MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART… UN GENTLEMAN DE LA PENSÉE

Quand je revisite intérieurement mes presque 10 ans dans la vie de Michel et Marlene, je ne peux qu’être ébloui par leurs qualités réciproques.

Marlene A jardinière du pays œuvre d’art, c’est l’exemple vivant de la chanson SOMEWHERE OVER THE RAINBOW…. ELLE JARDINE AVEC LE MÊME BONHEUR ÉPIQUE QUE L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES DE GIONO. Tous ses gestes sont des soins de la beauté du monde. Et cela dans une simplicité esthétique et éthique désarmante.

Je dirais que Michel W concierge du pays œuvre d’art, son conjoint,  est fondamentalement UN GENTLEMAN DE LA PENSÉE. Dans mon livre à moi, LE CONTEXTE D’UN CONCEPT QU’IL QUESTIONNE PAR LA CONDITION HUMAINE DES AUTRES ET EN PARTICULIER LA SIENNE,  EST L’EXPLORATION DE LA LIMITE MÊME D’UN CADRE THÉORIQUE PERTINENT.

Le gentleman de la pensée qu’est Michel W concierge du pays œuvre d’art entretient une attitude de respect envers toute forme de contextualité différente que la sienne. ça prend un homme d’exception pour accepter dans son intimité de couple un vagabond-chercheur, sans aucun bien matériel, ayant horreur de tout esclavage salarial, fuyant le fétichisme de toute marchandise, refusant tout lien social (baptême, mariage, enterrement, souper à plusieurs) par une anthropophobie des irritants de l’univers domestique, familial élargi autant que social ou sociétal.

A 6 heure et 30 du matin, chaque matin, ce gentleman de la pensée se réveille l’élégance de l’écoute comme celle du dialogue au travers un tsunamie de lectures et d’univers conceptuels auquel il apporte son jugement multi contextualiste d’une grande pertinence.

Les limites intrinsèques des concepts qu’un vagabond-chercheur explore rencontre en ce partenaire de recherche intellectuel une bonne prise et mise en intrigue de la réalité à objectiver.

Ce doctorat de l’équipe de recherche (Auld,Woodard-Rochette) s’annonce innovateur autant dans la méthode que dans la forme argumentative.

Comme si le fond philosophique semblait symboliser l’impossibilité d’un réseau conceptuel d’être plus vrais qu’un autre, dans un pragmatisme où chaque être humain est invité à une vie personnelle œuvre d’art construisant sa propre mouvance conceptuelle qui EST MEILLEURE QUE LES AUTRES PARCE QU’ELLE EST LA SIENNE JUSQU’À CE QUE LES QUATRE QUESTIONS EN INCITENT UNE MUTATION STRATÉGIQUE D’ERRANCE POÉTIQUE PERSONNELLE.

1: quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais pour ton rêve aujourd’hui?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART ÉMERGEANT D’UN CONTEXTUALISME NANOMODERNISTE COMME OBJET DE RECHERCHE PHILOSOPHIQUE

Qu’est-ce qu’un objet? ce dont on tient l’identité comme acquise (Jocelyn Benoist, concepts une introduction à la philosophie, champ essais 2010)

Qu’est-ce qu’un objet de recherche? Ce dont on tient l’identité comme loin d’être acquise, donc comme posant un problème que l’on argumente par notre jugement normatif par un argumentaire problématique. (Pierrot vagabond)

La question simple du doctorat de l’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) pourrait ressembler à celle-ci:

EN QUOI
MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART
EST-IL DIFFÉRENT DE MICHEL LE CONCIERGE?

Une hypothèse de recherche pourrait ressembler à celle-ci:

Si on examine la vie de Michel Woodard de sa naissance à aujourd’hui, sous l’angle des systèmes conceptuels disponibles sous lesquels il a vécu jusqu’à l’évènement des quatre questions qui ont permis en lui L’ÉMERGENCE DE L’ARCHÉTYPE DE MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART par la contextualisation nano-moderniste à texture numérico-ouverte déclenchant une partie de son édifice conceptuel en mouvement nanodémocratique,

il serait possible d’en conclure que l’ensemble de la preuve argumentative témoignerait de la naissance du premier citoyen nanodémocratique planétaire au 21eme siècle, modélisation d’une tendance qui pourrait devenir virale grâce à l’internet par le téléphone cellulaire.

