JUSTIN TUDEAU, LE CANADA PERÇU COMME L’AVENIR DE SES AMBITIONS

Franck Scott, le maître à penser de Pierre-Eliot Trudeau, fut hanté par le concept du Canada pays œuvre d’art. Sa grande question fut: Comment faire du Canada le pays œuvre d’art de demain?

Il se pourrait que Justin Trudeau, ier ministre élu d’hier soir, prenne conscience d’une hypothèse forte qui réponde à la question qui anima Franck Scott et son père, parce que les conditions d’intelligence collective permettent maintenant d’harmoniser une masse critique de vies personnelles œuvre d’art avec un Canada pays œuvre d’art, symbole même de l’avenir de nos ambitions comme canadiens.

Quand je vagabonderai l’île du prince-Edouard cet été, j’aurai dans ma culture de philosophe politique la perspective des biographies des 43 présidents américains et des 21 premiers ministres canadiens, pour mieux dessiner les attributs essentiels des conditions d’intelligence collective 2.0 qui s’annoncent à l’horizon de nos espérances.

(sur google)
Pierrot vagabond

LE MIGRANT D’AUJOURD’HUI, UN ERR(E)NT POÉTIQUE REDESSINANT LA PLANÈTE EN PAYS OEUVRE D’ART

Ce qui est extraordinaire du migrant d’aujourd’hui, c’est qu’il a cessé d’être un errant fantomatique de par son utilisation du téléphone cellulaire, du GPS, des réseaux facebook et autres pour allier l’errare de l’errance fantomatique pré-numérique à une err(e)nce itérare, donc poétique nanodémocratique. Il est donc devenu un err(e)nt poétique en marche vers son rêve.

L’err(e)nce poétique m’apparait comme la première condition d’intelligence collective pour que la planète elle-même se perçoive conceptuellement comme un pays œuvre d’art, sous forme de confédération trans-nationale, les défis environnementaux qui menaceront la planète m’apparaissant la deuxième condition d’intelligence collective, puisque chaque humain se voit ramené à un état de vagabond céleste, une err(e)nce poétique où chaque être humain ne peut survivre quand unissant son rêve à celui du voisin, l’humanité dans sa survivance vivant un jour un bond de conscience universelle d’élégance éthique.

Simon Gauthier, le conteur international arrive à Montréal le 22 octobre, jeudi à la maison de culture Frontenac, avec son spectacle LE VAGABOND CÉLESTE. Dans un sens, il raconte la passion de Guthenberg à la recherche de l’invention de l’imprimerie 2.0)))))))

En ce sens aussi, l’équipe de fondation du pays œuvre d’art, Marlene la jardinière, Michel le concierge, Simon le conteur international et Pierrot le vagabond chercheur, sont peut-être les Gutenberg de la planète pays œuvre d’art de demain.

Et comme le dit si bien Marlène la jardinière, Un pays œuvre d’art, c’est une invitation à une vie personnelle œuvre d’art sous la forme de quatre questions: Quel est ton rêve? Dans combien de jours? Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Pierrot vagabond

COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Simon Gauthier <simondufleuve@gmail.com>

À
pierrot rêveur, Michel le concierge

Aujourd’hui à 2 h 09 AM

Salut Michel j’espère que tu roule pour toi et Marlene.

Salut (Good morning Pierrot !-) je parle en anglais pour saluer ta nouvelle dimension !)

J’espère que vous allez bien !

La bourgogne à chaleureusement applaudit la « légende du Vagabond Céleste » 6 spectacles plus un dans le Nord-pas-de-Calais en plus d’aller chanter pour le rectorat de l’Université de Dijon.

Les 4 questions sont essaimées. Elles touchent leur cible.

Je me mets en route vers la Charente (Angoulême) et d’autres petites villes dans ce coin.

Trois spectacles du Vagabond Céleste sont au programme entre autre.

J’ai bien hâte de de refaire le spectacle. !!!-)))

Michel, je te refais un rappel pour le 22 octobre à la Maison de la Culture Frontenac. Si tu peux amener ta caméra ce serait super. Il y aura des éclairages et le tout sera sonorisé.

Je continue de travailler le texte et l’interprétation du Vagabond Céleste.

Je vise toujours l’idée de la faire un jour, accompagné par l’OSM.

J’espère créer, sans forcer, l’événement phénoménologique. Il faut que Montréal « buuuzz » le 22 octobre.

