LA CONSISTANCE ONTONLOGIQUE D’UNE QUESTION DE DOCTORAT REPOSE SUR LE BIG BANG DE SON FIL D’OR QU’ON NE PEUT IDENTIFIER AVEC CERTITUDE QUE D’APRÈS DE LONGUES ANNÉES D’AVENTURE INTELLECTUELLE… LE PRINCIPE D’INTELLIGITÉ PROVENANT DE LA SYNCHRONIVITÉ POSSIBLEMENT RELIÉE AU CONCEPT DE MULTIVERS DONT PERSONNE N,A ENCORE TRACÉ LA COSMOGONIE DE SA MARGE COMME DE SES FRONTIÈRES

La recherche de l’origine d’un fil d’or argumentatif, soit son big-bang existentiel, se veut , à mon humble avis, la principale avancé.e épistémologique que permet « la méthodologie du blog» en recherche de maîtrise ou de doctorat.

Bien sûr, l’inconvénient, c’est qu’on utilise un outil numérique public pour un mode d’enquête privé, en prenant comme a priori que les 6000 pages d’un chercheur universitaire n’intéresseront personne… donc,  on aura toujours la paix… en considérant le fait qu’il y a des milliards de pages d’information dans cet univers de bitts du 21eme siècle….

Cette nuit ,par exemple, au lieu de dormir par terre, je me suis installé sur deux bacs à linge avec une chaise pour oreiller…. et pendant mon sommeil, le big bang de ce geste m’est venu… comme dans les songes de Descartes…

Dans les camps de réfugiés, les errants fantomatiques dorment soit par terre, soit dans des arrangements hétéroclites d’objets inessentiels… Etant un errant poétique, c’est en vivant par mon corps la situation de millions d’enfants errants fantomatiques que je puis espérer ne pas être mis en prison de la réalité par les errants axiologiques privilégiés. Comme mon essai philosophique de 1000 pages, Monsieur 2.7k? je fuis les chaînes de bitts pour tenter de devenir un vagabond céleste… Je réalise ce matin qu’il est impossible de fuir vraiment dans une planète qui est ronde et entourée de barbelés d’oxygène, de ciels bleus et des gardiens d’énigmes éternelles que l’on appelle des étoiles.

De là, la terreur qui m’habite quand tout système hiérarchique d’errants axiologiques (comme l’adisq) par exemple où on reconnait une place à une personne dans le champ des médaillés, parvient à briser le mur des milliards d’apeurés du réel qui me font cris de Munch, depuis toutes ces années à dormir dans les cimetières avec des gémissements énigmatiques d’enfants pressurés par l’impossible dignité humaine à l’horizon du droit à une vie personnelle œuvre d’art pour tous.. La nano-citoyenneté-planétaire… ça presse… c’est une question de justice comme équité.

Contrairement à François Villon, qui rêvait que sa poésie traverse les siècles, moi mon rêve, c’est que ma poésie soit dissoue au cœur même des milliards d’enfants fantomatisés et que l’on me chante après ma mort, comme on chante au clair de la lune sans même se douter qu’un individu qu’on aurait pu identifier ait composé cela…

C’est drôle, La chanson du camionneur, c’est finalement une histoire d’amour qui a toujours fait pleurer quand je l’ai chantée sur ma route parce que elle représentait concrètement un rêve archétype big bang au fond de l’éternité de l’élévation de l’humanité sur terre….

J’en ai écrit 100, par une de plus, par une de moins, pour enfin résumer ma quête….. c’est la chanson que j’ai chanté pour le documentaire intitulé: mon ami Pierrot, le dernier homme libre, puis dans ma rencontre avec l’ermite, puis, après avoir jeté ma guitare dans le bois, quand je m’appuyais sur un bâton de vagabond pour mieux allumer les étoiles….

Après ma mort, il est possible que dans UN UNIVERS MULTIVERS,  tel que prédit par les mathématiciens quantiques et les cosmologues, le cri de Munch des milliards d’enfants errants fantomatisés ayant passé sur terre me disant: Monsieur Pierrot, pourquoi nous as-tu trahi? la seule garantie que nous avions de la droiture de ton errance poétique pleurant par tes chansons nos errances fantomatiques, c’est que tu ne te laisses pas acheter par l’univers scandaleusement suffisant des errants axiologiques.

Quand il est écrit:

sortez vos mouchoirs, voici une expression de la poésie du quotidien à son meilleur…. c’est scandaleux… car personne n’a jamais sorti ses mouchoirs pour nous…

C’est cela le point big bang du fil d’or de la dramaturgie de la problématique d’un doctorat….. le souvenir d’un enfant de 4 ans qui devant la tombe de son petit compagnon de jeu se demande..,

POURQUOI LUI ET POURQUOI PAS MOI?

POURQUOI LUI EST-IL MORT ET POURQUOI MOI JE SUIS VIVANT?

Comme Michel le concierge disait hier… le seul épitaphe qui te serait d’apaisement après ta mort serait celui-ci: ICI GIT UN ANONYME.

Je me rappelle ces 14 années consacrées à mes recherches sur le rire.. 250 spectacles par année… l’écriture de numéros de burlesque, de slapstic, de monologues.. De nis qui chauffe le char et moi qui lit, Denis qui prépare la scène et moi qui dort en arrière des rideaux ou dans un placard parce que je passe mes nuits à chercher… cher Denis…

Un jour, une équipe de radio-Québec qui produisant un documentaire d’une heure sur le rire a téléphoné dans les universités pour savoir qui était le spécialiste du rire au Canada… On a donné mon nom…J’y aité parce que Rose la poune y était…. Quand j’ai vu qu’on a pris un extrait qui ne voulait rien dire dans un documentaire qui ne voulait aussi rien dire…. je me suis dit… mais mon dieu, c’est industrie du spectacle ne fait que produire du non-nécessaire de distraction et j’en fus complice….

Parce qu’on est devenu quelqu’un aux yeux des autres, on peut mourir avec l’impression d’avoir réussi….. Mais bon Dieu, pour quelques uns qui s’en sortent…. il uy en a des milliards qui vivent l’ignoble…. je ne peux accepter cela…

La chanson du camionneur, c’est universel parce que c’est un rêve de vie personnelle œuvre d’art auquel tous les enfants errants fantomatiques ont droit sur la terre… Et c’est l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire complémentaire à l’O.N.U. qui va un jour en faire la priorité à consistance ontologique de la question de fond:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS EN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

à suivre…

sur you tube, Michel le concierge, et ses deux documentaires «le pays œuvre d’art?» et Philosophie?»