Le paramètre de l’objet conceptuel à construire étant celui-ci; LE DROIT DES CITOYENS PLANÉTAIRE EXIGEANT LA PRIORITÉ SUR LE DROIT DES ÉTATS.

En ce sens, un concept dans son pré-fondement morphologique husserlien tenant compte dans ses incertitudes et ses variations de la mouvance conceptuelle autant que des paramètres POST-CONCEPTUELS (dans le sens d’un édifice conceptuel en mouvement) logiquement argumentés dans un nouveau cadre théorique-numérique devient donc UNE PRÉMISSE D’UN DROIT RÉSEAUTÉ SUR LA PERSONNE HUMAINE DANS SA DIGNITÉ ABSTRAITE PARTOUT SUR LA TERRE.

la nanodémocratie citoyenne planétaire par la vie personnelle œuvre d’art conduit au pays œuvre d’art dont MICHEL W., concierge du dit pays œuvre d’art sera un jour reconnu par l’histoire comme CONCIERGE FONDATEUR de par la beauté intrinsèque de son histoire d’amour pour Marlene A jardinière du pays œuvre d’art.

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

UN DES OBJECTIFS DU DOCTORAT EST DE SUIVRE LA GÉNÉALOGIE DU IER CITOYEN PLANÉTAIRE NANODÉMOCRATE EN OPÉRATIONALISANT AXIOMATIQUEMENT LA VIE DE MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART DEPUIS SA NAISSANCE TOUT EN SUIVANT LES FONDUS DE TOXICITÉ EN NON-TOXICITÉ ENTRE LES DIFFÉRENTS SYSTÊMES CONCEPTUELS.

Les concepts de citoyen nanodémocratique planétaire, de vie personnelle œuvre d’art, de pays œuvre d’art constituant un réseau conceptuel néologique INÉDIT, ce doctorat évite donc les conflits d’appropriation, les conflits autour des mots-enjeux, les rivalités idéologiques. Wow-t=2.7k ou la captation par un doctorat d’UN BIG BANG D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART dans un contexte potentiel numérique de nanodémocratie au 21eme siècle.

Et c’est en ce sens que la datation autobiographique et multi-argumentée de la conscience de MICHEL LE CONCIERGE à la conscience archétype MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART, peut-être symbolisée par le vécu PLANÉTARISÉ (et non mondialisé) post-interprété d’une personne humaine de sa naissance à aujourd’hui par sa nouvelle mise en intrigue citoyenne.

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

UN DOCTORAT SUR UNE PERSONNE HUMAINE ÉVITE LA FAUSSETÉ DE DÉPART D’UN AXIOME… LES QUATRE QUESTIONS DANS LA VIE DE MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART DEVENANT DES OPÉRATEURS AXIOMATIQUES D’UN SYSTÈME CONCEPTUEL UNIQUE

Ce matin, Michel a cogné à ma porte à 5h.30 am… ce qui nous a donné du temps de qualité pour réfléchir ensemble sur la nouvelle orientation du doctorat de l’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette).

1) le fait de rédiger un doctorat au sujet d’un anonyme (MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART) pour rendre hommage à tous les anonymes de la planète terre qui n’ont pas encore reçu LE DROIT À LA DIGNITÉ ABSTRAITE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’art équitable.

2) le fait que l’on se penche en équipe sur l’archétype de Michel W concierge du pays œuvre d’art en partant de la naissance de Michel le concierge EN 1951, de l’identification des systèmes de concepts disponibles ( Michel étant un baby boomer, je me servirai comme base de réflexion du magnifique essai du brillantissime François Ricard, LA GÉNÉRATION LYRIQUE)

3) Michel de son côté montera sur un site privé you tube l’ensemble des archives photos de sa naissance à aujourd’hui qu’il commentera sur film (également numérisés sur you tube) de façon à ce qu’historiquement autant qu’anthropologiquement l’on puisse parcourir les systèmes conceptuels toxiques de sa société autant que le passege du Michel concierge à son archétype de Michel W concierge du pays œuvre d’art.

