Trois-Rivières… et je vois nuit et jour 3 milliards d’enfants attachés aux trois milliards de billots, un enfant par billot, dans un cri de Munch faisant écho aux tombes d,enfants des cimetières au pied des quelles j’ai dormi dans mes vagabondages…
intrikativement, UN DEUXIÈME POINT NODAL SURGIT dont je ne comprends pas encore la portée: Ulysse attaché au billot de ses errances, les yeux bandés qui résiste sur son navire maté aux chant des sirènes.
LE TROISIÈME POINT NODAL, la pensée de Parménide attachée au poteau de l’être dans une interdiction d’aborder la terre du non-être (le chant des sirènes d’Ulysse) m’ouvre la clé dont j’ai besoin pour décrypter l’indécryptable… soit L’HISTOIRE TITANICIENNE DE LA DIALECTIQUE caméléon qui commit le crime d’asservir l’humanité au même titre que les mythes, les religions ou les idéologies… Pourquoi? Pourquoi? EXISTE-T-IL UNE FORME QUI PAR SA FRAÎCHEUR serait incapable d’asservir une seule personne humaine?
Mais comment faire court et cours de l’histoire du titanic que constitue celle de la dialectique? Ce que je peux avoir horreur de cette partie de ma vie intellectuelle. Car pour moi, autant abductivement qu’abjetivement, la vision œuvre d’art du tout me semble suffisamment cathédrale architectonique e l’inoui mulktiversien pour laisser aux commentateurs de la perroquetterie de la connaissance stratifiée la tache de prouver mon avancé. n’est–ce pas ce qu’Einstein se disait quand il a inventé e=mc2… pas besoin de le prouver, ce sera fait dans 15 ans par d’autres que moi… et il sauva de la salive.
à suivre…
Pierrot vagabond, au nom, par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)