C’EST AINSI QUE MARCHANT LA ROUTE… DORMANT LES ARBRES….RIANT LES ÉTOILES….BÂTONNANT L’ALSPHATE ….SUÀCANT UN CROUTON DE PAIN DUR …. LE CELA EST VINT VISITER LE VAGABOND CÉLESTE DANS TOUTE SA BEAUTÉ… DANS TOUTE SA DIGNITÉ… DANS TOUTE SA DOUCEUR… DANS TOUTE SA FRAÎCHEUR … SOUS UNE FORME QUE LE VAGABOND CÉLESTE POUVAIT ABSORBER… PARCE QUE L’EGO DE PIERRE ROCHETTE S’ÉTAIT ENFUI AVEC SA MAISON ET SES BIENS…. LES BROSSES D’ÊTRE ÉTAIENT PLUS SUAVES… COMME DES AMIS QUI PASSENT DES TEMPS DE SILENCE AUTOUR D’UN FEU … LES ATTAQUES D’ÊTRE ÉTAIENT DE VÉRITABLES HISTOIRES D’AMOUR ENTRE LA JOIE DE VIVRE DU CELA EST ET LE VIVRE DE LA JOIE DU VAGABOND CÉLESTE …. LA FAIM AU VENTRE… LES AMPOULES AUX PIEDS… LA SOIF AU FOND DE LA GOURDE…. LES GRILLONS CHANTAIENT L’EUPHORIE DE N’AVOIR RIEN… DE N’ÊTRE RIEN.. DE NE VOULOIR RIEN ….COMME LES NUITS SUR LES ROUTES FURENT DIGNES …

Pierrot vagabond