4) Tout concept formant dans l’histoire UN SOCIOGRAMME POLÉMIQUE IRRÉDUCTIBLE (Marc Angenot), je parcourerai et l’œuvre et la bibliographie d’un autre brillantissime québécois, Marc Angenot, professeur émérite à l’université Mc Gill de Montréal, titulaire de la chaire James McGill d’étude du discours social et membre de la société royale du Canada, ce qui me permettra de parfaire ma formation en réthorique argumentative, en logique informelle autant qu’en narratologie pour bien maîtriser la mise en intrigue du doctorat par l’analyse du discours, des entités linguistiques autant que pragmatiques.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

Comme dans une argumentation conceptuelle se rencontre toujours un concept imposteur (Michel le concierge) qui doit être écarté par un concept réformateur (Michel W concierge du pays œuvre d’art), je miserai sur la valeur opérationelle des quatre questions du doctorat pour tenter d’éviter la fausseté de départ de tout axiome qui ignore la fragilité de quelque concept que ce soit, étant autant issus de la société qui le crée que de son action prospectiviste sur cette même société.

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wikipedia

Marc Angenot

Marc Angenot est un professeur canadien de langue et littérature françaises, né en 1941 à Bruxelles. Il a enseigné à l’Université McGill à Montréal ; il est devenu professeur émérite en 2013. Il y demeure titulaire de la chaire James McGill d’étude du discours social. C’est un théoricien de la littérature, mais avant tout un analyste du discours et historien des idées, particulièrement des idéologies politiques (XIXe et XXe siècles). Il est depuis 1985 membre de la Société royale du Canada. Il a été élu pour 2011-2012 à la chaire Chaïm Perelman de théorie de l’argumentation et d’histoire des idées à l’université libre de Bruxelles. Il est marié à Nadia Khouri ; il a trois enfants : Maya, Valérie et Olivier.

Marc Angenot fait ses études supérieures à l’Université libre de Bruxelles de 1959 à 1967. Sa thèse de philosophie et lettres intitulée Rhétorique du surréalisme (dirigée par Albert Henry et soutenue en 1967) s’inscrit dans le courant de la redécouverte de la rhétorique avec les travaux de Chaïm Perelman (Université libre de Bruxelles) et ceux, ultérieurs, du « Groupe Mu » (Université de Liège).

Loin de s’en tenir à une approche formaliste ou structuro-fonctionnaliste, Angenot interroge le fait littéraire dans sa dimension sociale et compte parmi les théoriciens de l’approche dite « sociocritique ». Il serait toutefois réducteur de limiter les recherches d’Angenot à la sociocritique puisqu’il se décrit plus volontiers lui-même comme un analyste des discours sociaux. L’analyse sociodiscursive qu’il pratique tente de concilier les avancées de la rhétorique de l’argumentation à une lecture des textes attentive aux médiations socio-historiques et aux phénomènes d’interdiscursivité.

Appartenant à la même génération que Claude Duchet, Pierre V. Zima, Jacques Leenhardt, André Belleau, Jacques Dubois et Régine Robin et en dialogue avec eux, Angenot a contribué à l’approche sociologique des textes inspirée notamment des travaux du sociologue Pierre Bourdieu, de l’École de Francfort et de ceux, nouvellement traduits en français durant les années 1970, du théoricien russe de la littérature Mikhaïl Bakhtine.

L’originalité des travaux d’Angenot réside dans sa prise de position en faveur du concept de discours au détriment de celui, par trop structuraliste, de texte. En effet, la notion de « texte », à la suite des travaux de Gérard Genette ou de Tzvetan Todorov, a été considérablement déshistorisée et identifiée à une structure formelle où opèrent des stratégies narratives et génériques sans que ne soit prise en compte la socialité fondamentale de toute production textuelle. En conséquence, Marc Angenot privilégie le discours, c’est-à-dire l’usage effectif de la parole, dans sa dimension sociologique et dialogique impliquant des « entre-parleurs » (La parole pamphlétaire, 1982).

