J’adore cette citation de La Meltrie (contemporain de Diderot) qui malgré tout eut besoin d’écrire une œuvre polémique destinée à frayer la voie à une théorie.
Toute théorie est constituée d’un prosélytisme déguisé et bien camouflé par un axiome qui finit par se faire passer grâce à un arsenal logique pour un a priori fondateur.
De là l’importance de l’anonymat d’une recherche aléatoire accompagnée par une méthode de lecture analogique où toute l’architecture de la pensée repose sur la pensée constructiviste matérialiste logique d’un château de sable d’un enfant inondé d’amplitude sur le bord de la mer de son jeu igné de la raison même d’un univers en feu.
La nano-citoyenneté-planétaire est une simple trace rhyzomique d’un vieux monsieur dans le fil d’or issu de l’énigme même du cantique des cantiques illuminé par une amitié inouie entre une jardinière, un concierge et un vagabond dans leur infrastructure archétype hologrammique de la condition humaine vécue dans un optimisme que n’aurait pas renié Shawfestbury.
Les fautes de Français pour moi, ce sont des fautes orchestrées contre les peintres pompeux du langage formel. Il faut se méfier des formulations trop lisses, des argumentaires trop logiques, des intuitions trop assagies.
Être à ce point heureux qu’on ne vise qu’une mort aussi paisible que celle d’Épicure. Et que surtout rien ne reste qu’une étiquette ou deux (la nano-citoyenneté planétaire et la nano-modernité par exemple) qui voyage à la vitesse rhyzomique du téléphone intelligent pour les enfants de cette planète terre en quête d’errance poétique pour leur droit inaliénable à une vie personnelle œuvre d’art.
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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
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