Sachez que ce que je fais et que je dis des choses pareilles, je ne le fais pas pour moi mais pour le spectacle! Moi je veux seulement bien raconter et revenir ensuite chez-moi tranquille !

Si vous avez des gens qui peuvent être intéressé de venir voir le spectacle, faites le savoir !

Merci

Humblement, Simon (ok un peu excessif ou enthousiasme parfois !!-)))

Je vous salue

Simon

Amgoulême

Toutes mes amitiés!

MON QUOTIDIEN, UN AMOUR DÉMESURÉ DE L’ASCÉTISME INTELLECTUEL

Mon ami Michel le concierge a terminé son documentaire d’une heure intitulé… LE PAYS OEUVRE D’ART?… Il en est à la production finale du mastering pour ensuite produire le dvd, avec un plan de marketing pour le diffuser….

Mon ami Simon le conteur international, de son côté, après avoir présenter son spectacle… LE VAGABOND CÉLESTE…. en Europe neuf fois durant le mois de septembre, sera de retour à Montréal pour en faire une représentation le 22 octobre 2015, à la maison de la culture Frontenac, 2550 rue Ontario est, à 20 heures, dans le cadre du festival international du conte de Montréal.

La vie m’offre, par leur exceptionnelle amitié, une plateforme méthodologique à partir de laquelle je pourrai argumenter sociologiquement, dans le dernier chapitre du doctorat, la potentialité paradigmatique et pragmatique de la question principale et de ses hypothèses fortes…dans sa portion expérimentale qualitative, avec l’espoir de le déposer en autodidacte à la chaire d’intelligence collective du Canada.

QUESTION PRINCIPALE

Quelles sont les conditions d’intelligence collective nécessaires au surgissement du ier pays œuvre d’art sur la planète terre?

HYPOTHÈSE FORTE

Il y a conditions d’intelligence collective quand la masse critique des vies personnelles œuvre d’art inspirées par quatre questions (Quel est ton rêve?, dans combien de jours?, qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? et en quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?, contribue aux attributs essentiels d’une joie collective transcendant la condition humaine, PAR L’ESPÉRANCE D’UN PAYS OEUVRE D’ART.

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De mon côté, je vagabonde la bibliothèque 7 jours par semaine, 15 heures par jour, à lire systématiquement les 43 biographies des présidents des États-Unis (je suis rendu au 16eme, Andrew Johnson) avant de lire au deuxième semestre celle des premiers ministres du Canada, puis celles des premiers ministres de l’ile du prince-Edouard, pour mieux alimenter intellectuellement le projet de vagabonder l’île du prince-Edouard cet été.

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Merci à l’équipe de fondation du pays œuvre d’art.

A Simon qui raconte la légende d’un vagabond-chercheur qui ensemence Le Canada de quatre questions pour l’illuminer un jour de vies personnelles œuvre d’art.

A Michel, qui par son documentaire dépose son cœur sur la table publique pour témoigner de la portée des quatre questions sur son rêve et celui de Marlene son épouse.

A Marlène, qui depuis 7 ans, a permis par son élégance, sa bonté et sa discrétion, une amitié sans faille entre Michel et moi, tout en respectant mon horreur de toute vie sociale sous quelque nature que ce soit. Je fus leur Glenn Gould dormant par terre dans leur salle de couture, partant tôt le matin et revenant tard le soir, par trop grand amour pour l’ascétisme intellectuel, intrinsèque et immanent aux joies d’un chercheur en philosophie politique.

Pierrot vagabond

QUE LES LIVRES FASSENT DE MOI UNE MEILLEURE PERSONNE

Les lumières de la raison, l’amour de la liberté, une meilleure connaissance du cœur humain et une plus intime sympathie pour les faiblesses humaines, (les miennes comme celles des autres)… il y a tout ça et plus dans Abraham Lincoln.

Comme par exemple… l’argent ne l’intéressait pas et il vivait sobrement…

Comme par exemple… il lui arrivait de lire pour s’instruire au-delà de 24 heures dans une journée, sans manger, sans bouger, en en tomber de fatigue.

