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Très cher Simon

Je suis devenu, un peu grâce à toi, un vieux monsieur de 69 ans qui travaille nuit et jours pour que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire de notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette) puisse un jour, soulager la condition humaine et permettre aux enfants de la planète terre de ne pas mourir de faim ou de blessures de guerre.. Montesquieu au 18eme siècle m’a indiqué la route par son invention de la séparation des pouvoirs (législatif, judiciaire et exécutif)

Toutes les nuits Simon, sur mon plancher où je dors dans la salle de couture, une pensée pour mon ami Simon………, une autre pour les enfants des camps de réfugiés..

C’est drôle que tu me parles de ……… j’ai passé proche cet été de partir vagabonder vers … pour embûcher notre amitié…. j’y serai certainement cet été… On pourrait reparler de tout ça autour d’un feu de camp… J’adore ……….., tu le sais bien… mais je ne vois que toi pour un jour endisquer mes chansons… ………… compose des choses magnifiques et son monde est déjà d’une poésie inouie. Tandis que selon moi, si tu n’étais pas passé dans ma vie, et si tu n’avais pas fait voyager les quatre questions avec autant de dignité, avec autant d’aristocratie du cœur, je n’aurais jamais eu autant de larmes versées devant l’ordi en ce moment à t’écrire que tu m’es essentiel… de plus en plus essentiel…..

Prend toutes mes œuvres…. chante-les…. tu as tellement fait voyager le vagabond céleste… et sans toi… je ne suis qu’un vagabond…

tu es la partie céleste de ma vie, Simon

Salutations à ta compagne

Pierrot.

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