C’est dans ce contexte d’épuisement du texte, du structuralisme et du « tournant linguistique » (Saussure) des études littéraires qu’Angenot propose le concept de « discours social » (1889 : un état du discours social, 1989), un vaste projet de recherches pluridisciplinaires et interdiscursives qui tente de reconstituer le contexte discursif global dans lequel émergent les discours sociaux (de la littérature « distinguée » aux conversations « concierges », sans hiérarchie ni primat esthétique).

Pour Angenot le discours social est « tout ce qui se dit et s’écrit dans un état de société », tout ce qui relève des deux formes de mise en discours, c’est-à-dire la narration et l’argumentation (ce qui est « narrable » et « opinable » à un moment donné, dans une société donnée). Cette totalité en apparence cacophonique et désordonnée révèle pourtant des régularités génériques et thématiques; elle comporte également des répertoires topiques, des « gnoséologies » et des « phraséologies » communes et co-intelligibles.

Cette approche quasi archéologique des discours sociaux s’inscrit dans le sillage des théories de l’interaction verbale, du dialogisme et de la sémiologie « idéologique » élaborés par Bakhtine/Volochinov. De même, Angenot reprend au penseur marxiste non orthodoxe Antonio Gramsci le concept d’« hégémonie » pour en faire, en quelque sorte, le “moteur” du discours social, c’est-à-dire un noyau régulateur qui organise la « vaste rumeur » des discours sociaux.

Dans la théorie du discours social, l’hégémonie a un rôle topologique : c’est en fonction de ce moteur sociodiscursif que peuvent s’apprécier les phénomènes de “dominance” ou de marginalisation, en même temps que l’obsolescence de certains discours ou leur persistance à long terme. On rappellera à cet égard que le programme de recherche d’Angenot consiste – en première analyse – en une coupe synchronique (l’année 1889). Or cette option n’empêche aucunement des considérations d’ordre diachronique ou une approche de la « mémoire discursive » dont les textes portent la trace.

Comprise comme une entreprise de décloisonnement disciplinaire, la théorie du discours social peut être considérée comme un paradigme fécond pour l’analyse du discours et les cultural studies ; il s’agit aussi d’une perspective nouvelle pour les approches sociologiques de la littérature, et même, à certains égards, pour la pragmatique linguistique. Comme le discours social doit beaucoup aux recherches antérieures d’Angenot sur la rhétorique et l’argumentation, il s’agit également d’un programme de recherches compatible avec l’analyse des discours associés aux domaines de l’éloquence et de la parole persuasive. En effet, la théorie du discours social propose une approche du « vraisemblable » rhétorique à une échelle beaucoup plus vaste que ne le faisaient les approches traditionnelles de la rhétorique. Aussi faut-il noter que l’approche d’Angenot prolonge la théorie aristotélicienne des topoï et de l’opinable en leur donnant un cadre circonstancié et une efficace à l’intérieur d’un état de société.

Loin des cadres restreints de l’ethnométhodologie, par exemple, ou de la micro-sociologie interactionniste, Angenot reste fidèle à la tradition hégéliano-marxiste en ce sens qu’il privilégie l’analyse de la totalité (notion qu’il reprend dans le sillage des travaux de Georg Lukacs et de Karl Mannheim). C’est pourquoi il propose de rapprocher l’analyse sociodiscursive d’une «pragmatique socio-historique », perspective qui peut être rapprochée de la définition extensive (et fondatrice) de la pragmatique formulée par C. W. Morris (1938), laquelle ne se limitait pas à une linguistique de l’usage et de la parole en acte, mais bien à une vaste analyse psycho-sociologique et culturelle des signes.

Dans Critique de la raison sémiotique (1985) Angenot a émis de nombreuses réserves par rapport à la sémiotique d’obédience saussurienne et à la méthodologie qui prévaut généralement en linguistique (« scotomisation » de la socialité dans l’analyse, etc.). À une sémiotique trop souvent fondée sur le modèle linguistique, Angenot propose une sémiotique critique attentive aux configurations idéologiques (dans le sillage de celle proposée par Bakhtine dans Marxisme et théorie du langage) et à la praxis sociale (Bourdieu). La tâche du sémioticien tel que le conçoit Angenot est d’établir une «gnoséologie des pratiques» où les faits sémiotiques sont envisagés comme étant les produits d’une « sémiosis sociale » où interfèrent nécessairement des phénomènes d’idéologie, d’hégémonie et de stratification sociale.