Comme par exemple… à son fils qui voulait aller au collège privé pour étudier le droit, il répondait… tu pourrais le faire par toi-même comme je l’ai fait et à mon avis, même si tu en apprenais plus au collège, tu vivrais beaucoup plus de plaisir par toi-même…

Oui…. que de leçons… que de méditations…. que d’espérance…

Merci Monsieur le président…

Pierrot vagabond

QUELLE JOIE QUE LA VIEILLESSE ANONYMEMENT AUTODIDACTE QUAND L’ÉGOTISME EST MAGNIFIQUEMENT DISSOUS PAR LA BEAUTÉ ARCHITECTURALE D’UNE QUESTION ABSTRAITE))))

Pour un chercheur, la potentialité paradigmatique d’une question résultant d’une vie de vagabondage expérimental et culturel me semble l’apothéose intrinsèque et immanent des dernières années de sa vie terrestre.

Offrir modestement ses longs silences vécus à une table de bibliothèque sous forme de bouquet d’espérances pour que le plus pauvre des enfants de cette humanité en quête d’intelligence collective devienne l’objectif d’une prospective gagnante, n’est-ce pas honorer Spinoza, Kant, Montesquieu?

Oui, l’égotisme se dissout par le vagabondage heureux, comme un arbre se dépouille de ses feuilles l’automne… l’hiver de la vieillesse m’offre ses charmes et je prend plaisir à lui offrir les miens.

Oui… la lucidité poïétique se vit comme les cailloux du petit poucet, un à un sur la marche d’un rêve devenu rêve d’une destinée intime.

Pierrot vagabond

REDESSINER LE CANADA DE DEMAIN EN PAYS OEUVRE D’ART

Qu’un poète vagabonde un pays province par province en l’ensemençant de vies personnelles œuvre d’art pour qu’un jour surgisse par de nouvelles conditions d’intelligence collective le premier pays œuvre d’art sur la planète terre, voilà un bien joli rêve.

Mais qu’en plus il s’accompagne d’une recherche universitaire autodidacte et intense pour bien historiciser la succession des strates des conditions d’intelligence collective de façon à bien ancrer la prospective de ma démarche sous l’angle de la philosophie politique, voilà aussi un beau défi qui rend ma vieillesse si bienveillante…

Oui, l’homme qui plantait des arbres de Giono m’a séduit parce qu’il n’a eu besoin d’une seule personne pour rapporter l’histoire, et cela après la mort du monsieur. L’Anonymat du parfum de l’être dans la marche poétique et err(e)nte d’un humain en mode de vie personnelle oeuvre d’art m’apparaît une bien jolie légende à raconter un soir de Noel.

Pierrot vagabond

L’UNIVERSITÉ CONCORDIA, L’ARISTOCRATE DES BIBLIOTHÈQUES UNIVERSITAIRES PARCE QU’OUVERTE 24 HEURES PAR JOUR 7 JOURS PAR SEMAINE

Dans la jeune vingtaine, je fus professeur de philosophie au conservatoire de musique de Montréal dans un cours que j’avais intitulé: QUESTIONS SUR LA VIE D’ARTISTE À TRAVERS LES SIÈCLES.

Ma carrière dans l’enseignement n’a duré qu’un semestre…. Pour un autodidacte, le cadre institutionnel vécu autant comme élève que comme professeur m’apparaissait un downer, le conflit entre l’instruction utilitaire menant à un diplôme et une vie intellectuelle œuvre d’art m’apparaissant aussi (dans mon cas, je ne peux parler pour les autres) difficiles à harmoniser.

A 67 ans, je vis enfin mon rêve de chercheur autodidacte: Une bibliothèque universitaire ouverte 24 heures par jour, dans une dynamique inter-culturaliste, cosmopolitiste, dans un quotidien baignant dans un bilinguisme additif avec un nombre impressionnant d’étudiants ou étudiantes de deuxième génération. un nombre minime de gardes de sécurité, des employés discrets et un parfum d’élégance sacrée dans laquelle on salut celui ou celle qui se consacre nuit et jour à la connaissance comme chercheur ou chercheuse.

Oui, l’université Concordia m’apparait comme l’aristocrate des bibliothèques universitaires, et le fait qu’elle soit ouverte 24 heures par jour, 7 jours par semaine l’honore.
Les deux prochaines années ont bien des chances d’être les plus somptueuses de ma vie d’intellectuel.

Pierrot vagabond

A MON AMI ANATOLE DE CARAQUET QUI VAUT 20 MILLIONS

Très cher Anatole.

Quand un vagabond milliardaire de son temps se retrouve chez un multimillionnaire , passant de la pauvreté de son enfance à la richesse de sa maturité uniquement par la force de son rêve, il se produit de la magie poétique.

