COURRIEL DE MON AMI ARNAUD

Salut pierrot,

Pour la première fois aujourd’hui a la lecture de ton texte je n’ai pu empêcher de ressentir certains élargissements. Les enfants victimes de blessures de guerres ne sont-il pas aussi la métaphore du manque d’amour véritable pour une majorité d’enfants , un manque prédateur des ressources inépuisables du rêve et globalement destructeur de la planète ?…Qui plus est aujourd’hui les blessures de guerre ne sont-elles pas un peu comme des promesses faites a nos enfants a vivre non seulement pour maintenant mais assurément dans un plus tard bien chaotique ?. Cet un horizon sur lequel le rêve se couche comme un soleil noir.

LE DROIT À CHAQUE ENFANT-ERRANT-FANTOMATIQUE (n’est-ce pas ce que deviennent aussi les grandes personnes lorsque le rêve n’est plus un territoire) QUI SE MEURT DE FAIM (de ne voir ses véritables besoins jamais comblé) OU DE BLESSURES DE GUERRE (l’enfance comme champ de mine ) À DEVENIR PAR LEUR VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART MÊME DES CONTEURS COMME DES VAGABONDS CÉLESTES D’UNE ERRANCE POÉTIQUE KWALIENNE MULTIVERSELLE.