En plus de contribuer au champ des études sociocritiques, Angenot est également considéré comme l’un des pionniers de la rhétorique du pamphlet et, plus largement, du discours polémique et des débats dans la vie sociale. C’est ce dont témoigne la publication d’un collectif intitulé La parole polémique (Gilles Declercq, Michel Murat et Jacqueline Dangel, dir., Paris, Champion, 2003) qui se veut un hommage à Marc Angenot qui a publié en 1982 un ouvrage de référence dans le domaine : La parole pamphlétaire.

Cette somme théorique constitue une vaste entreprise de typologie discursive qui met en lumière les différentes stratégies argumentatives et figurales mises en œuvre durant un siècle de production pamphletaire (de Rochefort à Guy Debord). Avec cet ouvrage et ses travaux ultérieurs, Angenot a dissocié l’analyse argumentative de ses corpus canoniques (littérature, conversation, publicité) pour l’appliquer notamment au discours sur la «supériorité des femmes» (Les champions des femmes, 1977), aux discours socialiste et anarchiste au tournant du XXe siècle (La propagande socialiste, 1996 ; Rhétorique de l’anti-socialisme, 2005) et, enfin, aux discours des utopistes, antisémites, progressistes et marxistes des deux siècles derniers (L’Utopie collectiviste, Un juif trahira, Le Marxisme dans les Grands récits).

En 2008, Angenot est revenu à la rhétorique en publiant un traité qui prétend renouveler l’étude de l’argumentation et de la persuasion dans la vie publique, dans les sciences humaines et en philosophie, Dialogues de sourds. Traité de rhétorique antilogique. Voir plus bas.

Conjointement à ses recherches en analyse socio-discursive, Angenot a également développé un champ de recherches connexe – l’« histoire discursive » – où il se propose d’examiner ce qu’il nomme, à la suite de Jean-François Lyotard, les « Grands récits ». Loin du postmodernisme et du « crépuscularisme » auquel cette notion reste souvent attachée, Angenot parle de « Grands récits » dans le contexte de la modernité. En fait, il préfère l’expression de « Grands récits militants » (lesquels succèdent historiquement à la Révolution et, donc, à la démocratisation et la libéralisation de l’Europe au XIXe siècle).

Dès lors, il s’agit pour Angenot d’interroger les discours (idéologies) qui émergent de cette nouvelle conjoncture ponctuée de révolutions et de luttes sociales. Les « Grands récits » s’articulent autour de penseurs emblématiques et idéologues tels Auguste Comte, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet, Pierre Leroux, Proudhon, le Belge Colins, Jules Guesde, Sorel, etc. Angenot constate que ces formations discursives se caractérisent par des schémas argumentatifs complexes et des « coupures cognitives » qui, le plus souvent, interdisent toute forme de dialogue et conduisent à des « dialogues de sourds » (tel est le cas entre socialistes et anarchistes au tournant du siècle).

Aujourd’hui, si l’on constate l’épuisement des « grands récits », on observe aussi l’émergence de « micro-récits » identitaires, nationalistes ou communautaires. Ces discours sont véhiculés par des groupuscules qui tendent souvent à se replier sur eux-mêmes et à se « réifier » en idéologie ou, plus précisément, en « idéologie du ressentiment », pour reprendre l’expression d’Angenot.

Ces « Grands Récits » restaient tributaires de l’idée de progrès et d’un « principe espérance (das Prinzip Hoffnung) » (Ernst Bloch), mais cette confiance en l’avenir s’est dissipée et a été battue en brèche par les tenants du postmodernisme. Alors que se « décompose l’idée de progrès » (D’où venons nous ? Où allons nous ?, 2001) et que s’émiette la logique progressiste, l’inflation des revendications identitaires, culturelles, locales, micro-contextuelles, etc., selon Angenot, doit nous amener à reposer la fameuse question : « Que faire ? ».