Très cher Anatole, tu souffrais en dedans de toi de me voir dormir nuit après nuit en dessous de la galerie du musée de Caraquet… Quand tu m’as fais visiter ta maison d’un million, ton unique Harley Davidson de $125,000 et ton motorisé de $900,000, j’étais très sérieux en te disant que j’étais inquiet pour tes taxes. Et ça nous faisait bien rire tous les deux.

Je n’ai pas oublié le magnifique rêveur que tu es… Parce que tu n’as pas été jaloux du milliard que me vaut mon vagabondage sous les étoiles, je me suis senti profondément complice de ton rêve, en te disant que t’étais à la veille de me rejoindre, de ne pas te décourager, ce qui te faisait bien rire. Tes millions et mon milliard dansaient notre condition humaine commune.

Salutations aussi à notre ami commun, Claude Bouthiller, avec qui j’ai tant ri en mangeant des fèves au lard dans sa roulotte d’où l’on voit la mer et son immensité poétique comme seul Caraquet peut si bien l’honorer.

Si Marcel Pagnol avait été de St-Simon au lieu d’être de Marseille, il aurait choisi cette belle gagne qui tourne autour d’Anatole et de Claude pour les personnages de ses films (dont ce magnifique député Hérald, Bernard l’historien et tous les autres….)

Amitiés sincères

Pierrot

L’ERR(E)NCE POÉTIQUE…. DU PROJET PÉRICLES AU PAYS OEUVRE D’ART?

Un doctorat… pour moi… c’est d’abord de longues err(e)nces poétiques à la recherche de LA question paradigmatique cachée depuis toujours au cœur d’un vagabondage épistémologique de la condition humaine toutes catégories confondues, historiques, verticales, hiérarchiques autant qu’horizontales.

Je me rappelle du projet Périclès (voir sur Google… monsieur 2.7 k) ou encore aller sur l’adresse suivante www.reveursequitables.com, presse, monsieur 2.7k… pages 900-1000)… où il en reste des traces.

Puis ce deux ans avec Alexis en maîtrise à l’Uqam à rechercher les attributs essentiels de l’étiquette vagabondage ou errance qui tiendrait compte de ce que j’ai vécu durant mes longues années de vagabondages autant en bibliothèque qu’en err(e)nce géographique.

Puis, l’arrivée de Simon Gauthier, le conteur international qui raconte sous la forme d’un conte-légende intitulé LE VAGABOND CÉLESTE, l’err(e)nce d’un être humain ensemançant des vies personnelles œuvres d’art, dans la foulée de l’homme qui plantait des arbres de Giono (voir le dessin animé de Frédéric Bach sur www.reveursequitables.com… l’homme qui plantait des arbres) pour que naisse un jour le pays œuvre d’art, par la masse critique de vies personnelles œuvre d’art s’étant posé quatre questions: Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Puis le long cheminement de Michel le concierge avec qui les échanges philosophiques du matin durant 7 ans au sujet du pays œuvre d’art et des vies personnelles œuvre d’art (documentés sur 35 heures vidéos) lui font réaliser que l’amour qu’il porte à Marlene sa femme est en fait une œuvre d’art à la hauteur d’un pays œuvre d’art au point où il réalise un documentaire intitulé LE PAYS OEUVRE D’ART? (voir www.lepaysoeuvredart.ca) en hommage à sa femme qu’il aime, son pays œuvre d’art.

Que les années passent vite… j’aurai bientôt 67 ans…le 12 décembre 2015… Simon s’apprête à jouer 9 fois le vagabond céleste en France avant de revenir le jouer à Montréal à la maison de la culture Frontenac… puis de repartir le jouer en Europe.

Ma récompense à moi…. enfin ma question de doctorat est devenue paradigmatiquement claire… QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE COLLECTIVE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU PREMIER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA TERRE?

Je n’ai vécu toutes ces années que pour l’île de l’éternité de l’instant présent d’une question fondamentale… (wwww.demers.com)… je me ferai ermite et anonyme 7 jours par semaine à la bibliotheque de concordia pour me donner l’espérance d’une petite prémisse de réponse… sans doute les générations futures auront une meilleure chance…

Le philosophe 2.0 sera d’abord un designer de questions nano-numériques… ou ne sera pas.

Pierrot vagabond