Il y a parfois de si petits gestes…. mais qui font musique avec une infini bonté en soi…. Je me rappelle…. dans le temps des fêtes… je passais mon nuit et jour au 24 heures de l’UQAM…. et soudain à minuit… je levai mon verre d’eau dans les airs et criai… Joyeux Noel…
Le rêve de ma vie… fêter Noel avec la poésie … seuls tous les deux… Comment avais-je pu vagabonder quatre universités et sans jamais m’inscrire… vivre la poésie du vagabondage universitaire ne fusse que pour rendre hommage à l’éblouissement d’apprendre en auto-didacte.
L’impossible… je ne vis que d’impossible…. Avec une intensité oeuvre d’art qui ne m’a jamais quitté. Il s’en est fallut de peu pour que je passe le reste de ma vie à faire le tour des armées du salut du Canada… l’amour de Nancy … la fille unschooling de ma chanson…. est venu m”aspirer comme une profonde impossibilité.
Elle avait 29 ans et moi 60 …. elle habitait Rawdon avec son mari et ses trois enfants…. elle tombée sur une version de ma chanson du camionneur qu’elle faisait jouer en boucle du soir au matin et du matin au soir….
Elle m’aimait sincèrement… et moi aussi…. Ce fut un grand amour…. Nous avons exploré bien des univers ensemble… Un an de pure passion …. de pur engagement l’un envers l’autre…..
Puis ce fut la route à nouveau… Une magnifique séparation.
Pierrot vagabond