Dans un monde où les « micro-récits » et les réponses toutes-faites ne se comptent plus, c’est à cette question, semble-t-il, que renvoient les derniers travaux d’Angenot. Et le défi n’est pas d’y répondre ; l’expérience des « Grands récits » a trop souvent montré l’inadéquation des réponses et les dérives pratiques qu’elles ont suscitées ; il s’agit seulement de retrouver les conditions qui permettent, au moins, de la poser tout en maintenant « un regard sobre ». On verra sur ces points sa synthèse, Le marxisme dans les Grands récits. (2005)

Ouvrages récents en rhétorique et en histoire des idées[modifier | modifier le code]

En 2008, Angenot a publié aux éditions Mille et une nuits un traité de rhétorique fondé sur l’idée de malentendus dans l’échange argumenté et celle de coupures cognitives, Dialogues de sourds, traité de rhétorique antilogique. Il a également publié deux essais sur les discussions historiennes et philosophiques autour du processus de la sécularisation : Gnose et millénarisme : deux concepts pour le XXe siècle et En quoi sommes-nous encore pieux? Sur l’état présent des croyances en Occident. (P.U. Laval). Il a publié en 2014 aux Presses universitaires de Liège un essai de synthèse sur l’histoire des idées: Histoire des idées: Problématiques, objets, concepts, méthodes, débats.

Publications[modifier | modifier le code]
Le Roman populaire. Recherches en paralittérature, Montréal, Presses de l’Université du Québec, 1975.
Les Champions des Femmes. Examen du discours sur la supériorité des femmes, 1400-1800. Montréal, Presses de l’Université du Québec, 1977.
Glossaire pratique de la critique contemporaine. Montréal, H.M.H. / Hurtubise, 1979.
La Parole pamphlétaire. Contribution à la typologie des discours modernes. Paris, Payot, 1982. (Prix Biguet 1983 de l’Académie française).
Critique de la raison sémiotique. Fragment avec pin up. Montréal: Presses de l’Université de Montréal, 1985, 134 p. Traduit en anglais : Critique of Semiotic Reason. With an Introduction by Marie-Christine Leps. New York, Toronto, Legas, 1994.
Ce que l’on dit des Juifs en 1889. Préface de Madeleine Rebérioux. Paris, Presses de l’Université de Vincennes, 1989, 192 p. (Collection « Culture et Société »).
Le Cru et le faisandé: sexe, discours social et littérature à la Belle Époque. Bruxelles: Labor, 1986. (Collection « Archives du futur »).
Mille huit cent quatre-vingt-neuf: un état du discours social. Montréal / Longueuil: Éditions du Préambule, 1989, 1.176 p. (Collection « L’Univers des discours »)
Le Centenaire de la Révolution. Paris: La Documentation française, 1989. (Collection «Les Médias et l’Événement»)
Topographie du socialisme français, 1889-1890. Montréal, Discours social, 1990. 210 p. Nouvelle édition corrigée : 2006.
L’Œuvre poétique du Savon du Congo. Paris: Éditions des Cendres, 1992.
L’Utopie collectiviste. Le Grand récit socialiste sous la Deuxième Internationale. Paris: Presses universitaires de France, 1993.
La Propagande socialiste: six essais d’analyse du discours. Montréal: Éditions Balzac, 1996.
« Un Juif trahira » : l’espionnage militaire dans la propagande antisémitique, 1884-1894. Montréal: CIADEST, 1994. Réédition en 2002.
Les idéologies du ressentiment. Essai. Montréal: XYZ Éditeur, 1996. (Prix «Spirale» de l’Essai 1996).
La Critique au service de la révolution. Louvain, Peeters et Paris, Vrin, 2000.
Interdiscursividades. De hegemonìas y disidencias. Traducido por Maria Teresa Dalmasso. Córdoba : Editorial Universidad nacional de Còrdoba, 1998. Réédition: 2010.
Colins et le socialisme rationnel, Montréal: Presses de l’Université de Montréal, 1999.
Les Grands Récits militants des XIXe et XXe siècles : religions de l’humanité et sciences de l’histoire, Paris: L’Harmattan, 2000.
D’où venons-nous, où allons-nous ? La décomposition de l’idée de progrès, Montréal: Éditions du Trait d’union, 2001.
La démocratie c’est le mal, Québec, Presses de l’Université Laval, 2003.
Antimilitarisme : idéologie et utopie, Québec, Presses de l’Université Laval, 2003.
Rhétorique de l’anti-socialisme, Québec, Presses de l’Université Laval, 2004.
Le Marxisme dans les Grands récits, Paris & Québec, L’Harmattan-PUL, 2005.
Avec Mai-Linh Eddi et Paule-Monique Vernes, La tolérance est-elle une vertu politique?, Québec, Presses de l’Université Laval, 2006.
Vivre dans l’histoire au XXe siècle. Mémoires, déchiffrements, mandats, craintes et espérances. Esquisse d’une histoire subjective. Montréal, Discours social, 2008.
Dialogues de sourds : Traité de rhétorique antilogique, Paris, Mille et une nuits, 2008.
Gnose et millénarisme : deux concepts pour le XXe siècle, Montréal, Discours social, 2008.
Dialogue entre Laurence Guellec et Marc Angenot. Rhétorique, théorie du discours social, XIXe siècle, histoire des idées. Montréal, Discours social, 2008.
En quoi sommes-nous encore pieux? Sur l’état présent des croyances en Occident, Québec, Presses de l’Université Laval, 2009.
L’Immunité de la France envers le fascisme : un demi-siècle de polémiques historiennes, Montréal, Discours social, 2009.
El discurso social, Buenos Aires, Siglo Veintiuno, 2010.
Les dehors de la littérature : du roman populaire à la science-fiction, Paris, Honoré-Champion, 2013
Rhétorique de la confiance et de l’autorité. Montréal, Discours social, 2013.
L’histoire des idées. Liège : Presses universitaires de Liège,Collection « Situations », 2014.
Fascisme, totalitarisme, religion séculière: trois concepts pour le 20e siècle. Montréal, Discours social, 2014-2015. 4 volumes.
O discurso social e as retòricas da incompreensao. São Carlos : Edufscar, 2015.
Robespierre et l’art du portrait. Montréal: Discours social, 2016.

