(CLAUDE DESJARDINS) Le mercredi 20 juin 2007 à 12:25, par Claude Desjardins
«V’la passer Pierrot pieds nus, ses toiles à la main.» C’est un peu de cette façon qu’on m’a dépeint cette tête blonde et folle qui est passé à mon bureau ce matin. Et je t’ai manqué!
Comme un excellent souvenir qui passe à la porte et qu’on a pas le temps de saisir.
J’espère que tout va bien pour toi et puisque la poésie te porte et t’emporte sur tous les chemins du monde, je veux te dire qu’en plus de l’éditeur que je suis toujours, je suis devenu metteur en scène pour mon plus grand plaisir.
Que de choses à raconter et de souvenirs à démêler…
«Je n’ose plus compter les filles qui déchirent mes nuits… on s’déshabille…»
«Ce n’est même pas la peine de te casser la tête de monter des histoires, t’es difficile à croire, la vérité trahit quand on est envahi par des angoisses noires et j’en perd la mémoire…»
«les gars du Jazz café qui refusaient de bien manger parce qu’ils aimaient la musique…»
Toutes ces lignes que tu as écrites, toutes ces nuits à écrire, ces études du rire et quoi encore?
Reviens qu’on se parle un peu!
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