Dans l’histoire de l’humanité, lorsqu’on fait le compte du nombre d’errants fantomatiques, esclaves aux mains enchaînées sous la nano-urne de leur cendres (ex: les pyramides d’Égypte ) ou de leurs descendants unidimentionnels sous leurs esclavages salariés (les différents soldats qui ont volé des artéfacts pour en faire des œuvres d’art au Louvre)… on réalise soudainement la laideur ontologique DU FÉTICHISME DE LA MARCHANDISE des collectionneurs de tout capital (symbolique, fnancier, culturel, social) englués dans une errance axiologique douteuse (les maîtres anciens, Thomas Bernhard).
Quand Malraux par son musée imaginaire transforme en art universel ce qui fut d’abord l’expression d’une contextualité marchande… il y a là comme une fraude conceptuelle.
De donner plus de valeur au PATRIMOINE (notion reliée à l’état et ses visées nationalistes) qu’aux humains fantomatiques ou axiologiques castrés planétairement par les imperfections même de la structure de l’état issu d’un mauvais contrat social…. corrosant intrinsèquement leur droit à une vie personnelle œuvre d’art tissée d’errance poétique, on se retrouve dans la position de millions d’urnes nano-funéraires (œuvres d’art) masquant l’encendrement d’un scandale existentiel universel hurlant par le silence même de ses cendres.
AU 21EME SIÈCLE
L’HISTOIRE DE L’ART SE RÉVÈLE SOUDAINEMENT
COMME UN ENTREPRENEUR DE POMPES FUNEBRES
NOURRISSANT L’INDUSTRIE TOURISTIQUE
PATRIMOINIALE PLANÉTAIRE PAR DES ARTÉFACTS DÉCONTEXTUALISÉS.
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