QUELLE JOIE INTELLECTUELLE EXCEPTIONNELLE QUE LA GESTION DE LA POST-PROPÉDEUTIQUE PAR LA MÉTHODE DE LA POÏÉTIQUE NUMÉRIQUE MÉTAMORPHOSÉE EN BASES DE DONNÉES ET EN GLOSSAIRE POUR ÊTRE REFILDORISÉ PAR UN 300 MOTS GUIDANT NON SEULEMENT LES CONNECTEURS DES CHAPITRES, MAIS AUSSI LES INNOVATIONS NODALES AUTOUR DESQUELLE S’ARTICULENT LES OBJECTIFS OPÉRATIONNELS D’UNE CONCLUSION OUVERTE D’UN ARCHITECTONISME À LA JOHN RAWLS

Si j’avais à enseigner la méthodologie de recherche à des étudiants en maîtrise ou en doctorat, je ne ferais que raconter comment notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) a du tout réinventer au fur et à mesure où nous avons eu à utiliser des étiquettes traditionnelles du coffre d’outil (sujet, objet, problématique, question, cadre théorique etc…)

Mais le principal obstacle me semblait LA GESTION ORCHESTRÉE D ‘UNE BASE DE DONNÉES favorisant un doctorat d’invention.

Et je dois donner crédit à Marlene et Michel qui ont patiemment suivi mes explorations méthodologiques dans différents champs du savoir à travers la fréquentation de 4 bibliothèques universitaires différentes jusqu’à ce que j’en arrive à une suggestion favorisant l’équitabilité de trois peintres peignant trois doctorats sur le même thème à travers une mise en théatralité multi-média (videos sur la gauche et la droite, texte trois wows au centre, conclusion ouverte conduisant à une action bien théoritisée dans une nodalisation et des enjeux et des innovations épistémologiques serpentant le fil d’or de la question de recherche dans un cadre théorique corseté, en particulier aux point nodaux paradigmatiques.

Merci Marlene
Merci Michel

en marche vers le prix Nobel de la paix

Pierrot vagabond