La traversée spirituelle des quatres étapes intérieures de l’artiste , telles qu’enseignées par le clown de Toronto à l’exposition d’Osaka en 1970 (le cabotinage, le don de soi, la communion et la catharsis) ouvrait la notion de maÎtre à celle du tellement petit qu’ontologiquement les brosses d’être et les attaques d’être viennent révéler l’amour du multivers pour les rêves big bang des personnes humaines œuvre d’art dans leur con-dés-intentionalité ustensilaire… voilà ma fierté du vieux monsieur de 70 ans ce soir.
On dirait que toute cette traversée d’une question: «Si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi?» m’a rendu profondément sensible aux objets qui rêvent la personne humaine…. et qui n’attendent que sa danse par son rêve big bang pour la saluer comme de vieux complices du multivers….
Je ne suis plus qu’une ombre heureuse d’un vieux chercheur intense… En ce moment je lis Durer et son temps, un 500 pages produit par les Beaux arts de Paris… J’ai mes gants, un foulard autour du cou, des écouteurs pour écouter la musique grégorienne et je vais à la rencontre d’une éternité sans fin si début, celle de la beauté du monde qui saisit même l’enfant qui naît au travers des larmes de bienvenue à la mère apprenante.
J’ai de nouveaux et nouvelles partenaires en maîtrise et en doctorat qui viennent conter au grand-père œuvre d’art leurs vertiges, leurs larmes, leurs peurs… et je redessine avec eux ou elle le fil d’or de leur conclusion ouverte qui leur feront remonter la rivière de leur question principale….
aussi libre que peut l’être un vieux monsieur inquiet pour ses jeunes chercheurs… merci à mes amis chercheurs Marlene la jardinière et Michel le concierge… os matins de conseils d’administration de la créativité sont à chaque fois des événements de bienveillance mutuelle et de passion pour une formule, véritable algorithme social…
WOW-T=2.7K?
Pierrot