LE GRAND TOLSTOÏ ÉCRIVAIT: «JE SUIS ASSIS SUR LE DOS DE QUELQU’UN ET JE LE FAIS SUFFOQUER ET JE L’OBLIGE À ME PORTER; POURTANT, JE M’ASSURE MOI-MÊME ET À D’AUTRES QUE JE SUIS DÉSOLÉ POUR LUI ET QUE JE DÉSIRE SOULAGER SON SORT PAR TOUS LES MOYENS POSSIBLES – SAUF DE DESCENDRE DE SON DOS

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité, ce matin. Marlene dormait parce qu’elle n’enseigne pas le lundi matin… Mais j’ai pu dire à Michel à quel point je lui étais reconnaissant pour ces 12 années de recherche en équipe, à quel point la grandeur abductive et synthétique de son cerveau m’avait non seulement ahuri à travers les années, mais que le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) grâce à notre discipline méthodologique des archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) qui se réunissent en laboratoire philosophique sous la règle du jeu des 3 wows, et cela tous les matins parce que nous avons eu la sagesse de vivre ensemble dans la paix et la prise en soin du rêve big bang de chacun par chacun.

Je lui ai dis: Michel, le fait que je me consacre maintenant 24 heures par jour (je dors de moins en moins) à notre marche vers le prix Nobel de la paix en passant par l’institut d’intelligence artificielle du Québec pour la création planétaire de notre algorithme de justice sociale (wow-t=2.7k?) pour instituer la nano-citoyenneté-planétaire en vue de donner un droit inaliénable à chaque enfant de la planète à une vie personnelle eouvre d’art par un rêve big bang, JE NE POURRAIS LE FAIRE SANS TA GÉNÉROSITÉ SANS FAILLE ENVERS MA PERSONNE.

J’ai tout abandonné pour mon rêve big bang…Et Marlene et toi avez fait confiance à un vagabond céleste au rêve disproportionné versus la fragilité de son ossature existentiale et non existentielle, vous qui aviez chacun votre rêve big-bang (Michel son amour pour Marlene et Marlene ses jardins à travers son amour pour Michel)

Je ne vivais que d’ascétisme et d’anonymat à titre de chercheur CONSACRÉ À LA PENSÉE PURE, c’est à dire synthétique, théoritique et responsable planétairement au sens de contribuer à alléger la condition humaine sur terre par l’invention d’une institution en open source.

Autant par Simon Gauthier avec son récit philosophique LE VAGABOND CÉLESTE propagé à travers la francophonie depuis 7 ans, autant par Fred Pellerin avec la CHANSON DU CAMIONNEUR  propagée elle aussi à travers la francophonie depuis 6 mois, je me suis senti respecté dans la marche anonyme de notre équipe de recherche vers le prix Nobel de la paix. J’ai du en même temps souhaiter bonne chance à la boîte à chansons des deux Pierrots du vieux Montréal qui fête ses 45 ans cette année, mais qui risque de me distraire de l’ascétisme et l’anonymat dont tout chercheur marathonien a fondamentalement besoin pour créer… Comme je répère souvent à mes étudiants… on doit toujours éviter le piège de l’oppression de la reconnaissance sociale, ne pas en souffrir demande la même intelligence abstraite que fut celle de John Rawls, qui devenant planétaire par son essai: la justice comme équité (1971) est retourné dans l’anonymat du chercheur pour ne pas trahir sa configuration… Spinoza vécut dans le même sens… et je vivrai aussi dans le même sens… La bibliotheque universitaire étant le seul endroit qui rend un vagabond de la connaissance aussi céleste que s’il vagabondait un pays… LE PAYS DE L’IMPOSSIBLE intri-k-ation entre le multi-vers et le multi-brosses d’être… attaques d’être que provoque tout rêve big bang d’une nano-personne-humaine au service du meilleur de son humanité en elle-même.

Cette semaine, Alexis Lemieux m’a dit qu’un professeur de l’UQAM au niveau maîtrise et doctorat avait dit à ses élèves dans sa classe  qu’il y avait à l’UQAM en ce moment même….une légende vivante… J’en suis resté pétrifié…. peu rassuré…. même terrifié… quelle tristesse que de devenir peu à peu, malgré soi un personnage public… Je pense à Tolstoï qui ne pouvait bouger sans que toute la Russie le sache.. la fin de sa vie fut une tragédie nationale qui servit à faire vendre des journaux… dégueulasse.

Le cercle de mon anonymat se rétrécit, mais je tiens le fort en travaillant 2 fois plus fort… J’ai bon espoir qu’en septembre 2019, non seulement le ier chapitre du doctorat sera écrit, mais tout le doctorat, pour être soumis aux 3 wows de Marlene, Michel et Pierrot, et cela paragraphe par paragraphe.

La méthodologie inventée fonctionne optimalement au-delà de toutes mes abductions: a) un blogue pour la poïétique, 2) une base de données de ce blogue sur clé usb, c) base de données historiales transformée en base glossairique, d) base glossairique comme appui logistique au 300 mots de l’enjeu, e) un 300 mots à la base , phrase par phrase du fil d’or de l’argumentaire, f) argumentaire à la base des connecteurs des innovations de pensées abstraites conduisant à une juste mesure entre la prise en ajout de la stylistique avec un brin de rhétorique soupoudrant l’architectonie rigoureuse de la conclusion ouverte.

Merci Marlene
Merci Michel