wowwwwww… enfin je vis ce pourquoi j’ai toujours été configuré… le vagabondage radical… j’ai d’abord appris mon métier de vagabond par la scène où je me suis senti victime des applaudissements durant 32 ans… puis vint la survenance de MON R^VE BIG BANG qui me permit de vagabonder un pays… Après avoir jeté ma guitare dans le bois, je devins vagabond de la connaissance en arpentant quatre universités déguisé par mes guenilles royales, pour enfin, enfin et enfin, je ne le dirai jamais assez, devenir un ERMITE DES FORMES QUANTIQUES-COSMOLOGIQUES, HONORANT AINSI MES BROSSES D’ÊTRE ET MES ATTAQUES D’ÊTRE qui n’ont cessé de me poser question.
Ce petit local de l’UQAM ouvert 24 heures donne un espace de liberté d’une telle rigueur que l’on peut fêter intrinsèquement son amour de la pensée abstraite pointue ( abductive autant que théoritque) sans jamais ressentir autre chose que le silence des mystiques, l’invention de Dieu en moins.
J’ai 70 ans…. Il me reste quelques bonnes années à vibrer 24 heures à la fois à la condition humaine de milions d’enfants mourant de faim ou de blessures de guerre, sans intérêt personnel caché, parce que mes deux partenaires de recherche (Michel et Marlene) protègent mon cerveau de tout irritant domestique ou commercial. Je n’ai pas de téléphone, pas de t.v. pas d’ordinateur, pas de biens matériels… Le peu que je retire d’une petite pension sert à nourrir des étudiants en position précaire alors qu’ils portent en eux un avenir intellectuel fabuleux…
Je peux me pencher sur le fil d’or des fil d’or… au sens où notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) ne portera qu’un 600 pages d’une éblouissante symphonie dirigée par «wow-t=2.7k?» où le point d’interrogation que constitue l’humanité célèbrera le point d’exclamation que constitue la quanto-cosmologie, par la révolution paradigmatique du multi-vers dans son champ constellaire où s’intriquent le big bang (sous l’arborescence du bruit de fond 2.7k?) , faisant de la multitude des rêves big- bang un arc-en-ciel bouquet de larmes de joie, qualis même de la beauté du monde dont l’énigme se fonde par un algorithme d ela justice sociale planétaire dans une invention sculptant le droit à l,errance poétique sur terre: celle de la nano-citoyenneté-planétaire.
L’écriture de ce doctorat multi-médias par trois peintres amoureux de la beauté du monde sera une pure délictescence modélisant ainsi autant épistémologiquement que méthodologiquement la poésie même d’un espace-temps consacré à la recherche conceptuelle de haut niveau
Dans un premier temps
EN ROUTE VERS L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC
puis dans un deuxième temps
EN ROUTE VERS LE PRIS NOBEL DE LA PAIX
Pierrot vagabond, au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)