J’ai passé la nuit à me laisser harnacher par le champ constellaire dans le sens de «notion» telle que l’archétectonise l’émistémologie contemporaine… la différence entre notion et concept faisant de la notion un très haut niveau de pensée abstraite.
J’intuitionne abductivement que sous l’indéterminisme et le scholastique de la physique quantique comme au-dessus de la théorie des cordes du cosmologique dansent en cercle elliptique de non-tricherie les qualis, essences nominalistes de l’énigme que cherche les mathématiciens dans les plis du 2.7k (le bruit de fond cosmologique du big bang.
Un rêve big-bang d’une vie personnelle oeuvre d’art qui s’accompagne de non-tricherie permet l’émergence d’une nouvelle sociologie quanticative (quantique selon mon partenaire de recherche Michel le concierge) aux portées mêmes, rhyzomes, métissages, viral-open-source d’une onde de synchroni-vie-té aux big bang d’un champ constellaire dont les dites personnes humaines flottent dans la douceur et la porosité d’errants poétiques comme des étiquettes archétypes hologrammiques (Madeleine la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond).
Les qualis mi essentialistes, mi-nominalistes émergent à la fois comme des ondes ou des corcuspucules au (-t) aussi déroutant que le sont les cris de Munch des enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre.
De là le constructiviste-conventionnaliste d’une telle créativité aussi émouvante que le big-bang qui architecture l’errance poétique se métamorphose soudain en luminosité d’une invention institutionnelle fragile… la nano-citoyenneté-planétaire…
La terre atteindra son état poétique…. celui du cantique des cantiques, des mystiques du 17eme siècle, delui des poètes du 19eme, la SOCIOLOGIE QUANTIQUE DEVENANT TELLE UNE FLEUR UNE SOCIOLOGIE CANTIQUE au service de la beauté du monde.
Un vagabond céleste, porte en ses pieds qui marchent la beauté du monde l’espérance d’une synchroni-vie-té à la hauteur d’une fleur qui danse dans le vent de l’être.
à suivre