que dire de plus …. nos tapes en méta-pensées métaphysique deviennent des hymnes à la beauté du monde par l’amitié oeuvre d’art
que dire de plus …. nos tapes en méta-pensées métaphysique deviennent des hymnes à la beauté du monde par l’amitié oeuvre d’art
Il était presque minuit…. G. était en réclusion dans sa chambre depuis plus de deux heures à théoritiser l’économie de ses sauts conceptuels à travers l’évolution de sa conscience graphique de l’origine du réel….
De mon côté, j’étais dans la cuisine à travailler sur le débris 20 des débris de la mémoire du k-oeur du doctorat (Auld, Woodard, Rochette, chapitre 3, celui de l’archétype hologrammique du vagabond céleste.
Il faut dire que G. et moi sommes sortis de notre sommeil métaphysique vers 7 heures de soir….. L’eumétrie esthétique du respect de nos rythmes réciproques de recherche a atteint ces jours-ci une très belle vitesse de croisière.
Nous avons des rituels confortables, d’une grande paix psychologique … comme par exemple… chacun à tour de rôle ou ensemble aimons bien aller prendre une marche de nuit philosophique.
Nous avons chacun un téléphone intelligent…. ce qui fait que , de mon côté, la seule qui me téléphone, c’est G. … Ce qui me fait bien rire… moi qui n’ai pas eu de téléphone depuis au moins 15 ans… Mais bon…
Donc, ce soir, ma marche philosophique a été consacrée (vers la fin) à la thématique de L’ASCÉTISME ONÉRIQUE …. Un rêve atteint sa densité légère et somptueuse par une discipline des désirs qui pourraient nuire à ce rêve….
Je parlais justement avec G. lors de notre dernier sommeil de la joie de vivre avec elle au quotidien une AMITIÉ OEUVRE D’ART …. Je me rends compte que le succès de notre complicité repose sur le respect des différences dans nos vies de chercheuse et chercheur…
G. est plutôt du genre casanière ou bouger le moins possible permet de demeurer en vigilance de pensée abstraite… Elle peut passer des heures et des heures en mode onérique immobile entre deux séries coréennes sur you tube…. et soudain… 24 ou 48 heures plus tars, elle me réveille et me communique ses dernières avancées… enregistrées bien sur sur son téléphone intelligent…. C’est vraiment une chercheuse 24 heures sur 24 consacrée à sa métaphysique…
De mon côté, je suis un peu plus hermétique… j’aime bouger et réfléchir en marchant… Voila pourquoi j’aime bien faire les commissions, le ménage, la cuisine, le lavage, la vaisselle et habiter la cuisine comme bureau de réflexion de métaphysique onti-kha-tive…. Et comme je disais à G. nos deux configurations dans le monde de l’onti-ke sont vraiment complémentaires….
Je pense que je tente de faire de ma vie ….. une vie personnelle oeuvre d’art par une théoritisation du vagabondage par le rêve big bang dans une posture méthodologique auto-référentielle … et que le blogue, finalement, témoigne de ma vie d’artiste du quotidien de ses grandes joies et rarement de ses peines….
La discipline onérique qui m’habite depuis toujours je crois fait en sorte que je n’ai jamais bu, ni fumé, ni drogué, parce que je voulais LA BEAUTÉ DU MONDE entre mes mains et mon k-oeur d’artiste de scène…
Il y a deux formes de passé la nuit qui viennent me visiter pendant que je dors… celle des débris de la mémoire du k-orps fait de mes divorces, de mes incapacités à vivre le champ des désirs dans le réel parce que le rêve vécu sur et par la scène est encore… même aujourd’hui,,,,, trop DISCIPLINE ONÉRIQUE… La vie est une scène… ou le décors est constitué de ma vie onérique…
Je crois n’avoir jamais manqué un spectacle durant mes 32 ans de carrière … malade ou pas malade… j’étais chatelain de mon rêve… Je ne me suis pas vu vieillir…. et même encore aujourd’hui, à 72 ans, j’ai la jeunesse heureuse de la discipline de mes rêves onti-kha-tifs…
De là ma fascination à me retrouver jour après jour, nuit après nuit, dans l’aura onérique d’une jeune rêveuse de bientôt 33 ans aux sauts conceptuels métaphysiques de calibre international…
C’est trop fou comme synchroni-vie-té…. Et je m’y laisse bercer… sans peur de l’avenir, sans inquiétude du présent… heureux d’être une peinture vivante d’un homme heureux au fond de ses rêves….