Distinctions[modifier | modifier le code]
1983 – Prix Biguet de l’Académie française
1985 – Membre de la Société royale du Canada
1987 – Bourse Killam
1996 – Prix André-Laurendeau décerné par l’Association francophone pour le savoir
1996 – Prix Spirale Eva-Le-Grand
2001 – Chaire de recherche James McGill, Université McGill
2005 – Prix Léon-Gérin – Prix du Québec
2012 – Chaire Chaim Perelman de rhétorique et histoire des idées, Université libre de Bruxelles, 2012

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MARLENE A JARDINIÈRE DU PAYS OEUVRE D’ART
MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART
PIERROT VAGABOND

LE SUJET DU DOCTORAT: MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART

Une de mes découvertes en lisant les 3 volumes TEMPS ET RÉCIT de Paul Ricoeur, c’est que la mise en intrigue passe par le récit d’une intention et d’une suite d’actions sous la forme d’un récit d’une PERSONNE HUMAINE et non pas par une théorie (wow-t=2.7k?) ou un concept (LE PAYS OEUVRE D’ART?).

J’aimerais parcourir la vie complète de «Michel W concierge du pays œuvre d’art?» pour bien cibler depuis l’instant de sa naissance LES SYSTÈMES DE PENSÉE ACCESSIBLES AUX AGENTS (sa mère, son père, son milieu), leur évolution et un saut de potentialité dont l’émergence est rendue possible par l’arrivée d’INTERNET autant que par la mise en opération de nouveaux outils d’analyse conceptuelle.

Ce qui est toujours le même, c’est LE PRÉSENT, pour autant qu’il est chaque fois désigné par L’INSTANCE DU DISCOURS QUI LE CONTIENT.

