Le poème de Lucrèce est, dans la philosophie ancienne, ce qui m’incite le plus à passer de la métaphysique de l’individu à son ontiquation par la non-tricherie et la vie personnelle œuvre d’art sous la puissante errance poétique d’un rêve big-bang.
Comme si ce modèle fondant le code de déontologie de la nano-citoyenneté-planétaire et sa constitution révélait une capacité constructiviste de faire voir le rapport entre l’homme et l’homme, SELON UNE AUTRE RAISON QUE LA RAISON ARGUMENTATIVE évacuant le multivers des qualis sous le calcul méthodologique des formes énigmatiques du réel.
à suivre…
Pierrot vagabond