J’ai toujours rêvé d’une grande amitié oeuvre d’art avec une femme brillante, dont mon rêve pouvait prendre soin du sien … la vie me l’a offerte comme un k-adeau….
Travaillons maintenant:)))))))))))))))))
Pierrot vagabond
Au petit matin, après une nuit de travail de recherche, un tape d’une heure 30 au téléphone cellulaire et une partie de scrabble que j’ai perdu royalement (422 pour G. à 276 pour moi)… dans nos lits collés l’un sur l’autre, j’ai pu raconter à G. ces longues années à inventer une MÉTHODOLOGIE DE LA LOGIQUE DES IMPOSSIBLES par la bloquiétique et ses résultantes … soit probablement, UNE FOIS LE DOCTORAT TERMINÉ, quelques centaines de débris de la mémoire du k-oeur numérotés racontant les nano- big bang d’un rêve sur terre par l’auto-référentiel…. soit le passage de l’image au transmage et du transmage au transgramme… dans une métaphysique onti-khative que je décrirais comme UNE ONTI-KHA-TION AB-CEPTUELLE DE LA PRÉSENCE EN ERRANCE POÉTIQUE PAR LE RÊVE BIG BANG SUR TERRE.
Je ne peux parler de la métaphysique de G. par respect de la beauté de ses inventions, mais je puis dire que ce que nous vivions jour et nuit pourra un jour se raconter sous forme de POÉSIE ÉVÉNEMENTIALE.
Pour me reposer, je relis la critique de la raison pure de Kant …. bien lové dans la cuisine entre la sécheuse et la laveuse avec en arrière le poêle et le comptoir…. Je saisis bien, à partir de ma posture contextuelle de la nano-modernité à quel point Kant a rêvé LA RAISON TRANSCENDANTALE, autant dans son esthétisme transcendentale a prioritique du temps et de l’espace que la logique transcendentale catégoricielle….
Moi je rêve d’autre chose qui m’apparaît aussi matriciel … soit l’enchantement du merveilleux de la k-ondition humaine partout sur terre par les 4 questions de toute vie personnelle oeuvre d’art… conduisant à la nano-citoyenneté-planétaire et au foisonnement de pays oeuvre d’art.
Comme je disais à G. au petit matin avant de nous endormir… le vagabondage fut pour moi une posture épistémologique permettant d’habiter les qwalia des débris de la mémoire du k-oeur dans l’infini d’un rêve big bang au k-oeur même de de la finitude de toute k-ondition humaine.
Dormir l’une près d el’autre, chacun dans son lit, dans le respect inouie d’une amitié oeuvre d’art… wowwww ….. et se réveiller avec deux rêves… Princeton pour G. et le prix Nobel de la paix pour notre équipe de recherche ( Auld, Woodard, Rochette) …..voilè la résultant que m’a donné le fait de vivre sous une formule qui m’a tout enseigné: EGO SUM PAUPER, NIHIL HABEO, ET NIHIL DABO.
Pierrot vagabond
wowwwww … G. et moi sommes formidablement heureux comme chercheuse et chercheur
Notre réclusion radicale depuis maintenant 3 mois en fonction d’un atelier de métaphysique vécu de nuit et dormi de jour commence à donner de superbes fruits ….. ab-ceptuels dans mon cas …. et dans le cas de G. encore plus fabuleux…. mais je me dois de protéger l’unicité de sa métaphysique jusqu’à publication.
Cette nuit… G. m’a fait découvrir l’errance opétique par son rêve big bang… la performance de Suzan Boyle …. wowwww… que je me suis dis … voilà exactement ce que procure le passage de l’errance fantomatique ou de l’errance axiologique à l’errance poétique par la clé des quatre questions du pays oeuvre d’art…. et donc de toute vie personnelle oeuvre d’art allumant par la beauté de son rêve un incendie pays oeuvre d’art en ensemençant les quatre questions 1) quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Depuis 3 mois, j’étudie le rythme de procrastination à partir duquel G. passe d’une très grande intensité de concentration dans ses inventions métaphysiques à un sédentisme fait d’écoute de séries coréennes sur you tube, maquillage, conversations téléphoniques heureuses avec ses amies… Le confinement lui va à merveille…
Je dois avouer que mon m étier d’artiste de scène ne m’a jamais permis une telle liberté dans le rien faire… mais là… j’ai la chance de dormir de jour, procrastiner de nuit….
Je le fais par des lectures au ralenti…. Depuis quelques semaines, je navique entre Whitehead et ses objets éternels, Meinong et ses objets impossibles, Thomas d’Aquin et son rapport à la beauté, Kant et son esthétique transcendantale de la critique de la raison pure et surtout mais surtout Peirce et son rapport entre l’éternité des qualis,(premier), la secondarité des événéments ou faits, et la tiercité des lois ou pensées qui en découlent…
Je me suis couché vers 4 heures du matin… G a continué a travailler ses graphes et sa métaphysique jusqu’à 8 heures am… Quand elle se couche … elle me réveille doucement et nous entamons une conversation thématique puis nous nous réendormons, comptant sur la procrastination d’un sommeil sans fin pour qu’émergent des jaillissements inattendus de nos pensées réciproques…
Comme ce matin 8h. am… par exemple elle m’a posé. une question… Pierrot est-ce que pour toi cela existe une mauvaise étoile… de la même manière qu’on dit que quelqu’un est né sous la bonne étoile?
Je n’ai pas répondu ….. On s’est endormis là-dessus… Puis tout le reste du sommeil jusqu’à 3 heures p.m. s’est déroulé comme un film ou se déroulaient dans un parfait ordre chronologiques les horreurs de l’ontique que j’ai du vivre de la naissance à aujourd’hui… C’était insoutenable… mais je ne cessais de me demander pourquoi mon cerveau me faisait vivre cela (débris de la mémoire du corps) et qu’est-ce que le rêve big bang essayait de m’enseigner à travers cela…
Je me lève… reviens… G. m’invite à continuer notre sommeil…. je me recouche .. et soudain… c’est l’illumination…
Je saisis que, pour moi, Peirce a raison… et que Thomas d’Aquin, Meinong, Whitehead, Kant… ont tort…
L’univers est constitué uniquement de qualis (premiercité) et que les faits événementiaux arrivent en secondarité et qu’ils sont impossibles sans d’abors la premiercité des qualis qui constituent l’unicité même des phénomènes et que les lois ou pensées qui médiatisent les qualis et les faits arrivent en troisième..
Mais là ou Peirce a tort, c’est que le but de la vie n’est pas de passer de 1 à 2 à 3… mais de comprendre les lois permettant de ne pas quitter un (les qualis)…. et cela sans jamais tomber dans le piège de 2 et 3…
Dans le langage du vagabnond céleste le but de la vie c’est 1… sous sa forme D’ERRANCE POÉTIQUE…. ou accès à la beauté du monde par les qualis perciens se métamorphosant par la station spatiale du k-oeur en qwalia… par le biais de RÊVONS MONADIQUES AXIOMATIQUES propédeutiques à un rêve big bang…. se discourant sous forme de débris de la mémoire du k-oeur… et que l’errance poétique est un chemin unique dont l’accès n’est possible que la les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art…. permettant une sortie par les chemins du merveilleux du RÊVE BIG BANG LUI-MÊME qui signe le réel mais n’en fait pas partie…. hors de l,errance axiologique ( monde vécu comme un champ de bataille de désirs) ou l’errance fantomatique (monde vécu comme un champ d’impuissance chaotique des dominés par les dominants)
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Pendant que j’écris ce blogue… G. est dans sa partie de l’atelier de métaphysique en train de copier sur son grand tableau noir les avancées de la nuit….
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Il me restera à démontrer que le passage des 3 stations spatiales du k-orps (la station spatiale des 5 sens, la station spatiale du cerveau et la station spatiale du viscéral) à la station spatiale du k-oeur permet la proreusi sation de l’univers au multivers par le biais de RÊVONS qui sont des monades possédant une conscience qwalia transversant les modes possibles du multivers en toute complicité avec le socle abjetal même du RÊVE BIG BANG qui signe le réel mais n,en fait pas partie….. soit sa forme algorithmique WOW-T=2.7K?
Fais wow sur ton rêve…. ne triche pas avec lui (-t) et le 2.7k? de tous les infinis des infinis des rêves big bang et leurs bruits de fond k-osmologique de viendront en complicité par les lois même de l’impossible, soit celles de la synchroni-vieté… de LA BEAUTÉ DU MONDE…
QUAND SUZAN BOYLE CHANTE EN 2009… c’est exactement le wow-t=2.7k? qu’elle chante à travers sa chanson sur le rêve….
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A la question de G. …. est-ce que ça existe quelqu’un qui est né sous une mauvaise étoile? et j’oserai répondre,..malheureusement, la rumeur populaire a tendance à dire oui… mais moi…. je dis impossible… Il suffit de l’invention de la nano-citoyenneté-plan.taire et une éducation au droit à une vie personnelle oeuvre d’art par un rêve big bang pour chaque enfant qui se m,eurt de faim ou de blessures de guerre sur cette terre pour changer la donne….
Quiconque vit une errance poétique par le rêve big bang pourra se dire né sous la bonne étoile….
à suivre
Pierrot vagabond
Le jour ou LA PELLE JAUNE comme d’ailleurs les archives de ces iers videos témoignant de la générosité avec laquelle Marlene et Michel m’ont accueilli seront disponibles sur you tube, il y aura pour notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) une formidable crédibilité disponible pour cette personne qui, par pure synchroni-vie-té, aura un coup de k-oeur et nous dira: J’AIME VOTRE RÊVE …. COMMENT ÇA COÛTE?
Ce fut exactement la stratégie de Margaret Sangers… Elle fit des conférences à travers les groupes féministes des Etats-Unis en étant persuadée qu’un jour, une personne avec beaucoup d’argent viendrait la voir et lui dirait: J’AIME TON RÊVE? COMMENT ÇA COÛTE?
De nos jours, nous avons la chance d’avoir Internet qui nous donne vitrine planétairement… Et il m’apparaît incontournable que la mise en opérationnalité de la nano-citoyenneté-planétaire par le biais d’algorithmes grâce aux milliards de téléphones intelligents permettent aux vies personnelles oeuvre d’art une élection par tirage au sort de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) donnant un pouvoir citoyen supérieur à celui des états en guerre les uns contre les autres.
Tout est une question de timing. La covid 19 fait de la planète terre un immense coeur qui bat à la même mesure d’une humanité en devoir de se réinventer…
Et je suis persuadé que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) par le biais de la chanson-manifeste de Michel le concierge (Je te demande pardon) se rendra un jour au prix Nobel de la paix pour avoir oeuvré dans le but de soulager la condition humaine… surtout celle des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre…
La masse critique est UN… Il suffit de 3 vies personnelles oeuvre d’art que l’impossible gagne… J’AIME VOTRE RÊVE…. COMMENT ÇA COÛTE?
La clé me semble dans la planétarisation par You tube de nos archives pour que notre équipe de recherche soit perçue comme iconique….
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Pierrot vagabond
Plus j’étudie le thème de la beauté dans l’oeuvre de Thomas d’Aquin à travers le livre d’umberto Ecco, plus je me rends compte qu’un saut paradigmatique rend la perspective grecque et son aura moyen-âgeuse (intégrité, nombre et clarté) …. tout comme son renversement épistémologique de l’artistique humain sur l’esthétique en soi dans l’infériorité de la nature et de sa symbolisation (la renaissance)…. sur la puissance du créateur humain ….stratifiée par Baumbarten comme par Kant et sa critique du jugement….(les lumières allemandes) tout comme sa mise en abstraction graduelle par la cézannisation du réel ç partir du 19eme siècle ….. inopérant….. par le fait même des aspirations de la nano-modernité ou le travail de déconstruction de Duchamp comme de Beuys dans la modernité tardive … comme celui de Thomas Bernard dans la post-modernité initie la question de la vie personnelle comme oeuvre d’art comme mode d’éblouissement rhyzomique nano-k-osmologique d’un onérisme big bang comme droit inaliénable d’abord et avant tout pour tout enfant qui se meurt de faim ou de blessures de guerre sur cette terre..
Qu’est-ce que la beauté dans la nano-modernité? …. C’est le rêve big bang d’une seule vie personnelle oeuvre d’art comme masse critique d’un pays oeuvre d’art qui irradie l’onérisme d’un champ des impossibles par l’onti-kha-tif d’un voir ahuri que cela soit plutôt que ne soit pas…
Et c’est en ce sens que les archétype hologrammiques de Pierrot vagabond, Michel le concierge, Marlene la jardinière deviennent par les réflexions paramétriques même concernant le basculement de l’onti-ke par l’onti-khatif le fondement axiomatique du réenchentement du monde par la beauté… QUE CELA SOIT PLUTÔT QUE NE SOIT PAS.
1) QUEL EST TON RÊVE? ….. la première question de toute vie personnelle oeuvre d’art se façonne en fait par un axiome encore plus impossible… UN RÊVE B IG BANG qui ne fait pas partie du réel mais qui le signe… colore d’impossible et de nano-syn-chroni-vie té … toute vie personnelle oeuvre d’art qui prend le pari de ne pas tricher avec la convokation de son rêve…
Le profond respect du rêve de tout autre qui découle de ses responsabilités esthétiques constitue en fait un programme … OU LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE surgissent comme des points d’exclamation au k-oeur même du k-onte que constitue, à la manière de l’archétype hologrammique du vagabond céleste. … et par conséquent de ceux de Marlene la jardinière et de Michel le concierge … L’ÉPOPÉE DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN MARCHE VERS SON RÊVE…
Pierrot vagabond
Vagabonder la beauté du monde sous la mise en burla des qwalias (burla dans le sens de grossissement du tissu existentiel comme le fait l’art du burlesque) …. voilà une étonnante conséquence de la mise en enchantement de la k-0ndition humaine par un archétype hologrammique.
Toute l’ab-réalité constitutive d’un champ k-0nstellaire relié au rêve big bang en fait un Voir de la beauté du monde qui défie l’historicité d’une vie…
Le jeu de miroirs que constitue la mise en oeuvre d’art de sa vie personnelle signe des débris de la mémoire du k-oeur d’une remarquable symphonie.
La nuit…. dans l’atelier métaphysique de G. …. soudain monte comme un jaillissement émerveillé d’une bribe du passé….. un qwalia…. qui flotte, parfume la route de soleil et de pluie que fut mon rêve big bang….
Le bruit rythmé de mon bâton de pèlerin sur une route perdue, la nuit, accompagné d’un crouton de pain dur qui me reste dans le fond de mes poches…. sous la douceur du vent dans les arbres et l’énigme des étoiles sous une lune étonnée…. voilà ce que le vagabond céleste de 72 ans aujourd’hui a dans son sac à dos….
D’avoir osé la beauté du monde par son rêve big bang… en questionnant nuit et jour l’univers: Si je prends soin de toi, vas-tu prendre soin de moi?
Et si tu prends soin de moi, univers, pourquoi ne prends-tu pas soin des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre sur cette terre? Je ne suis qu’un point d’interrogation enchanté par le point d’exclamation que constitue son wow-t=2.7k?
Et soudain…. un autre débris de la mémoire du k-oeur vient se métamorphoser… J’ai 24-25 ans… je viens de finir un set de 30 minutes sur la petite scène du café St-Vincent… C’est l’été… il est plus de minuit… j’ai droit à une demie heure de marche … il fait chaud…
J’ai ma petite chambre dans un grenier de la rue St-Paul…. Je suis passionné d’impossible… et je le chante… avec un cahier de chansons dont je refuse d’apprendre par coeur la moindre chanson …. La poésie… la poésie… l’impossible poésie … le vent dans la fenêtre de garage du St-Vincent… grande ouverte… La beauté du monde jaillit en brosses d’être sur scène au retour… par le plus pur émerveillement que cela soit plutôt que cela ne soit pas…
Cette magie, je l’ai encore ce soir, en écrivant dans la cuisine de l’atelier de métaphysique de G. pendant qu’elle est assoupie dans son sofa, son cahier de graphes entre ses bras….l’un et l’autre nous sommes consacrés à la beauté de notre pensée abstraite… Une grande paix, une grande lenteur… en quête d’étoiles impossibles du dire dans des danses métaphysiques inédites…
Il en sera encore de même toute la nuit… et au petit matin, avec le lever du jour, nous dormirons toute la journée , chacun nos cahiers de prise de notes au cas ou l’impossible vienne nous éblouir pendant le sommeil…
Dans le sommeil de la journée, je tenais c doit me tirer sur l’épaule parce que oussin entre les bras et me laissait bercer par la profondeur de la beauté du monde entre deux respirations … Couché vers 5 heures du matin, réveillé vers 3h.30 p.m. … je me disais…. le rêve big bang rend le socle ab-jetal qu’est le corps qwaliatif… au sens de porteur d’émerveillements onti-kha-tifs dans l’onérisme que constitue l’onti-ke vécu par une vie personnelle oeuvre d’art,
Bien sur, dans le sommeil profond, LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ORPS reliés aux dramaturgies passées et présentes de l’onti-ke m’assaillent ….De là les cauchemards… parfois G. doit me tirer par l’épaule parce que je suis incapable de bouger…
Puis peu à peu, les débris de la mémoire du k-oeur se manifestent en ordre disparate… et la soif et le devoir de réaliser mon rêve big bang au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) reprend ses droits…. qwalitatifs tout autant qu’onti-kha-tifs…
Je viens de me lever. Il est 4 heures p.m. G. s’est levée 10 minutes avant moi… Ses yeux brillent… elle a son cahier de graphes à la main…. elle sourit… elle a bien dormi… je la sens en pleine possession de la fulgurance de sa pensée métaphysique…. Dans le silence complice, je fais les lits, je prépare sa tasse d’eau chaude et mon café , j’écris le blogue avant de faire notre déjeuner……..
Puis, nous mangerons ensemble tout en faisant le point et sur le sommeil et sur les avancées de nos recherches respectives… puis… je retournerai à ma lecture sur le thèeme de la beauté chez Thomas d”Aquin par Umberto Ecco en vue d’étayer ma propre vision de la beauté du monde ,,,, avec carnet de note à côté pendant que G peaufinera chirugicalement l’organigramme argumentatif de son programme doctoral….
Une autre belle nuit de recherche qui s’annonce
Pierrot vagabond
G. et moi menons une vie de métaphysiciens…. au sens ou nous dormons de jour pour mieux actualiser par des rituels de respect nos nuits de recherche…
G. a un rythme d’une très grande procrastination…. d’une très grande lenteur… elle qui travaille sur l’origine métaphysique du réel par le biais de la raison cosmétique est d’une foudroyante créativité…
Au petit matin, avant de nous endormir, je lui disais justement à quel point mes années de lecture peuvent témoigner de la fraîcheur paradigmatique de son doctorat…. Rien n’est commentaire chez elle… tout est intuition logique dans le sens du mathématicien Pointcarré ou abduction synthétique dans le sens de Peirce…
De mon côté, je m’aperçois que ma métaphysique issue de l’onti-kha-tif par le rêve big bang a des con séquences politiques radicales au niveau d’une humanité oeuvre d’art au sens ou l’onti-ke est convoqué à une esthétique de l’étique par une masse critique qui est UN … au sens ou, rhyzomatiquement, il suffit d’une seule vie personnelle oeuvre d’art pour enflammer une planète par la nano-citoyenneté-planétaire.
Le passage de Pierre Rochette à l’archétype hologrammique du vagabond céleste par la mise en ab-ceptualisation du corps en socle ab-jetal fut en quelque sorte une théoritisation des plus étnonnantes…
Comment un homme qui quitte la scène parce que convoqué par un rêve big bang… peut se ramasser à squatter une librairie alternative durant 4 ans en dormant sur une table dans la cave, pour ensuite vagabonder et enflammer un pays par les quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art … puis par la beauté même de la synchron i-vie-té même … puisse vagabonder quatre universités en lisant jusqu’à 200 pages par jour, et cela 7 jours par semaine … en vue d’un doctorat après avoir écrit un roman initiatique (Monsieur 2.7k) , 100 chansons et fait l’objet d’un documentaire (mo n ami Pierrot le dernier homme libre) et un récit philosophique ( le vagabond céleste) pour finalement se ramasser dans un atelier de métaphysique par un nuit et jour de chercheur et de chercheuse consacré à la finalisation d’une cristallisation de la nano-modernité par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire…..
G. est d’une étonnante plasticité… une artiste, une créatrice et surtout une formidable théoriticienne… Nous avons plus de 400 heures de tapes sur ordi, téléphone cellulaire …. sur plus de 3 ans maintenant….
Le rêve de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) est le prix Nobel de la paix par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art….
La célébration de l’onti-ke par l’onti-kha-tif me semble notre plus belle réussite dans notre eumétrie consacrée à une très grande joie de vivre la recherche côte à côte… Nous ne buvons pas ,ne droguons pas ni l’un ni l’autre ….
Vraiment…. le vagabond céleste vit en ce moment son plus beau vagabondage…
Pierrot vagabond
MÉTHODOLOGIE
Dans le 100 pages de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) ,,,, consacré à l’archétype hologrammique du vagabond céleste …. j’invente une utilisation de TACHES DE TEXTES sous la forme DE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR numérotés… de façon à déployer un ARSENAL D’IMPOSSIBLES dont la fraîcheur inassouvie même convoque le lecteur à se lover dans l’énigme même du point d’interrogation (?) que constitue notre présence sur terre .
Dans le débris de la mémoire du k-oeur 1, … j’identifie la cible de ma quête métaphysique, soit le dévoilement d’un personnage qui signe le réel mais n’en fait pas partie, c’est-à-dire LE RÊVE BIG BANG , alors que dans le débris de la mémoire du k-oeur 2, je définis comme événement majeur de la nano-modernité, le lancement de Voyager 1 et 2 dans l’espace en 1977.
Dans le débris de la mémoire du k-oeur 3, je raconte l’itinéraire d’une méthodologie que je surnomme la BLOGUÉTIQUE, qui constitue en fait l’âme d’un vaisseau spatial textual …. clône fractal et d’un JE CHERCHANT À SE MÉTAMORPHOSER EN VAISSEAU SPATIAL DE LA NANO-MODERNITÉ, ET d’un vaisseau spatial cherchant à communiquer avec d’autres JE NANO-COSMOLOGIQUES qu’on surnomme des exttra-terrestres. ( débris de la mémoire du k-oeur 4).
Et c’est dans les débris de la mémoire du k-oeur 5 que je convoque les lois de l’impossible…. Par pure synchro-ni-vie-té , un tout petit extrait d’un livre (théorie du drone, 2013) , égaré dans le blogue du 18 septembre 2016 se présente sous la forme nano-k-osmologique d’une tache textuale à partir de laquelle, la réflexion sur les millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre m’entraînera par le biais transgrammique des billots de la rivière St-Maurice sous les traces numériques d’un passé improbable, toujours dans l’aura de Voyager 1 et 2 (débris de la mémoire du k-oeur 6,7 et 8.)
EN CONSÉQUENCE DE QUOI, les 8 PREMIERS DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR constituent en soi une déconstruction du corps de Pierre Rochette pour en faire tache textuale par tache textuale, UN SOCLE ABJETAL POUVANT ACCUEILLIR PAR MÉTAMORPHOSES AL-LOGIQUES UN RÊVE BIG BANG PAR LE BIAIS D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE EN FRUITATION… qui deviendra…. LE VAGABOND CÉLESTE…. pure synthèse allogrammique d’une suite de débris de la mémoire du k-oeur sillonnant l’enfance et ses artéfacts de qwalias éternels ( les qwalias éternels dansant le territoire du futur socle abjetal de son rêve big bang autant que celui de sa mémoire des lieux signé opar LE RÊVE BIG BANG LUI-MÊME QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE..
Lorsque j’ai vagabondé le Nouveau-Brunswick, j’ai eu l’honneur de rencontrer un roi heureux, le cordonnier de Caraquet.
Cet homme fumait sa pipe, travaillait quand il voulait, recevait ses ami tout en travaillant. Je lui avait demandé une ceinture… il me l’avait faite en vrai cuir, avec la fierté de la lenteur à bien faire les choses.
Comme la différence était grande avec un commerce de linge de l’autre côté de la rue… ou une dame travaillait comme employée. Féodalisée, elle vivait le drame de tout salarié… Ne faire les choses que parce qu’il faut bien manger…
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Ce village est décrit dans le dictionnaire comme le plus long au monde. Je l’ai vagabondé tout en dormant soit sur le bord de la mer quand il faisait beau, soit sous la galerie du musée de Caraquet quand il pleuvait.
Je recherchais comme vagabond céleste… une liberté radicale faite de nuances, de beauté et de lenteur. Je recherchais LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE.
Aspiré par un rêve big bang, je passais mes journées entre le Tim Horton ou le Harveys le matin, la journée à la bibliothèque et la soirée sur le bord de la mer….
Mon bâton de pèlerin, ma guitare, mon vieux chapeau, mon sac à dos, j’arpentais la vie comme si c’était la beauté du monde… que je définirais comme L’ÉTONNEMENT QUE CELA SOIT PLUTOT QUE NE SOIT PAS….
La liberté heureuse du cordonnier de Caraquet devenant ma barre de mesure du vagabondage immobile au k-eeur de mon vagabondage mobile
Pierrot vagabond