COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Pierrot je suis porté par cette chose invisible.
Je suis dans ma paire de botte et l’invisible guide mon chemin. je suis l’aveugle dans le désert qui sait où il va. Convoqué à une réunion avec l’impossible. Je marche dans la confiance. et je serai comme l’impossible à l’heure et à la date fixée de le secret sacré hors temps, hors servitude .

Je suis heureux de faire ce bout de chemin avec toi. Qu’il est beau comme chemin dans l’oreille d’un aveugle. Heureux et épanouis par Toi, Gaëlle, Isabelle. Grandit il fait soleil sur mon rêve. Comme un aveugle je sens sa chaleur sur ma peau. mmmm Je vois dis l’aveugle.

Dans le futur de notre création Pierrot, je sens de plus en plus l’importance de protéger ton anonymat. Pour la quiétude de ton monastère de l’impossible.

Nous nous y pencherons tous le deux. Je crois avoir trouver une solution.

C’est à dire dans d’éventulle nouvelle histoire, je pourrais donner à des gens fictifs des morceaux de la théorie de la non-tricherie, de la création du champs stellaire, de la convocation à la beauté du monde, de l’ensoi (graine) et des désirs qui ‘incline pour que laisser le soleil de l’impossible nourrit de sa chaleur notre rêve.

Garder l’archétype du Vagabond Céleste / ou du Vagabond de la Connaissance… le mettre le moins possible en scène. Qu’il soit juste une influx nerveux, une passerelle qui puisse favoriser et faire exister son âme, ses découvertes qui seront exprimer par les autres personnage réels ou fictifs.

Tu sais Pierrot, je suis bien sensible et je comprends de plus en plus, cette quête de l’anonymat que tu recherches.

J’y réfléchis et nous trouverons un équilibre éventuel. pour ton confort.

Nous créerons ce confort.

Ton ami, chercheur passionné

et une des choses que je dois faire sur cette terre, est de donner de l’espoir à ceux et celles qui viennent écouter. Voilé par quelques pendrion de spectacle, au-de là du spectacle je leur communique de la bienveillance.

J’ai l’impression lorque je raconte le Vagabond Céleste, j’ai l’impression de pas être en spectacle mais en communication avec ce que les humains ont de plus sensible et j’espère toujours que les rêveurs et rêveuses qui sont mûrs, par ce moment passer ensemble (Vagabond céleste) saisiront l’élan de devnir eux même… si ce n’est pas durant le spectacle, il en restera le parfum du souvenir parmi tout les parfums consitué dans leur êtres et le déclic se fera dans leur lor d’un autre événement. Ceci dit j’aurai eu sans le savoir la conviction pronfonde de les avoir accompagné jusqu’à leur naissance .

voilà pour quoi je conte. sur scène et hors scène voilà pour quoi je vis.

Dans le sourire de leur donner les quelques plumes qui manque à leurs ailes

Amitié,

Simon feuille et crayon

Pierrot, je crois saisir de plus en plus la création qui me convoque!

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J’ai bien hâte de reparler

du parfum de cette chose qui n’existe plus..

comment tu la nommais?

Tu peux m’en écrire un bout sur la chose.

À bientôt

Je pense à Isabelle et toi

Les yeux fermés

Sim

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COURRIEL RÉPONSE DE PIERROT VAGABOND
À SIMON

L’impossible, de tout temps, fut le seul libérateur de l’humanité enchaînée, ne se présentant dans toute sa multiversité qu’à des non-tricheurs ou des non-tricheuses… c’est à dire à des personnes humaines qui soudainement prirent la décision de ne plus tricher pour, comme le dit si formidablement mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge, SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE.

Et cet autre chose soudain se sent convoqué universellement en dedans de soi. Comme le dit si bien Kant… l’humain PARTICULIER se métamorphose en humain SINGULIER.

Qu’est-ce à dire? Non seulement cette décision de ne plus tricher crée EN CET HUMAIN ET AUTOUR DE LUI un champ constellaire, une espèce de jardin où cette personne humaine se ressent arbre parmi les arbres, mais bien plus, feuille unique parmi toutes les feuilles de chaque arbre comme de tous les arbres. LE PARTICULIER SE FAISANT PAR LA NON-TRICHERIE SINGULIER AU COEUR DE L’UNIVERSEL (kANT)

Sur cette feuille QUI A PRIT LA DÉCISION DE NE PLUS TRICHER, , les nervures que sont les désirs…. soudain …. DANS LE TROP PLEIN CONTEMPLATIF DU CHAMP CONSTELLAIRE MÊME, s’intriquent de reconnaissance devant le vent de fraîcheur de l’impossible qui s’annonce à l’horizon du multivers au point où tous les arbres du dit champ constellaire se dorment feuilles contre sol comme le font les montres molles de Dali, se faisant hamac pour les désirs intriqués de façon à ce que l’en-soi de la graine unique d’un rêve big bang puisse se faire ensoleillé majestueusement contemplé par le soleil même du 2.7k? MULTIVERSIEL …

UN rêve big bang, unique, inoui de convocation d’une vie personnelle œuvre d’art se fait soudainement (DE L’EN SOI AU CELA EST EN ROUTE PERS LE POUR SOI UNIQUE ET UNIVERSEL À LA FOIS) errance poétique dans un univers désenchanté d’errances fantomatiques (milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre sur terre) par le déni criminel d’errants axiologiques ustansilisés par leur quête de gloire, de reconnaissance, de luxe et de cupidité hiérarchique.

Et c’est au pli même de l’énigme que se cachent LES QUALIAS…. qu’on pourrait définir COMME LE PARFUM DE CETTE CHOSE QUI N’EXISTE PLUS.

Le meilleur exemple que je peux t’en donner est l’héritage des qualias de mon père Roger. Nous habitions à La Tuque et mon père marchait sa ville dans l’ÉPOPÉE DE SA NON-TRICHERIE AU QUOTIDIEN.

A un point tel que le petit lac St-Louis, si tu vas sur You tube (plage st-Louis avec l’orchestre de Roger Rochette, La Tuque) tu y verras l’âme des qualias que je vais marcher avec mon cahier à dessins quand j’aurai terminé le doctorat.

Le parfum éternel de ce qui n’existe plus… LE FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE DE L’IMPOSSIBLE QUI vient dire merci par ses ondulations intriquées quanto-cosmologiquement de SYNCHRONIVITÉS faites de brosses d’être et d’attaques d’être AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE EN DEVENIR D’UNE HUMANITÉ EN QUÊTE DE VIE PERSONNELE OEUVRE D’ART POUR CHAQUE ENFANT QUI SE MEURT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

Les qualias des non-tricheurs et des non-tricheuses par les quatre questions de toute vie personnelle œuvre d’art  sont la véritable métaphysique du conte de tout rêve big bang.

Un conteur est un passeur de qualias par les larmes de joie et comme le dit si bien Gaelle par son équation humble, un conte pour un feu de kjoie ou une abdication joyeuse par le biais des cendres mythologiques d’une humanité qui rêve.

Quand ma grand-mère Lumina pleurait ses larmes de joie pour arroser de sa vie personnelle œuvre d’art le jardin de la beauté du monde, elle célébrait par ses qualias impossibles, les impossibles qualias d’un conte…. d’un rêve…. d’un rêve conté par ses larmes de joie. Celui de sa vie tel le la rivière St-Maurice…. l’inoui…. l’inoui… et moi je pleurais de joie avec elle, enfant, parce qu’elle m’apprenait les à ne jamais pleurer autrement qu’AVEC DES JOIES POUR LES RAFRAÎCHIR, celles de l’impossible.

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)