Autant la chanson du camionneur de Pierrot le vagabond que la chanson «lâche-moé pas» de Michel le concierge témoignent de l’ontiquation au quotidien que provoque la non-tricherie d’un rêve big-bang, avec pour conséquence de dessiner un champ constellaire remarquablement indivisualisé dans son rapport au prendre soin de la beauté du monde.
Dans le cas du vagabond céleste, une des énigmes des paramètres de l’ontiquation repose sur la dissolution et de la finitude et du sentiment tragique, comme si le dessein d’une finale de vie passait par une image: celle de la rivière St-Maurice que mon corps agonisant descend en canot alors que des deux côtés des berges, la naissance et la mort saluent en moi non pas la spectralité d’une peur archétype, mais l’hologrammie d’une multiversité privée œuvre d’art.
Hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion… hors épistémologie, hors métaphysique… hors ontologie… exactement comme LE CANTIQUE DES CANTIQUES déposés par erreur dans une bible confuse de notions historiquement obtues.
à suivre…
Pierrot vagabond