Les attractions conceptuelles qui enfantent le champ des discussions entre la philosophie d’en bas et la philosophie d’en haut sont d’un ordre tout autre qu’argumentatif ou rhétorique…. d’un ordre ayant horreur de la controverse car l’acte créateur présuppose d’abord la passion de la bonne question qu’elle vienne d’en haut ou d’en bas.
On dirait l’émergence d’une marge nano-agrégat de l’énigme de la catégorie de l’existence sur terre. C’est en ce sens que ce blog poïétique se veut finalement une forme capable de conserver l’expérience immédiate de la question qui transperce comme un électron libre les prétentions de toute réponse philosophique, qu’elle vienne d’en bas ou d’en haut.
Dans son rapport autant ambigu qu’inoui entre les mœurs et le droit, chaque être humain est submergé par un nombre écrasant de figures vacillantes dont il doit traverser l’hologramme fantomatique, puis l’objet qui respire axiologiquement pour atteindre au coeu7r même de sa propre humanité l’errant poétique dont le rêve illumine la poignée de main.
Englué dans la mémoire proleptique (relatif à un fait antérieur ou à une époque antérieure), la langue, la race, la religion comme les hiérarchies du coutumier, à peine cette personne humaine arrive-t-elle à filigraner l’inacceptable comme Jane Austen parle des pauvres en les nommant les neuf/dixième ou le président de la France les pas de dents.
L’intérêt du nano-citoyen à supprimer l’injustice sociale passe par l’expérience subjective vécue avant toute théorisation abstraite.
On est 7 milliards qui ne sait pas quoi faire avec son voisin. C’est quand même cosmiquement fascinant dans un infini où on vient de découvrir 7 planètes qui ressemblent à la terre et où il y a peut-être de la vie.
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