Dans une histoire rétroactive (Aaron), la mise en intrigue (SOIT L’ARGUMENTATION D’UNE THÉORIE DE FAÇON HUMAINE), présente donc la naissance de Michel le concierge comme la naissance poétique DU PREMIER CITOYEN PLANÉTAIRE, le pays œuvre d’art devenant un chapitre de LA GRANDE HISTOIRE, de sa vie personnelle œuvre d’art, l’antithèse nanomoderniste de tous LES SOMBRES DESSEINS DE L’ESPÈCE HUMAINE (dixit Michel W concierge du pays œuvre d’art?).

Le doctorat a donc pour objectif de faire de l’archétype de « Michel W concierge du pays œuvre d’art?» un caractère universel de l’action humaine à l’ère éco-philosophique nanodémocratique au sens où par son rêve de vie personnelle œuvre d’art (prendre soin du rêve de sa femme «Marlene jardinière du pays œuvre d’art?», il contribue à la beauté du monde à titre de citoyen planétaire nanodémocratique.

Par sa vie personnelle œuvre d’art ( quatre questions qui guident le récit de sa vie comme totalité hautement organisée au niveau de l’éthique et de l’esthétique), «Michel W concierge du pays œuvre d’art?» passe de L’UN APRÈS L’AUTRE de l’errance fantômatique comme de l’errance axiologique à L’UN À CAUSE DE L’AUTRE de l’errance poétique aristotélicien où l’homme du quotidien cesse d’être privé de parole par le discours dominant qui soit le dogmatise (religion, état) ou l’idéologise victime des errances fantomatiques de sa classe sociale).

l’archétype de «MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART?» donne aux choses de la vie UNE DIGNITÉ QUI LES ÉTERNISE.

L’amour que «MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART?» vit pour MARLENE A JARDINIÈRE DU PAYS OEUVRE D’ART? » devient nanodémocratiquement un modèle universel de mise en intrigue CONFIGURANTE d’une vie personnelle œuvre d’art par quatre questions:

1; quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4- Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

En suivant les rêves intriqués de «Michel W concierge du pays œuvre d’art?» et de «Marlene A jardinière du pays œuvre d’art?» on pourrait définir la vie personnelle œuvre d’art COMME UN LABORATOIRE OÙ L’AETISTE POURSUIT SOUS LE MODE DE LA FICTION (sa vie vécue comme un récit historique) une expérimentation planétaire par le biais de ses valeurs au service de la beauté du monde. Le réseau conceptuel de l’action de deux rêves prenant soin l’un de l’autre au quotidien peut être interprété comme une sorte d’universalité que comporte l’intrigue dérivant de son ordonnance poétique. La poésie bonifiant sur terre L’EMPIRE DU CROYABLE DISPONIBLE MÊME SI PERÇU COMME IMPOSSIBLE.

L’ART DE L’ERRANCE POÉTIQUE, c’est métaphoriquement, Michel w concierge du pays œuvre d’art qui dépeint l’histoire d’un citoyen ordinaire faisant place à une vie personnelle œuvre d’art.

C’est en ce sens que ce doctorat représente une histoire d’amour d’une équipe de recherche avec la connaissance.

Un concierge du fond de sa cave qui, par le biais d’une histoire d’amour avec sa femme, suggère un amour universel pour tout le monde, c’est cela l’archétype de «MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART?»

Et comme me l’a dit Michel au jour de l’an: Y-A-T-IL QUELQU’UN CAPABLE DE PASSER SA VIE ENTIÈRE SUR LA TERRE SANS RÊVER D’UNE HISTOIRE D’AMOUR? et Michel de compléter en disant: POURQUOI S’OBSTINER À RECHERCHER L’ÉLÉVATION DE L’HUMANITÉ? PEUT-ÊTRE POUR LE SENS PROFOND DE L’HONNEUR QUI NOUS HABITE?

«MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART?» c’est l’histoire magique parce que réelle d’un être humain qui, du fond de sa cave et de son métier réel de concierge industriel, décide de faire de son amour pour sa femme une œuvre d’art modélisant la vie personnelle œuvre d’art de tout humain sur la planète terre…

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond