UN DOCTORAT OEUVRE D’ART EST EN SOI COMME L’UNIVERS DE SCHILLER… UN UNIVERS AUTONOME , UN ORGANISME QUI N’OBÉIT QU’À SA PROPRE LÉGISLATION, C’EST – À DIRE LA RÈGLE DE LA BEAUTÉ QUI SE DÉSINTÉRESSE DE L’EFFET À PRODUIRE.

L’oeuvre d’art est comme l’univers un être autonome, un organis-me qui n’obéit qu’à sa propre législation, c’est-à-dire à la règle de la beauté. Elle n’existe donc plus en vue du spectateur et pour lui procu-rer un ennoblissement. Elle se désintéresse de l’effet à produire. L’art cesse d’être subordonné à toute fin extérieure d’utilité ou de moralité. Le rapport précédemment établi par Schiller entre la morale et la beauté semble détruit. ].

(PRÉFACE DE L’OEUVRE DE SCHILLER)

Pierrot vagabond
au nom de par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

L’HOMME LIBRE INVENTE CE QUI N’EXISTE PAS… DONT LUI-MÊME…. PARCE QUE… COMME LE DIT SI BIEN SCHILLER DANS SES 27 LETTRES SUR L’ÉDUCATION ESTHÉTIQUE DE L’HOMME… LA BEAUTÉ SEULE PROCURE LE BONHEUR À TOUS LES HOMMES ET QUE TOUT ÊTRE OUBLIE SES LIMITES DÈS QU’IL SUBIT SON CHARME…. DE LÀ LA BEAUTÉ SUPRÊME DE S’INVENTER SOI-MÊME COMME SI ON N’AVAIT JAMAIS EXISTÉ AVANT…. DELÀ LA BEAUTÉ QU’AURA L’HUMANITÉ DE S’INVENTER ELLE-MÊME COMME SI ELLE N’AVAIT JAMAIS EXISTÉ… DE LÀ L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… DE LÀ LA PERSONNE HUMAINE OEUVRE D’ART KANTIENNE….

« La beauté seule procure le bonheur à tous les hommes, et tout être oublie ses limites dès qu’il subit son charme. Aucun privilège, aucune dictature ne sont tolérés pour autant que le goût et que l’apparence belle accroît son empire. Cet empire s’étend vers les ré-gions supérieures jusqu’au territoire où la raison règne avec une né-cessité inconditionnée et où prend fin tout ce qui est matière ; il s’étend vers les régions inférieures jusqu’à la terre où l’instinct naturel gouverne en exerçant une aveugle contrainte et où la forme ne com-mence pas encore ; même à ces confins les plus extrêmes où le goût est dépossédé du pouvoir législatif, il ne se laisse pas arracher l’exécutif. Le désir insociable est forcé de renoncer à son égoïsme et l’agréable qui autrement ne séduit que les sens doit jeter sur les esprits aussi les lacets de sa grâce (…) Loin des arcanes de la science, le goût amène la connaissance au grand jour du sens commun et il transforme ce qui est l’apanage des écoles en un bien commun à toute la société. »

Texte original et version française par Robert Leroux

Pierrot vagabond
au nom de par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

INFILTER LA CONNAISSANCE PAR LE VAGABONDAGE, C’EST REVENDIQUER RADICALEMENT LA POSTURE MÉTHODOLOGIQUE DE PEINTRE MULTIVERSIEL…. AU SENS QUE… COMME POUR LES DEMOISELLES D’AVIGNON DE PICASSO OU LE CRI DE MUNCH …. LA PERSONNE HUMAINE SE PERCEVANT AU SENS DE KANT COMME UNE OEUVRE D’ART… EN SOI… ARCHITECTONISE UNE INVENTION QUI NE PEUT ÊTRE REÇUE QUE COMME UNE OEUVRE D’ART… RIEN À AJOUTER, RIEN À ENLEVER…. DE LÀ LA DIFFÉRENCE ENTRE LE LIBRE-PENSEUR QUI EST UN EMMERDEUT ÉPISTÉMOLOGIQUE ET L’HOMME LIBRE QUI EN SOI INVENTE CE QUI N’EXISTE PAS.

On ne demande pas à un peintre de défendre sa peinture, surtout si elle n’est pas finie et encore plus quand elle est finie.

Ainsi en est-il de toute vie personnelle œuvre d’art. La décision de ne pas tricher étant avant tout une convoquation à un rêve big bang dans l’horizon d’une unicité existentiale.

La non-tricherie œuvre d’art en soi ne dépend d’aucune morale, ni d’aucune éthique, mais d’un esthétique de la forme dans la fraîcheur des qualis inasservissantes multiversielles qu’elle traîne comme une comète traîne sa chevelure céleste.

Au conseil d’administration de la créativité de ce matin, j’ai abordé avec Marlene et Michel la différence entre le libre-penseur et l’homme libre. Voltaire étant la personnification du libre-penseur et Jean de Lafontaine celle de l’homme libre.

Il est certain pour moi que, de par ma configuration même, je n’aurais jamais été un Voltaire, détestant autant avoir raison qu’avoir tort, autant être l’objet d’une controverse que le sujet d’une résolution de controverse. Le libre-penseur pour moi est un emmerdeur social, un discutateux de paroles creuses qui perd son temps dans la doxa publique….

Je préfère, par configuration, le monastère de l’impossible que constitue la position de peintre, soit de l’homme libre d’une œuvre d’art unique et ciselée, hors du faux ou du vrai, hors de la praxis et des combats sociaux.

Jean de Lafontaine fut reconnu comme le seul homme libre de son siècle… Ce n’est pas pour rien… Il portait son œuvre comme un peintre, comme une œuvre d’art ciselée dans l’anonymat des contemplatifs dont la caractéristique est d’être hors temps, hors réalité, hors servitude.

Ce n’est pas pour rien que de mon vivant, je préfère la paix de l’homme libre aux tumultes du libre-penseur.

Donc ce matin, à notre conseil d’administration de la créativité, j’ai parlé à Marlene et Michel de mon programme de recherche pour le mois d’août, soit celui de théoriser comme un fil d’or une invention méthodologique à partir de Kant et de sa définition dans la critique de la faculté de juger de ce qui constitue une œuvre d’art (la rencontre fortuite entre la nature et l’esprit, la sensibilité et l’intelligence) comme de ce qui constitue UN HUMAIN OEUVRE D’ART, fondation même d’une liberté conquise (rencontre fortuite dans cet humain œuvre d’art entre la nature et l’esprit, la sensibilité et l’intelligence).

Je défendrai donc en premier la posture méthodologique DU CHERCHEUR OEUVRE D’ART… DONC DE PEINTRE DE LA PENSÉE ABSTRAITE… pour en arriver à articuler qu’un doctorat puisse être, de façon multi-média être parallèlement signé par trois peintres… peignant de trois manières différentes le même thème.

L’objectif étant de faire d’un DOCTORAT OEUVRE D’ART une peinture portant les qualias que dégagent une œuvre d’art en co-émergence aux critères de savoir institutionnels.

De là l’infiltration du système universitaire par le vagabondage céleste refaisant le voyage de retour d’Ulysse dans l’Odyssée où les débris de mémoire serpentent une étonnante épopée esthétique arc-en-cielisant la dramaturgie mythologique par un acte philosophique exceptionnel… celui du dire NON À L’IMMORTALITÉ pour le bien-vivre œuvre d’art de ce que constitue le meilleur possible pour un mortel.

En ce sens, le mépris que malheureusement je n’arrive pas à cacher pour tout perroquetteux de la connaissance stratifiée, tout discuteur de colloques insipides me fait préférer le vagabondage des peintres dans l’impossible monastère de leur atelier AUX AMITIÉS CONSTELLAIRES DÉNUÉES D’AMBITIONS.

Pierrot vagabond
au nom, par et pour
notre équipe de recherche
Auld, Woodard, Rochette

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 11 h 25

MErci Pierrot pour cette bûche dans la journée de mon poêle à bois!
Je me sens proche de vous trois.
Je me sens accompagné
je me sens bien
et mon chemin croisant le votre est une fête dans l’adn de l’impossible.
Merci à Michel pour ce texte, sont temps son espace et la conscience
Quand la chantera-t-il? Tu m’avais dit qu’il aurait bientôt un événement
En attendant je vais voir Johanne Roussy, elle à St-Paulin le village à côté de chez moi
nous dînerons ensemble
Je te salue chaleureuse,
sim à L’écoute!

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RÉPONSE COURRIEL DE PIERROT

Effectivement, Marlene. Michel et moi sommes prêts de toi chaque jour….. et cela nous rend heureux…. que cela te rende heureux aussi, c’est ce que nous appelons des amitiés constellaires (qui traversent le temps et l’espace sans perte).

Le 15 juin 2019, soit Samedi après-midi, 1h.p.m. je crois , au collège Jean-de-Brébeuf à Montréal , dans la grande salle de spectacle avec rideaux et éclairage, un grand ami à nous Raymond Laquerre organise un spectacle ouvert au public avec une quarantaine d’artistes sur scène…. ($20.00 le billet je crois)

Il y sera présenté un vidéo d’une quinzaine de minutes au sujet de notre groupe de folklore «Les contretemps» qui en 1969 a gagné le championnat nord américain des groupes de folklores collégiaux et ujiversitaires puis représenta ensuite en 1970 Le Canada à l’exposition universelle d’Osaka au Japon. Pierre Anger, un des membres du groupe, a magnifiquement conservé toutes nos archives depuis 50 ans.

Puis à la fin de la iere partie, Michel le concierge lancera sa chanson «je te demande pardon» pour la première fois en public.

C’est très émouvant pour moi car enfin le talent de Michel sera honoré à sa juste valeur…

Salut bien Johanne pour moi
prends bien soin de toi

Pierrot vagabond,
ton céleste

COURRIEL DE L’AMI ARNAUD À PIERROT

À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 9 h 54

Salut Pierrot,

Je lisais ce matin ta réponse a Simon Gauthier et me disais a moi-même qu’il était très rafraîchissant et même réfléchissant de te lire de nouveau.

On ne peut se lasser de tes aphorismes sur la non-tricherie et la vie personnelle œuvre d’art qui curieusement ne laissent aucun arrière-goûts de déjà lu. Sans doute parce qu’ils sont comme les galets que le lanceur infatigable rêvent de faire rebondir un peu plus loin sur l’eau de la rivière ontique. Nous les vagabonds amis de la rive, rêveurs, marginaux, féministes idéalistes et conteurs des ancrages abandonnés, laissons alors les ondes concentriques et successives du lanceur d’idées se propager et se relier en nous…

Une belle journée de réflexion à toi l’ami !

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Très cher Arnaud,

Quand Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond tiennent leur conseil d’administration de la créativité chaque matin, je t’avoue que nous laboratoirisons la décision de ne pas tricher et avec chacun notre rêve big bang et avec le rêve big bang de chacun tout en prenant soin du rêve de chacun et nous réfléchissons aux conséquence théoriques, théoritiques et opérationnelles.

La bloguÏétique qui en découle témoigne en effet, comme tu le dis si bien, d’un lancement de galets aux bonds toujours pareils et jamais pareils SUR L’EAU DE LA RIVIÈRE ONTIQUE, pou reprendre tes mots.

Durant ce temps, au local 24 heures de l’UQAM, je polis sans relâche le fil d’or de notre argumentaire en vue de le soumettre à mes partenaires de recherche pour la joie DES TROIS WOWS, le tout en vue d’une mise en forme multi-média.

J’ai déjà 200 pages sur 600 de déployées…. L’objectif pour nous trois (Auld, Woodard, Rochette) restant passionnément le même depuis 12 ans:

CONTRIBUER À SOULAGER LA CONDITION HUMAINE PAR UNE INVENTION: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…

Merci pour la fascinante pertinence de ton dire

En amitiés constellaires avec ton rêve

Pierrot

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…. L’ARCHE DE NOÉ DE L’HUMANITÉ EN MODE D’ERRANCE POÉTIQUE… PAR TISSAGE D’AMITIÉS CONSTELLAIRES POUR LE DROIT DU PLUS PETIT À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Quand Nietzsche utilise l’expression «amitiés constellaires» c’est pour signer son rapport aux grands penseurs à travers l’histoire de l’humanité, dans un but aristocratique.

Quand notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette» utilise l’expression «amitiés constellaires» c’est pour signer notre rapport à nos archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond).

Mais quand on y réfléchit bien… ce champ constellaire de la non-tricherie multiversielle convoque à immensément plus œuvre d’art….

En réalité, au 21eme siècle, la nano-citoyenneté-planétaire se veut la la nouvelle arche de Noé de l’humanité en errance poétique tissée d’AMITIÉS CONSTELLAIRES de vies personnelles œuvre d’art pour garantir le droit multiversiel au plus petit à une vie personnelle œuvre d’art.

IL N’Y A PAS D’AMITIÉS CONSTELLAIRES SANS CONVERSATION ENTRE DES CHAMPS CONSTELLAIRES INSPIRÉS PAR UN RÊVE BIG BANG AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE

Pierrot vagabond
au nom dear et pour
de notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

LA CHANSON «JE TE DEMANDE PARDON» DE MICHEL LE CONCIERGE EST UN RADEAU DE LIBERTÉ SUR L’OCÉAN DE LA CONDITION HUMAINE

Ce que j’apprécie le plus dans l’œuvre de Michel le concierge, ce sont ses chansons et bien plus, le fait que c’est un homme qui aime sa femme qui les chante et non pas un chanteur.

Ce matin, au conseil d’administration de la créativité, nous écoutions la dernière version studio prise avec sa nouvelle camera 4K. Je lui ai dit: Mike, ta chanson du pardon, c’est un radeau de liberté sur l’océan de la condition humaine…. Un événement de t aphilosophie d’en bas.

Comme cela me donne le courage de faire ma part pour notre doctorat multi-média…. Marlene avec son jardin, Michel avec ses chansons et moi avec leur amitié… WOW-T=2.7K? au quotidien entre nous.

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«TOUTE PERSONNE QUI APPELLE ET PROCLAME LA GUERRE DOIT OBLIGATOIREMENT ÊTRE LE IER EN AVANT AVEC SA FAMILLE». ET MICHEL DE POURSUIVRE AU TRAVERS DE LES RIRES GARGANTUESQUES DE PIERROT… MERCI POUR TA DISPONIBILITÉ… VOICI MAINTENANT TOUTES TES MÉDAILLES AU CAS QU’ON NE TE REVOIE PAS…
CARNET DU CONCIERGE.
C’est aussi impossible… On peut même pas s’imaginer ce que ça peut faire à une famille d’envoyer un fils ou une fille dans l’armée en Afghanistan…. Qui r’viendra jamais… On peut pas s’imaginer ça. J’suis certain moé que tant qu’ca t’est pas arrivé, tu peux pas t’imaginer ça. Et pis…a… on peut pas s’imagnier non plus… comment ça s’passe dans la tête des gens qui décident…d’envoyer des soldats… se battre… dans d’autres pays… sachant qu’y en a qui reviendront pas… C’est impossible à s’imaginer…
Mais si… moi je trouve que… c’est pas à moé de juger de d’ça, tu vois-tu… moi je l’sais pas mais vois-tu… moé j’me sens mal… POUR LES VIES PERDUES… ME SENS MAL POUR LES VIES PERDUES…
Pis c’est à cause de d’ça que j’ai écris c’chanson-là…celle-là…à cause de d’ça… parce que… on se rend pas compte comment… QUELLE INFLUENCE ON A SUR LA VIE DES AUTRES… vois-tu.. On s’en rend pas compte… COMMENT ON PEUT DÉTRUIRE DES VIES AVEC PEU DE CHOSES. Avec une décision ben souvent ou avec une maladresse ben souvent… Alors j’avais fairte cette chanson-là … dans l’espor… d’éveiller des consciences… vois-tu.. c’est un peu ça l’idée… vois-tu… pis commencer par… LA MIENNE D’ABORD… ma propre conscience de… comment je me comporte dans la vie… et des conséquences que ça peut avoir sur les autres… C’est pas simple tu vas dire… mais… y m’est arrivé une bonne journée de faire ça… pis ça donné ça.

JE TE DEMANDE PARDON
COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit…
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2
Si je vagabonde poète autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3
Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4
Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
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Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche Auld, Woodard, Rochette

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Simon Gauthier <simondufleuve@gmail.com>

À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 16 h 34

Pierrot, notre dernière rencontre fut
un fruit d’amitié sucré à tel point que j’ai goûtencore dans le souvenir de ce fruit partagé qui n’existe plus!

😉

SiM

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À
Simon Gauthier

Aujourd’hui à 16 h 51

Comme tu as raison, cher Simon
je vis la même joie de cette rencontre…

tout se passe comme si, toi et moi, nous étions des deux côtés du conte du Vagabond céleste et que soudainement nous traversions ensemble les qualias bien enfouis dans les plis de notre longue route onérique issue de l’étrangeté des synchroni-vie-tés que nous portons jour après jour comme du miel en besace.

Une personne humaine ne découvre vraiment le parfum de sa liberté que lorsqu’elle reçoit la visite de la beauté du monde…. C’est ainsi que je définirais un rêve big bang…. UNE LIBERTÉ OEUVRE D’ART… signée d’impossibles

Hier soir, j’ai assisté à la remise du diplôme de maîtrise d’Isabelle…. J’étais assis au centre, avec d’un côté son père Jules (et sa compagne Marie) et de l’autre son frère Danny et sa mère Francine…Je pleurais les larmes de mon corps… sur scene, Isabelle avançait scintillante, magistrale et conquérante… son père m’a serré dans ses bras en me disant merci d’avoir été là pour sa fille…

7 ans d’impossible grâce à Isabelle qui a refusé de tricher à quelque niveau que ce soit durant 7 ans….

Comment dire….L’impossible hier soir parfumait son sourire, sa dignité abstraite son féminisme irradiant

Je sais que tes prochaines créations seront signées d’impossible…. L’amitié véritable est en soi beauté du monde sous forme de qualias.

Pierrot vagabond
ton céleste

LA NON-TRICHERIE OEUVRE D’ART…. FER DE LANCE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS DE MICHEL LE CONCIERGE DÉVOILE LES FRAUDES NANO-PLANÉTAIRES QUE FURENT MALGRÉ ELLES LES VERTUS ARISTOCRATIQUES GRECQUES TOUT COMME LES VERTUS ABSTRAITEMENT ÉGALITAIRES ISSUES DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE TOUT COMME SON DÉRAPAGE INOUI DE L’AUTHENTICITÉ PAR LA JOUISSANCE DES BABY BOOMERS….. EN CE SENS, LA NON-TRICHERIE OEUVRE D’ART PREND EN CHARGE NANO-PLANÉTAIREMENT LE DROIT À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART POUR TOUT ENFANT MOURANT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… LA DIGNITÉ DE L’HUMANITÉ PASSANT PAR LA DIGNITÉ DU PLUS PETIT…

Quel magnifique conseil d’administration de la créativité ce matin. Michel, travailleur acharné, me montrait ses dernières avancées technologiques en vue de notre future production numérique et moi de mon côté, l’initiant à la fraude que constitue LA VERTU ARISTOCRATIQUE GRECQUE versus LA NON-TRICHERIE OEUVRE D’ART de sa philosophie d’en bas.

Chez les grecs, la vertu était en fait cosmologico-politique au sens où, autant dans la république de Platon que dans l’éthique à Nicomaque d’Aristote, tout le système de vertu est basé sur l’ajustement à la justice hiérarchique d’un cosmos où l’ordre des dieux, des hommes et des animaux, calquent également la hiérarchie d’une cité chez Platon (la tête, l’armée le ventre et les esclaves, le bas-ventre) faisant de la vertu une éthique naturelle appartenant à la classe aristocratique dirigeante.

Le christianisme (platonicisme pour les pauvres) prend la relève durant tout le moyen-âge en partageant la vertu entre l’Eglise et les aristocrates faisant des serfs le symbole même de l’incapacité ontologique à une vertu en soi.

La révolution française fait de l’Etat le gestionnaire d’une vertu égalitaire imposée à tous, alors que cet humain abstrait passe par les désirs avec les baby boomers pour en travestir les objectifs d’une nouvelle liberté des sens par l’anarchie orchestrée des règles. les vertus prenant le nom D’AUTHENTICITÉ ADAPTÉE À CHACUN.

Mais le point aveugle de ces trois formes historiques de la vertu, c’est L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE face à l’errant fantomatique (esclave, serf, enfants qui se meurt de faim ou de blessures de guerre).

C’est donc en ce sens que dans la nano-modernité, la décision DE NE PAS TRICHER ou ce que Marlene Michel et moi appelons LA NON-TRICHERIE OEUVRE D’ART n’a plus rien à voir avec la fraude historique que constitue les métamorphoses de la vertu. (grecque, révolution française, mai 68).

LA NON TRICHERIE OEUVRE D’ART, au contraire porte en elle une convocation à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big bang s’épanouissant par et avec un champ constellaire pour un prendre soin de la beauté du monde, en vue d’un droit multiversiel à une vie personnelle œuvre d’art pour chacun des milliards d’enfants quii se meurent de faim ou de blessures de guerre… le tout provoquant le surgissement de la nano-citoyenneté-planétaire.

à suivre…

Pierrot vagabond
au nom, par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Pierrot je suis porté par cette chose invisible.
Je suis dans ma paire de botte et l’invisible guide mon chemin. je suis l’aveugle dans le désert qui sait où il va. Convoqué à une réunion avec l’impossible. Je marche dans la confiance. et je serai comme l’impossible à l’heure et à la date fixée de le secret sacré hors temps, hors servitude .

Je suis heureux de faire ce bout de chemin avec toi. Qu’il est beau comme chemin dans l’oreille d’un aveugle. Heureux et épanouis par Toi, Gaëlle, Isabelle. Grandit il fait soleil sur mon rêve. Comme un aveugle je sens sa chaleur sur ma peau. mmmm Je vois dis l’aveugle.

Dans le futur de notre création Pierrot, je sens de plus en plus l’importance de protéger ton anonymat. Pour la quiétude de ton monastère de l’impossible.

Nous nous y pencherons tous le deux. Je crois avoir trouver une solution.

C’est à dire dans d’éventulle nouvelle histoire, je pourrais donner à des gens fictifs des morceaux de la théorie de la non-tricherie, de la création du champs stellaire, de la convocation à la beauté du monde, de l’ensoi (graine) et des désirs qui ‘incline pour que laisser le soleil de l’impossible nourrit de sa chaleur notre rêve.

Garder l’archétype du Vagabond Céleste / ou du Vagabond de la Connaissance… le mettre le moins possible en scène. Qu’il soit juste une influx nerveux, une passerelle qui puisse favoriser et faire exister son âme, ses découvertes qui seront exprimer par les autres personnage réels ou fictifs.

Tu sais Pierrot, je suis bien sensible et je comprends de plus en plus, cette quête de l’anonymat que tu recherches.

J’y réfléchis et nous trouverons un équilibre éventuel. pour ton confort.

Nous créerons ce confort.

Ton ami, chercheur passionné

et une des choses que je dois faire sur cette terre, est de donner de l’espoir à ceux et celles qui viennent écouter. Voilé par quelques pendrion de spectacle, au-de là du spectacle je leur communique de la bienveillance.

J’ai l’impression lorque je raconte le Vagabond Céleste, j’ai l’impression de pas être en spectacle mais en communication avec ce que les humains ont de plus sensible et j’espère toujours que les rêveurs et rêveuses qui sont mûrs, par ce moment passer ensemble (Vagabond céleste) saisiront l’élan de devnir eux même… si ce n’est pas durant le spectacle, il en restera le parfum du souvenir parmi tout les parfums consitué dans leur êtres et le déclic se fera dans leur lor d’un autre événement. Ceci dit j’aurai eu sans le savoir la conviction pronfonde de les avoir accompagné jusqu’à leur naissance .

voilà pour quoi je conte. sur scène et hors scène voilà pour quoi je vis.

Dans le sourire de leur donner les quelques plumes qui manque à leurs ailes

Amitié,

Simon feuille et crayon

Pierrot, je crois saisir de plus en plus la création qui me convoque!

+++

J’ai bien hâte de reparler

du parfum de cette chose qui n’existe plus..

comment tu la nommais?

Tu peux m’en écrire un bout sur la chose.

À bientôt

Je pense à Isabelle et toi

Les yeux fermés

Sim

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COURRIEL RÉPONSE DE PIERROT VAGABOND
À SIMON

L’impossible, de tout temps, fut le seul libérateur de l’humanité enchaînée, ne se présentant dans toute sa multiversité qu’à des non-tricheurs ou des non-tricheuses… c’est à dire à des personnes humaines qui soudainement prirent la décision de ne plus tricher pour, comme le dit si formidablement mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge, SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE.

Et cet autre chose soudain se sent convoqué universellement en dedans de soi. Comme le dit si bien Kant… l’humain PARTICULIER se métamorphose en humain SINGULIER.

Qu’est-ce à dire? Non seulement cette décision de ne plus tricher crée EN CET HUMAIN ET AUTOUR DE LUI un champ constellaire, une espèce de jardin où cette personne humaine se ressent arbre parmi les arbres, mais bien plus, feuille unique parmi toutes les feuilles de chaque arbre comme de tous les arbres. LE PARTICULIER SE FAISANT PAR LA NON-TRICHERIE SINGULIER AU COEUR DE L’UNIVERSEL (kANT)

Sur cette feuille QUI A PRIT LA DÉCISION DE NE PLUS TRICHER, , les nervures que sont les désirs…. soudain …. DANS LE TROP PLEIN CONTEMPLATIF DU CHAMP CONSTELLAIRE MÊME, s’intriquent de reconnaissance devant le vent de fraîcheur de l’impossible qui s’annonce à l’horizon du multivers au point où tous les arbres du dit champ constellaire se dorment feuilles contre sol comme le font les montres molles de Dali, se faisant hamac pour les désirs intriqués de façon à ce que l’en-soi de la graine unique d’un rêve big bang puisse se faire ensoleillé majestueusement contemplé par le soleil même du 2.7k? MULTIVERSIEL …

UN rêve big bang, unique, inoui de convocation d’une vie personnelle œuvre d’art se fait soudainement (DE L’EN SOI AU CELA EST EN ROUTE PERS LE POUR SOI UNIQUE ET UNIVERSEL À LA FOIS) errance poétique dans un univers désenchanté d’errances fantomatiques (milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre sur terre) par le déni criminel d’errants axiologiques ustansilisés par leur quête de gloire, de reconnaissance, de luxe et de cupidité hiérarchique.

Et c’est au pli même de l’énigme que se cachent LES QUALIAS…. qu’on pourrait définir COMME LE PARFUM DE CETTE CHOSE QUI N’EXISTE PLUS.

Le meilleur exemple que je peux t’en donner est l’héritage des qualias de mon père Roger. Nous habitions à La Tuque et mon père marchait sa ville dans l’ÉPOPÉE DE SA NON-TRICHERIE AU QUOTIDIEN.

A un point tel que le petit lac St-Louis, si tu vas sur You tube (plage st-Louis avec l’orchestre de Roger Rochette, La Tuque) tu y verras l’âme des qualias que je vais marcher avec mon cahier à dessins quand j’aurai terminé le doctorat.

Le parfum éternel de ce qui n’existe plus… LE FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE DE L’IMPOSSIBLE QUI vient dire merci par ses ondulations intriquées quanto-cosmologiquement de SYNCHRONIVITÉS faites de brosses d’être et d’attaques d’être AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE EN DEVENIR D’UNE HUMANITÉ EN QUÊTE DE VIE PERSONNELE OEUVRE D’ART POUR CHAQUE ENFANT QUI SE MEURT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

Les qualias des non-tricheurs et des non-tricheuses par les quatre questions de toute vie personnelle œuvre d’art  sont la véritable métaphysique du conte de tout rêve big bang.

Un conteur est un passeur de qualias par les larmes de joie et comme le dit si bien Gaelle par son équation humble, un conte pour un feu de kjoie ou une abdication joyeuse par le biais des cendres mythologiques d’une humanité qui rêve.

Quand ma grand-mère Lumina pleurait ses larmes de joie pour arroser de sa vie personnelle œuvre d’art le jardin de la beauté du monde, elle célébrait par ses qualias impossibles, les impossibles qualias d’un conte…. d’un rêve…. d’un rêve conté par ses larmes de joie. Celui de sa vie tel le la rivière St-Maurice…. l’inoui…. l’inoui… et moi je pleurais de joie avec elle, enfant, parce qu’elle m’apprenait les à ne jamais pleurer autrement qu’AVEC DES JOIES POUR LES RAFRAÎCHIR, celles de l’impossible.

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)