ARCHIVES, COSMOGONIES, MULTIVERS ET LA CHANSON DU CAMIONNEUR

COSMOGONIES,
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…(COSMOGONIES) « LA CHANSON DU CAMIONNEUR» N’A JAMAIS ÉTÉ UNE CHANSON, MAIS UNE ÉPOPÉE DE L’HUMANITÉ PAR LE RÊVE-BIG-BANG D’UNE HOMME POUR SA FEMME QUI, SANS LES MOTS POUR LE DIRE, EST SOULEVÉ PAR LA GRANDEUR DE SON : «TOÉ LA PLUS BELLE DE L’UNIVERS»… ET C’EST DANS CE SENS QUE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» APPELLE UN FONDEMENT MULTIVERS DE TOUT RÊVE BIG-BANG ÉTUDIÉ DANS L’ANGLE DE TROIS CATÉGORIES COSMOLOGIQUES-PHILOSOPHIQUES: L’ONTO-MULTIVERS, LA MÉTHO-MULTIVERS ET LA NANO-MULTIVERS… FONDEMENT DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AU 21EME SIÈCLE , PROPÉDEUTIQUE À L’ÉMERGENCE D’UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
JULY 24, 2018

Un des drames du 21eme siècle, c’est que l’université soit devenue une institutionalisation progressive d’une mentalité servile au service de la perroquetterie des savoirs stratifiés aux objectifs reproductifs autant qu’utilitaristes.

Nous sommes si loin des universités allemandes de la fin du 18eme siècle où toute la pyramide inversée reposait sur la recherche obligatoirement innovatrice obligeant les étudiants à un très haut niveau d’invention et de liberté autodidacte.

Quelle tristesse que ce clientélisme morbide… axé sur des diplômes et des notes qui ne veulent rien dire.
Prenons l’exemple de la sociologie…. La dégénéressence intellectuelle dans le sens de Irme Lakatos où ce que Kuhn appelle le schème conceptuel n’arrive plus à nourrir d’innovations majeures un champ dont les fondements néo-potivistes autant que néo-empiristes logique, n’arrive plus non plus depuis Robert Merton et Bourdieu à pondre des penseurs dont l’épistémologie d’une réflexion méthodologique est perçue comme majeure par les différents champs ontologiques qui la serpentent.

Dans un manuel de sur la philosophie de la connaissance consacrée à une chaîne de penseurs, seule la sociologie est résumée brièvement dans son siècle, sans aucun penseur traité en majeur, et sous l’angle seul de la sociologie de la connaissance et des limites épistémologiques du champ au fur et à mesure de l’évolution des sciences cognitives, cosmologiques et mathématiques.

De là l’importance d’ouvrir un nouveau schème conceptuel à partir d’une prédiction des mathématiciens-cosmologues: celle de l’existence de multivers, à partir duquel on doit redessiner les fondements onto-multivers, métho-multivers, nano-multivers menant à la formule «wow-t=2.7k?» permettant l’émergence de la nano-citoyenneté-planétaire par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art, dont le rêve big-bang moins la tricherie devient par le 2.7k? un hymne à la liberté comme beauté du monde.

C’est en ce sens que la chanson du camionneur ne constitue pas une chanson, mais une épopée… une épopée d’une humanité en marche par la nano-citoyenneté-planétaire d’un univers à un multivers, d’un rêve big-bang à une infinité de rêves big-bang clonés dans l’impossible probabilité d’une palette de récits différents à la recherche d’un gps ontologique autant que socio-multivers.

LA CHANSON DU CAMIONNEUR
REPRÉSENTE LA PREMIÈRE TRACE
D’UNE COSMOGONIE MULTIVERS
OÙ LA CRÉATION DES DIEUX NE
SE POINT D’INTERROGATION QUE PAR LE CLONAGE EN SIMULTANÉITÉ D’UNE NON-TRICHERIE.

Pierrot vagabond
au nom de notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)