CE BLOG A UN CÔTÉ TRÈS EMBÊTANT…. C’EST QU’IL EST ÉCRIT POUR LA POÏÉTIQUE DU DOCTORAT ET NON PAS POUR ÊTRE LU….. CAR… COMME JE SUIS VAGABOND… SANS TELÉPHONE, SANS ORDI, ET NE POSSÈDE QU’UN SAC À DOS, UN BÂTON DE PÈLERIN, JE VAIS DANS LES BIBLIOTHEQUES PUBLIQUES POUR Y DÉPOSER LE JOUR À JOUR D’UN NUIT ET JOUR D’UN CHERCHEUR

INTERNET…
C’EST VRAIMENT PAS UN CADEAU
DANS SES FONCTIONS GOOGLE;)))

Plus un chercheur s’enfonce dans la danse conceptuelle de sa problématique, plus il a besoin d’un journal de bord… Et comme ce blog a été dessiné de façon à ce que personne ne puisse répondre et qu’il soit impossible à quiconque d’effacer des données (il n’y a plus de fonction pour cette tâche) il constitue un espace de création auto-réflexif et métha-philosophique.

Le plus difficile à imaginer, c’est le rapport entre les qualis et les quantis que provoque l’émergence dans la conscience de nouvelles découvertes comme le plurivers et le rêve big-bang, le tout dans une eumétrie où s’entremêle l’impuissance de l’épistomologie contemporaine versus la stupéfiance anti-intuitive d’une ontologie remarquablement prédite par les mathématiciens -cosmologiques-quantiques…

Prenons l’exemple de LA CHANSON DU CAMIONNEUR…. elle se situe étonnamment dans la tangente annoncée par la notion des MÊMES de Dawkins, en miroir avec celle du RHYZOME de Deleuze- Gattari, tout en se positionnant versus l’open-source VIRAL dans la fracture nano-moderniste-planétaire entre les étiquettes et les attributs essentiels faisant en sorte que si un rêve big-bang s’y trouve inclus poétiquement au cœur D’UN RÉCIT, elle puisse atteindre L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE LA CONDITION HUMAINE dans une étrangeté multivers où le CHAMP QUANTIQUE DES QUALIS se dévoile dans la NON-TRICHERIE d’un de ses univers en mode de SYNCHRONICITÉ où l’impossible même est célébré par la beauté du monde.

En ce sens, ce blog n’est pas un blog et ne sera jamais un blog… Si j’étais à l’époque de Peirce, on ramasserait après ma mort tous mes écrits et l’on essaierait de les mettre en ordre… mais aujourd’hui, malheureusement, internet éparpille dans un ordre Google inoui des notions qui ne valent que par leur contextualité intrinsèque de recherche délicieusement anonyme, anhistorique autant qu’an-publique.

Un vieux Monsieur de 69 ans, presque 70 n’est pas supposé intéresser personne… D’ailleurs, le cerveau d’un chercheur nuit et jour habite le hors temps, hors réalité, hors servitude au nom de ceux et celles qui n’ont pas le temps.

Désolé Svet pour les inconvéniens que pourraient te causer mes distractions en mode hors réalité.

à suivre…

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